VACCINATION : ERREUR MEDICALE DU SIECLE
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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 141 à 144Extrait 1
Les fabricants de vaccins sont touchés de plein fouet. Se référant au livre d’Allen [David J.] et à sa mort plutôt suspecte, de moins en moins de gens se font vacciner. Le doute s’est installé dans les esprits. Qu’à cela ne tienne, les industriels incriminés ne perdent pas pied. Ils continuent à prôner le vaccin et fabriquent en même temps toutes sortes de médicaments destinés à soigner les affections occurrentes spécifiques de la maladie du sida. Un véritable pactole ! La suite, nous la connaissons... Les experts désignés par l’instance judiciaire internationale avaient déclaré dans leur rapport :
« Les fabricants de vaccins jouent sur du velours. En effet, il est impossible de démontrer d’une manière scientifique l’efficacité des vaccins. La seule chose qu’on puisse comptabiliser est le nombre de sujets vaccinés, sans savoir s’ils ont été réellement immunisés puisqu’ils ne sont pas suivis par le corps médical. D’autre part, étant donné le nombre considérable de sujets vaccinés, de 90% à 99%, si les vaccins étaient efficaces, il ne devrait plus y avoir depuis longtemps aucune maladie infectieuse sur la planète. Or, depuis quelques années, des épidémies et pandémies qu’on croyait éradiquées sont réapparues en force. Le principe vaccinal, dès sa découverte par Jenner, fut sujet à caution. Nous avons inventorié des documents qui démontrent que les recherches réalisées par lui ont été faites selon des critères scientifiques inacceptables, c’est-à-dire sans un contrôle suffisant des expériences. Ceux qui ont accepté et suivi ce principe, par manque d’information ou esprit de lucre [profit], ont commis une très lourde erreur dont nous payons actuellement les conséquences.
« En particulier, le Français Pasteur, par la généralisation des vaccinations pour lutter contre d’autres affections que la variole, peut être considéré comme le père fondateur de la plus grande entreprise criminelle de tous les temps. Son expérience de vaccination contre la rage peut être considérée comme une supercherie ayant fait long feu. Les successeurs de Pasteur et l’Institut Pasteur doivent être considérés comme les responsables de la situation sanitaire mondiale actuelle. Toutes les statistiques internationales consultées font montre de diverses falsifications. Parce qu’ils ont prôné les vaccinations par intérêt ou par ignorance des phénomènes biologiques spécifiques du principe vaccinal, les gouvernements et le corps médical dans son ensemble sont aussi condamnables. Également, il s’avère que le corps médical et l’Organisation mondiale de la santé n’ont jamais eu la possibilité de suivre les personnes vaccinées, sauf dans les cas d’accidents. C’est pourquoi, on peut les accuser d’avoir propagé les vaccins sans posséder la certitude d’une réelle efficacité. Enfin, le principe des vaccinations obligatoires n’aurait jamais du être accepté par les gouvernements et l’ensemble des populations, du fait qu’il est contraire aux principes élémentaires des droits de l’homme. Il s’agit là d’une atteinte à la liberté individuelle. »
Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 141 à 144Extrait 2
Un groupe de scientifiques de haut niveau prend le relais du docteur Allen et démontre que la mise sur le marché du vaccin X constitue une supercherie et qu’en réalité, ce sont bien les vaccinations qui sont à l’origine du sida. Ils exposent que par recombinaison génétique, l’introduction de virus vivants dans un organisme peut réveiller un virus endormi, et que c’est ce qui s’est passé. Le sida est donc une maladie provoquée par les vaccinations. Telle est la conclusion des experts, conclusion qui rejoint la déclaration de Robert Gallo au London Times, du 11 mai 1987« La relation entre le programme de vaccination de l’OMS dans son effort pour éradiquer la variole des pays du Tiers Monde et l’épidémie de sida est une intéressante hypothèse. Je ne dis pas que cela s’est réellement passé, mais durant des années, j’ai toujours dit que l’usage de vaccins de virus vivants (comme l’on pratique en Afrique) peut activer un virus endormi comme celui du sida ».
Évidemment, ce groupe d’experts omet de dire qu’en 1993, le docteur De Brouwer avait écrit un ouvrage, Sida, le vertige, dans lequel il tentait de démontrer de manière scientifique que le virus du sida était le résultat d’une recombinaison génétique entre le HTLV 2 et le virus de la vaccine. Pourquoi le professeur Robert Gallo, qui trouvait cette hypothèse intéressante, n’a-t-il pas orienté ses recherches dans ce sens ? On peut se poser de nombreuses questions à ce propos.
Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 141 à 144Extrait 3
LA NON-INNOCUITÉ DES VACCINS : UN MYTHE
Différents essais réalisés aux usa et contrôlés par ordinateur ont fait apparaître que des virus et rétrovirus présents dans un organisme humain peuvent y demeurer à l’état latent ou défectif, c’est-à-dire en ne s’exprimant pas. Tout virus inoculé fait de même. Mais si certains événements biologiques se produisent entraînant un changement de terrain, ou si le terrain du vacciné se trouve déprimé au plan immunitaire, ce virus peut retrouver sa virulence initiale. En fait, toute modification biochimique d’un organisme peut entraîner un retour à la virulence du virus inoculé ou permettre une recombinaison génétique avec un autre virus présent dans l’organisme mais qui ne se manifestait pas dans la mesure où s’était établi un état d’équilibre, de symbiose biologique. Me référant à des expériences qui se sont déroulées au département de microbiologie de l’Université de Californie à Los Angeles en 1986, je puis affirmer que deux virus non virulent peuvent devenir virulents, c’est-à-dire léthaux [meurtriers ; qui tuent], par recombinaison spontanées, in vivo dans un organisme vivant. Toutefois, point n’est besoin de procéder à une recombinaison entre deux virus ou rétrovirus affectant des espèces différents pour obtenir un super-virus ou rétrovirus.
L’expérience que je relate ci-après donne à réfléchir. Deux virus pathogènes, mais non léthaux pris séparément, sont susceptibles de provoquer une affection mortelle (pour les animaux) en se recombinant par eux-mêmes, sans manipulation génétique exécutée par l’homme. On savait que l’infection d’un animal par un virus virulent est capable de provoquer une maladie caractérisée. Mais on n’avait jamais démontré in vivo que l’inoculation de virus non virulents pouvait provoquer une maladie par le biais du phénomène de complémentation ou de recombinaison. En 1986, une équipe de recherche américaine [étasunienne] a utilisé deux souches de virus herpès simplex type 1 et les a inoculées à des souris American science, 7 novembre 1986). 62% des animaux qui reçurent un mélange à concentration égale des deux espèces virales décédèrent. Par contre, les souris qui reçurent une injection similaire ou 100 fois plus concentrée de chacun des agents viraux pris séparément survécurent toutes. En considérant un lot de 20 souris mortes après l’injection du mélange viral des deux souches non virulentes, 14 virus furent isolés. Onze d’entre eux se révélèrent être des recombinaisons. Trois de ces recombinaisons réinjectés à des souris se montrèrent mortels. De semblables résultats prouvent que deux variants non virulents d’herpès simplex peuvent interagir in vivo et engendrer des recombinaisons virulents et léthaux [mortels].
[Imaginez donc ce que peuvent faire tout une série de vaccins différents qu’on inocule aux enfants et aux adultes ???]
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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 144 à 145Extrait 4
La conclusion semble évidente. Il apparaît en premier lieu que le transfert d’un virus d’une espèce à une autre représente un danger pour le receveur et en second, que deux virus possèdent la capacité de se recombiner in vivo, c’est-à-dire de créer une souche nouvelle non seulement pathogène mais létale. Dans le cadre de cette conclusion objective, on peut alors se poser la question de savoir si la vaccination tant prônée ne représente pas un sérieux danger pour la santé publique. En effet, il semble évident à tout biologiste que l’organisme humain, animal ou végétal constitue une entité, un monde clos qui doit demeurer vierge de toute pollution tout au long de son existence si l’on veut qu’il survive dans des conditions idéales de fonctionnement et d’homéostasie. Le système immunitaire des êtres vivants est là pour le prouver : il intervient vigoureusement pour le défendre contre toute agression étrangère. En cas de déficience de ce système, c’est la maladie et la mort. Or, on peut se demander si, de nos jours, l’organisme humain est vierge de toute pollution, de pollution virale en particulier... La réponse est évidente : depuis la pratique générale des vaccinations, il ne l’est certainement pas.
Même atténué, un virus peut reprendre sa virulence in vivo. C’est le cas du virus polio vaccinal qui redevient pathogène après passage dans l’intestin et qui contribue ainsi à contaminer l’entourage. Une étude menée par l’OMS dans huit pays, de 1970 à 1974, montre que sur 360 cas de polio paralytique, 144 se sont produit chez des contacts de vaccinés et qu’aux États-Unis, en 1982 et 1983, tous les cas de poliomyélite rapportés ont été associés aux vaccins. En outre, les vaccins antipolio ont été produits sur reins de singes contaminés par le virus cancérogène SV 40, inoffensif pour le singe mais tumoral pour l’homme. Ce qui expliquerait l’explosion de cancers dans le monde depuis 30 ans. Ainsi, sans le savoir, l’homme avait déjà créé une arme redoutable mettant en péril la planète, ceci au nom de principes prophylactiques absurdes.
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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 5
LES VACCINATIONS, FACTEURS DE DÉGÉNÉRESCENCE DE L’ESPÈCE HUMAINE
( ... )
Par contre, une chose est certaine, admise par l’ensemble des biologistes, c’est qu’un organisme qui, au cours de l’évolution, est parvenu à s’adapter à l’environnement dans lequel il s’est trouvé placé, donne naissance à d’autres organismes parfaitement sains si les géniteurs étaient eux-mêmes sains du fait que leur système immunitaire était performant. Au contraire, si les géniteurs ne possédaient pas un système immunitaire ad hoc et que quelques virus, rétrovirus ou autres bactéries aient déjoué les défenses de leur organisme pour y pénétrer et s’y installer tout en demeurant muets, défectifs, il apparaît évident que les intrus seront transmis aux descendants. Cest ainsi que, pratiquement, tous les Occidentaux possèdent dans leur organisme 5 ou 6 variétés de virus Herpès, et que nombre d’habitants d’Afrique centrale abritent dans leurs cellules le HTLV 2, découvert par Robert Gallo et son équipe. On ne parle que rarement de cette découverte capitale, éclipsée par celle du rétrovirus du sida.
Il faut qu’interviennent certaines circonstances particulières pour que ces virus herpétiques se manifestent, sortent de leur sommeil. De même pour le HTLV 2. Ces virus et rétrovirus ont été mis en évidence, mais il est certain que l’organisme humain abrite d’autres formes de virus et rétrovirus qui, pour le moment, n’ont pas été découverts. Il en est de même pour différentes espèces animales devenues de véritables réservoirs à virus, notamment les singes verts d’Afrique. Mais ces virus et rétrovirus demeurent muets, la plupart du temps. Le système immunitaire a fonctionné et, s’il n’a pas réussi à les éliminer, il leur a fait perdre leur virulence par restriction de leur propre capital génétique. Cela ne s’est certainement pas passé sans problème majeurs pour les organismes atteints, mais quoi qu’il en soit, on peut affirmer que les intrus en question ne se manifestent qu’en de rares occasions.
Par conséquent, on peut affirmer que des géniteurs sains, même s’ils sont porteurs de virus et rétrovirus défectifs, donnent naissance à des descendants sains, qui seront également porteurs de ces mêmes intrus, lesquels demeureront, en principe, muets, comme chez les ascendants. Les decendants de ces géniteurs sains, au contact d’un environnement qui s’est peu modifié depuis des millénaires, se trouveront aux prises avec divers virus et bactéries pathogènes qui risqueront de provoquer les maladies bien connues de l’enfance, la rougeole, la rubérole, les oreillons, etc. et avec d’autres beaucoup plus dangereux susceptibles de provoquer des affections gravissimes telles que la variole, la peste, le choléra, etc., si certaines conditions élémentaires d’hygiène et de nutrition ne se trouvent pas réalisées. De la sorte apparaît l’importance de l’environnement dans la genèse de nombre de maladies infectieuses. Si l’humanité toute entière vivait dans des conditions exceptionnelles d’hygiène et de nutrition, il n’y aurait jamais d’épidémies et de pandémies provoquées par l’intrusion de facteurs infectieux.
Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 6
C’est l’affaiblissement du système immunitaire des organismes qui provoque l’intrusion de ces agens infectieux ou, dans certains cas, qui génère ou régénère ses propres agents infectieux demeurés jusque-là muets parce que vivant en symbiose avec la machinerie cellulaire résultant de l’évolution. En conséquence, il semble évident que dans les pays développés où les conditions de nutrition et d’hygiène sont normales, point n’est besoin de prévenir par la vaccination des maladies qui n’apparaîtront jamais, puisque les facteurs générateurs de ces maladies ont pratiquement disparu. C’est ainsi que le principe des vaccinations apparaît comme une véritable supercherie et escroquerie à la santé. Les enfants en bas âge possèdent déjà à la naissance les anticorps transmis par leur mère. Plus tard, si leur organisme est confronté à des maladies comme la rougeole, les oreillons, la rubéole, etc., il provoquera lui-même par cette confrontation sa propre immunité future. Ce ne sont pas des maladies graves. Il est facile de les soigner par des méthodes naturelles.
Si des affections gravissimes voient le jour, il y a lieu alors d’incriminer des facteurs d’environnement particulièrement néfastes, auxquels peut s’ajouter une modification du terrain chez l’individu atteint, elle-même due à une transmission héréditaire ou au non-respect de véritables conditions de vie d’hygiène et de nutrition. Suivant le cas, nous serons en présence de maladies telles que la tuberculose, la poliomyélite, le choléra, la peste, la sclérose en plaques, etc. et, pourquoi pas, le sida. Or, que voyons-nous ? Plus les pays sont hautement industrialisés, plus le principe des vaccinations (pourtant inutiles) est appliqué, prôné par les gouvernements. Et plus les pays du Tiers Monde sont fragilisés parce que les populations y souffrent de malnutrition et que leur système immunitaire y est mis à rude épreuve par nombre de vecteurs pathogènes, plus l’Organisation mondiale de la santé réalise des campagnes de vaccination sans faire aucune distinction quant à l’état immunitaire des individus. C’est de l’aberration mentale.
Il est reconnu aujourd’hui par la plupart des scientifiques compétents et honnêtes qu’il s’avère extrêmement dangereux de vacciner (introduire des virus vivants ou atténués) dans l’organisme d’individus fragilisés immunitairement. Cette fragilité immunitaire est due au fait que les organismes des populations considérées se trouvent fréquemment confrontés à de nombreux facteurs pathogènes spécifiques du lieu où elles vivent et que leur système immunitaire trop sollicité n’a plus la capacité de réagir vigoureusement à des facteurs pathogènes étrangers introduits, par exemple, par la vaccination. La vaccine, en particulier, il ne faut pas l’oublier, sert de vecteur dans certains vaccins et son introduction dans un organisme débilité peut évidemment conduire à des complications désastreuses du fait que le virus peut se propager de manière pratiquement illimitée.
Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 7
Dans les pays développés, la vaccination est inutile et dangereuse, alors que dans les pays en voie de développement, elle devient criminelle. Je citerai un simple exemple. Depuis toujours, les pays africains et asiatiques ont été touchés par la peste et la variole. On sait que des épidémies extraordinaires de peste se produisirent en Chine, en Afrique et aussi en Europe aux 6e et7e siècle, puis au 14e et 17e , tuant alors le ¼ des habitants. Une 3e pandémie prit naissance en Chine en 1894. Le principal foyer endémique de la peste fut et demeure la Chine. On sait que cette maladie est provoquée par les puces et les rats qui, évidemment, prolifèrent dans ce pays où les conditions de vie et d’hygiène étaient et sont demeurées longtemps extrêmement précaires. L’épidémie s’est toujours développée dans des pays présentant les mêmes conditions précaires d’hygiène, comme ce fut le cas à une certaine époque en Afrique, en Amérique du Sud et en Europe, lorsque celles-ci s’étaient considérablement dégradées lors de périodes de misère et de guerre. Il en a été de même pour la variole et le choléra.
On a la preuve manifeste que ces épidémies et pandémies atteignent essentiellement les populations souffrant de misère physiologique et de dénutrition, ou vivant dans un environnement où les règles les plus élémentaires d’hygiène ne sont pas respectées. Autrement dit, nourrissez convenablement ces populations, faites-leur observer des règles strictes d’hygiène et vous éradiquerez ces maladies. Point n’est besoin de vacciner. Ainsi, au lieu de participer financièrement à des campagne de vaccinations, les pays développés feraient mieux de consacrer l’argent à promouvoir une agriculture et un élevage permettant aux populations de vivre décemment et à assurer une prophylaxie ad hoc par des campagnes de dératisation et d’assainissement des lieux qui constituent des foyers permanents de peste. Dans un premier temps, cela coûterait certainement plus cher que les vaccinations, mais quelles économies quelques dizaines d’années plus tard. De plus, cette action représenterait une véritable oeuvre humanitaire.
Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 8
Les foyers permanents sont connus par l’Organisation mondiale de la santé. Les campagnes de vaccination qu’elle a réalisées en Afrique contre la variole dépassent l’entendement. Depuis,1958, année où l’on avait enregistré 278 000 cas dans le monde, et non pas seulement en Afrique, jusqu’au 26 octobre 1979, date à laquelle l’Organisation mondiale de la santé annonçait officiellement l’éradication complète de la variole, plus de 120 millions d’Africains avaient été vaccinés. En 1963, on ne dénombrait plus que 80 000 cas dans le monde, avec seulement de 30% à 40% de mortalité chez les enfants non vaccinés. Pour l’OMS, la vaccination n’est efficace que si plus de 80% de tous les groupes de population sont vaccinés, y compris les nomades. C’est ainsi qu’en 1973, on pouvait estimer que plus de 100 millions de vaccinations avaient été effectuées en Afrique centrale et occidentale ! En 1980, l’évaluation peut être portée à 180 millions de vaccinés. Or, c’est alors qu’il n’y avait que 80 000 cas signalés dans le monde en 1963, que les campagnes antivariolique furent les plus intensives. En outre, ce ne fut pas la seule vaccination pratiquée dans ces pays africains ; on y ajouta celles contre la tuberculose, la poliomyélite, le tétanos, la rougeole, etc., avec des pourcentages de vaccinés de l’ordre de 70% à 100%.
Pour ses partisans et ses profiteurs, la vaccination est devenue un acte de dictature médicale et économique posé à l’encontre des plus faibles et des plus fragilisés par des conditions de vie misérables, et des moins évolués dans la compréhension des actes thérapeutique. On porrait qualifier l’acte vaccinal accompli sur ces populations peu évoluées d’acte terroriste et criminel relevant à la limite d’une volonté de génocide. Si cette intention de génocide n’est pas réelle, il s’agit là en tout cas pour les vaccinalistes d’un cas de conscience posé par les conséquences catastrophiques de semblables vaccinations à moyen et long terme. Ceux qui n’ignorent pas ces conséquences pratiquent un acte criminel, [et] ceci [pour] des raisons de profits. L’autre face de la dictature exercée par les fabricants de vaccins et les vaccinalistes confirme ce qui apparaît sur la première lorsqu"ils infligent la vaccination à des populations appartenant à des pays en voie de développement ou non. En effet, sur la seconde face, on retrouvent les mêmes procédés dictatoriaux mais modifiés parce que confortés par des lois qu’ils ont fait voter par les gouvernements, rendant certaines vaccinations obligatoires. Le régime dictatorial n’est que plus hypocrite, se retranchant derrière ces lois au sein de régimes dits démocratiques.
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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. page 139Extrait 9
Force est donc de constater que nous nous trouvons face à la situation paradoxale et aberrante suivante : tout le monde, gouvernements, organisations sociales et humanitaires, Organisation mondiale de la santé, compagnies d’assurances, corps médicale et citoyens (par manque d’information en ce qui concerne la manipulation dont ils sont les victimes) participent activement à une dégénérescence de l’espèce qui a commencé à se produire et qui se poursuivra à un rythme accéléré dans les prochaines décennies ! Le système des vaccinations n’est, ni plus ni moins, qu’une « bombe à retardement » amorcée et réglée par l’humanité elle-même sur les indications des principaux responsables de la santé et des fabricants de vaccins, disciples de Pasteur. Ceux qui prétendent être les bienfaiteurs de l’humanité, accomplissent en réalité, par ignorance ou par intérêt, un génocide programmé dans précédent dans l’histoire de l’humanité. En ce sens, Pasteur et tous ceux qui se sont inspirés de sa méthode afin de faire du profit peuvent être considérés comme des criminels.
*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.
page 146Extrait 10 : En 1903, la vaccination antivariolique est rendue obligatoire en France, au moment même où la maladie est en pleine phase de décroissance.
... Malgré de multiples accidents qui démontrent que la vaccination contre la variole est non seulement inutile mais dangereuse, provoquant plus de cas de variole chez les vaccinés que chez les non-vaccinés (voir dans la première partie de cet ouvrage, les paragraphes consacrés à Jenner), on continue à vacciner jusqu’en 1977, soit durant 74 ans !
Sir Russel Wallace, le naturaliste qui, parallèlement à Darwin, fonda la théorie de l’évolution par la sélection naturelle, s’opposa toujours à la pratique des vaccinations.
page 147Extrait 11 : Le 26 octobre 1979, l’Organisation mondiale de la santé, après d’intensives campagnes de vaccination, en particulier en Afrique centrale et au Brésil, déclare que la variole est éradiquée. Pourtant, de 1963 à 1973, dans 12 pays européens, on avait enregistré seulement 391 cas de variole, résultant de 28 importations différentes de cette maladie. ... 20 fois la maladie venait d’Asie et 5 fois, d’Afrique, régions où existent des foyers épidémiques permanents dus aux conditions d’hygiène et de malnutrition. Comment est-il concevable que devant un chiffre si bas de varioleux en Europe, on ait continué à vacciner contre la variole durant toute cette période, alors même que ces cas de variole avaient une origine extérieure à l’Europe ? Cette maladie n’a pas été éradiquée grâce à la vaccination ainsi que le prétendent l’Organisation mondiale de la santé et les vaccinalistes, mais à cause de modifications des conditions de vie et d’hygiène dans les pays industrialisés...
page 148, 149Extrait 12 : ... C’est dans les 11 pays d’Afrique où les campagnes de vaccination furent les plus intenses qu’on compte présentement le plus de sidéens. [! !!]
Dans un ouvrage intitulé « Sida, le vertige », paru en novembre 1993, après avoir passé en revue toutes les hypothèses émises sur l’origine du sida, j’expose ma propre opinion, à savoir que le rétrovirus du sida est le résultat de la recombinaison du virus de la vaccine avec le HIV 2 spécifique des populations d’Afrique centrale. Ma conclusion à propos de la vaccination antivariolique est donc formelle : non seulement a-t-elle provoqué de nombreux accidents et entretenu la variole alors même que les épidémies étaient en phase décroissante, mais elle est à l’origine du sida.
... Le professeur J. Tissot écrivait à ce sujet :
« Le virus de la vaccine jennérienne, très voisin mais différent du virus de la variole, ne vaccine pas contre celle-ci. Le fait est nettement établi par les épidémies de variole qui atteignent aussi les vaccinés. Malgré une vaccination à peu près totale des habitants de la ville de Leicester (Angleterre), l’épidémie de 1872 a causé tellement de varioles chez les vaccinés qu’on a abandonné la vaccination pour la remplacer avec succès par des mesures prophylactiques. L’épidémie de variole de 1918-1919 aux Philippines, dont la nation est depuis 1905 une des plus complètement vaccinée du monde, a frappé indistinctement vaccinés et non-vaccinés, causant 145 317 cas et 63 434 morts. La mortalité par variole a atteint 65, 3% à Manille, ville la plus fortement vaccinée du pays, alors qu’elle n’était que de 10% avant 1905. Les mêmes faits ont été constatés en Allemagne et au Japon. Ce sont là des preuves formelles qui établissent que la vaccination jennérienne ne protège pas contre la variole et qu’elle accroît même fortement la mortalité. »
*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.
page 150, 151Extrait 13 : ... quelques opinions scientifiques à ce sujet :
Les professeurs J. Aleksandrowicz et B. Halileokowski, de l’Académie des Sceiences de Cracovie (Pologne), in « The Lancet » du 6 mai 1967 :
« Des rapports déjà publiés, ainsi que nos propres observations, indiquent que la vaccination antivariolique provoque parfois l’apparition d’un cadre leucémique. Chez 5 enfants et 2 adultes observés dans les cliniques de Cracovie, la vaccination antivariolique a été suivie par de violentes réactions locales et générales et par la leucémie. »
Le docteur B Duperrat, de l’Hôpital Saint-Louis, dans " La Presse Médicale " du 12 mars 1955 :
« La vaccination provoque, en outre, une explosion de leucémie. »
Le professeur René Dubos, dans "Man, Medecine and Environment", Praeger, New York, 1968 :
« Le vaccin antivariolique provoque de graves encéphalites chez certains individus même s’il a été administré avec un soin extrême. La possibilité de contracter la variole est maintenant tellement réduite que les risques d’accident provenant du vaccin sont plus élevés que la possibilité de contracter la maladie elle-même. »
Dans la revue "Vie et Action" de mars-avril 1966 :
« En Grande-Bretagne, la vaccination antivariolique n’est plus obligatoire depuis 1898 et pourtant 5 fois moins de gens sont morts de variole en Grande-Bretagne qu’en France où cette vaccination est obligatoire. Il en est de même en Hollande. »
Le Directeur scientifique de Pasteur Vaccins, dans "Le Monde" du 23 mai 1987 :
« Les problèmes soulevés pourraient effectivement conduire à une remise en question de certains vaccins comme le BCG, le vaccin antipolio oral ou le vaccin contre la rougeole. »
Robert R. Redfield et Al Walter Reed, de l’"Army Institute of Research du Department of Virus Diseases" dans la revue "The New England Journal of Medecine", vol. 316, n° 11, 12 mars 1987 :
« Ce cas montre que la primo-vaccination antivariolique des personnes porteuses du virus du sida pose le risque que le vaccin déclenche la maladie et que les vaccinations multiples puissent accélérer le développement du sida. De plus, ce cas soulève des questions préoccupantes quant à la sécurité ultime des vaccins clonés sur virus vaccinia dans les pays en voie de développement dans lesquels le sida se propage de plus en plus. »
La même revue relate le cas d’un militaire américain vacciné au moment de son incorporation contre différentes maladies, dont la variole, lequel a développé une vaccine généralisée, puis le sida, dont il est décédé très rapidement. Avant d’être incorporé, ce militaire avait subi un examen de santé complet comprenant une formulation sanguine qui faisait apparaître 6 200 globules blancs avec 24% de lymphocytes ; tous les autres résultats étaient également normaux.
*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.page 157 Extrait 14 :
Une preuve évidente de l’inutilité et de la dangerosité du BCG est que l’Organisation mondiale de la santé, sans doute préoccupée par cette question d’efficacité, organisa une expérience à grande échelle aux Indes entre 1968 et 1971. Un district fut choisi comprenant 209 villages et une ville, soit 360 000 personnes. Toutes les personnes furent testées à la tuberculine, et négatives, furent divisées en 2 groupes : l’un fut vacciné ; l’autre non. Ellles furent suivies dans des conditions rigoureuses durant 7 ans et ½. Le résultat a été le suivant : il y a eu autant de cas de tuberculose chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. Autrement dit et suivant le rapport même de l’OMS (Groupe scientifique ICMR/OMS, n° 651, Genève, 1980) :
« Le BCG ne conférait aucune protection au cours de 7 ans et ½ de surveillance ultérieure et la maladie bacillaire frappait beaucoup plus souvent les sujets qui avaient initialement réagi à la tuberculine, après vaccination, que ceux qui n’avaient présenté aucune réaction. »
SANS COMMENTAIRE !
La République fédérale d’Allemagne n’avait pas attendu ce rapport et, dès 1973, avait suspendu la pratique de la vaccination par le BCG. En France, depuis de nombreuses années, certains professeurs de médecine réclament l’abandon de la vaccination, ainsi le professeur J. Chrétien, pneumo-phtisiologue à l’hôpital Laennec, à Paris et le professeur J. P. Derenne, service de pneumologie de l’hôpital Saint-Antoine, aussi à Paris, qui se sont exprimés en maintes occasions dans des revues médicales comme "Le Concours Médical". Après la guerre de 40-45, ravagés et ayant souffert de conditions de vie précaires, les Pays-Bas présentaient de nombreux cas de tuberculose. Jamais, la vaccination par le BCG n’y fut pratiquée et, cependant, la tuberculose fut éradiquée. Depuis de nombreuses années, ce pays présente le taux le plus bas des pays d’Europe pour la mortalité par tuberculose. Par contre, les cas de tuberculose sont élevés dans tous les pays où la vaccination est obligatoire. Dans son bulletin statistique (n° 1, 1974), le ministère de la Santé publique et la Sécurité sociale constate que là où la vaccination est obligatoire, dans les pays comme la Bulgarie, la Tchécoslovaquie, la Pologne, le Portugal, les cas de tuberculose sont en nette progression. Depuis 5 ans, nous assistons au même phénomène en France.
*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.
page 159 Extrait 15 : En mai 1930, un événement particulièrement tragique venait confirmer les dires du professeur Lignières. À l’hôpital de Lübeck (Allemagne), 72 nouveau-nés meurent à la suite de la vaccination par le BCG. L’enquête révèle que ce vaccin avait été préparé à partir d’une souche fournie par l’Institut Pasteur français. Un procès a lieu et les résultats de l’enquête font apparaître que le personnel de l’hôpital avait reçu l’ordre de détruire tous les flacons de BCG qui n’avaient pas été utilisés. Dans ces conditions, toutes preuves n’existant plus, le tribunal attribua le décès des 72 enfants à une erreur commise par des inconnus.
page 170 Extrait 16 : LE VACCIN CONTRE LE CHOLÉRA
Quoi qu’il en soit, il apparaît aux dires de certains experts ("Science et vie", avril 1973) que le vaccin protège seulement une personne sur 2 pendant une brève période de 4 à 6 mois et qu’on ne peut compter sur ce vaccin pour enrayer une épidémie. En 1988, une grave épidémie de choléra affecta l’Inde. Des milliers d’individus furent atteints. Or, l’Organisation mondiale de la santé avait réalisé quelques vaccinations expérimentales de masse en Inde en 1987, utilisant un vaccin mis au point par des chercheurs australiens. Ce vaccins avait été expérimenté sur des animaux et était administré par voie orale. Une immunité à vie était garantie avec une seule dose dont le prix était à la portée de toutes les bourses (Communiqué ATS-ANSA-REUTER et "Corrierre del Ticino", 25 juillet 1988). Cet essai de vaccination a-t-il provoqué l’épidémie ? Cent mille personnes avaient été vaccinées dans la région de New Delhi.
*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.page 176 Extrait 17 :
À propos de la vaccination contre la coqueluche, le docteur G.T. Stewart, professeur de médecine à l’Université de Glasgow (Écosse), constate que 30% des cas de coqueluche se déclarent chez les vaccinés. Il y a lieu de faire remarquer que cette vaccination fut introduite en 1936 au moment où la mortalité due à cette infection avait considérablement diminué. Il en fut d’ailleurs ainsi chaque fois pour toutes les vaccinations. quant au professeur George Dick de l’hôpital du Middlesex, autorité mondiale en matière d’immunologie, il déclare que "chaque année, le vaccin contre la coqueluche peut causer l’infirmité de nombreux enfants, provoquant des lésions cérébrales, ajoutant que les médecins sont toujours réticents lorsqu’il s’agit d’attribuer des méfaits à des thérapies qu’ils ont eux-mêmes recommandées " ("Daily Telegraph", 7 avril 1973). Et dans son ouvrage intitulé "La poliomyélite", cité dans « Survie » (1975) le docteur J. Pilette écrit que "le vaccin contre la coqueluche et le vaccin multiple Coqueluche-Diphtérie peuvent provoquer l’apparition de la poliomyélite, apparaissant de préférence dans les membres qui ont été inoculés.
Deux événements événements semblent donner raison au docteur Pilette. En Australie, dans l’État de Victoria, on a enregistré entre janvier et août 1949, 375 cas de polio dont 31 étaient liés au vaccin multiple auquel avaient été soumis le même nombre d’enfants en l’espace de 3 mois [donc 100% des enfants vaccinés !!!], alors qu’à Londres, sur 182 cas de polio chez des enfants de moins de 5 ans, 35 avaient reçu 4 semaines auparavant une inoculation de vaccin contre la coqueluche ou le vaccin mixte coqueluche-diphtérie.
Le journal "JAMA ( Journal of the American Medical Association)", en 1982, reconnaissait que "depuis le début des vaccinations avec le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche, on a pu observer des réactions aiguës d’encéphalopathies liées au vaccin.
Cela, on le savait depuis bien longtemps !
*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. page 177 et 178 Extrait 18 :
LE VACCIN POR (Rougeole, Oreillon, Rubéole)
Un groupe médical de réflexion suisse composé des docteurs H. Albonico, P. Klein, C. Grob et D. Pewner et travaillant en collaboration avec 180 médecins suisses et différents spécialistes suisses, allemands et américains ainsi qu’avec le Center of Diseases Control (CDC) aux USA et le professeur D. Jachertz à Berne, épidémiologiste réputé, a publié un rapport à propos de la vaccination ROR (2 novembre 1990). De ce document ressort une vive critique du principe de cette vaccination, cette critique étant fondée sur divers accidents produits, en particulier aux USA. On y lit que de sévères épidémies de rougeole récemment déclarées aux USA et en Hongrie, 2 pays affichant une haute couverture vaccinale depuis plusieurs années, permettent de mettre en doute l’efficacité du vaccin. Selon le professeur Diether Jachertz, cité par ce rapport, les risques encourus étant imprévisibles, il faut se garder, en l’absence d’urgence sanitaire, "de transformer une maladie à caractère endémique en épidémie par une vaccination systématique."
Ce rapport rend aussi compte de la situation aux USA en 1990, à savoir que malgré une haute couverture vaccinale, les cas de rougeole sont depuis deux ans en constante augmentation. Les nourrissons et les adolescents sont les nouvelles vistimes de ces épidémies. De source officielle, la mortalité est alors 10 fois supérieure à celle enregistrée avant l’introduction du vaccin. La plupart des décès sont attribués à la pneumologie rougeoleuse. Un quart d’entre eux concerne les enfants de moins de 1 an et on observe la même proportion pour les jeunes adultes (19-33 ans).
Lors du lancement de la campagne suisse de vaccination ROR en 1987, l’exemple des États-Unis fut présenté comme un modèle de référence. Après 20 ans de vaccination systématique obligatoire, les USA avançaient un taux de vaccinés de plus de 95% et une réduction massive des cas de rougeole. Cependant, la situation récemment rencontrée en 1989-1990 donne matière à réflexion. Depuis 1982, des épidémies de rougeole toujours plus importantes ont fait leur apparition. L’augmentation des déclarations de cas de rougeole en 1989 par rapport à l’année précédente fut de 380% !
*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. page 181 et 182 Extrait 19 :
LE VACCIN CONTRE L’HÉPATITE B
(...)
Il y a une dizaine d’années, l’hépatite B était censée atteindre seulement les médecins et les infirmières, ceci au contact du sang d’un malade ou par suite de piqûres. On sait aujourd’hui que la maladie se transmet par voie sexuelle. Le virus de cette maladie a été découvert aux États-Unis en 1963. Les premiers vaccins furent réalisés et utilisés en 1976 par l’équipe du professeur Maupas, à Tours, en France. En 1991, dans ce pays, la loi rendit obligatoire la vaccination contre l’hépatite B pour le personnel de santé. Peu nombreuses, ces premières vaccinations n’ont pas été suivies et, par conséquent, on ne peut savoir quels effets secondaires se sont produits chez les vaccinés. Par contre, on sait que cette vaccination obligatoire pour le personnel de santé fut un échec avoué. De toutes façons, depuis 1976, il s’est écoulé trop peu de temps (20 ans) pour vérifier l’innocuité et l’efficacité du vaccin puisque les cirrhoses et cancers du foie mettent de 15 à 20 ans pour se manifester. Le recul n’est donc pas suffisant. Les enfants vaccinés à l’automne 1994 (plus de 500 000) avec l’Engerix B, et non suivis à cause de leur nombre, présenteront probablement des cancers et autre affections graves dans 15 ou 20 ans. Malgré cette évidence, les fabricants de vaccins qui considèrent que le temps est de l’argent et souhaitent réaliser un chiffre d’affaires et des bénéfices records, voudraient que la vaccination contre l’hépatite B devienne obligatoire. À cet effet, ils font pression de tout leur poids sur les instances politiques qui leur sont inféodées.
*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. page 199 Extrait 20 :
LE VACCIN CONTRE LA POLIOMYÉLITE
Le vaccin contre la poliomyélite a été l’un des premiers vaccins antiviraux. Mis au point par le biologiste Salk, il fut fabriqué à partir de cultures du virus sur reins de singes. Des dizaines de millions d’enfants furent vaccinés jusqu’en 1960, date à laquelle on découvrit qu’il était contaminé par le virus SV 40 du singe, virus qui avait échappé à l’attention des fabricants de vaccins et qui, on le saura trop tard, provoquait des tumeurs chez les hamsters et une cancérisation chez l’homme, ainsi que le révélèrent certains expérimentations sur tissus humains.
*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.
page 209 Extrait 21 :
CONCLUSION
Dans les pays européens, mais particulièrement en France, l’affaire du sang contaminé par le virus du sida a défrayé la chronique, apparaissant au grand public comme un révélateur des pratiques scandaleuses du monde médical. C’est avec stupeur que les gens qui avaient une absolue et imbécile confiance à l’égard de la médecine allopathique institutionnelle ont appris que des produits contaminés avaient été sciemment vendus à des hémophiles, les vouant à une mort certaine à moyen terme. Pour des raisons de profit, au lieu d’être retirés du marché, les stocks de sang contaminé ont continué à être vendus. Dans le même temps, toujours pour des rasons d’ordre économique, les tests de dépistage proposés par deux laboratoires américains étaient refusés afin de permettre à l’Institut Pasteur, pris au dépourvu, de développer un test "français", source de profit pour cette institution et pour l’État.
Dans cette sombre histoire, placé sous le signe du cynisme le plus criminel qu’il soit, ont trempé des hommes politiques, leurs conseillers sortis tout droit de l’Institut Pasteur et, surtout, des médecins en charge de la santé publique, oubliant leur devoir le plus élémentaire, celui de la préserver.
Note
page 214 Extrait 22 :
En l’absence d’une connaissance immunologique exacte, le principe absurde et antiscientifique des vaccinations pouvait à la rigeur, il y a 100 ans, être compris : il relevait de l’empirisme. De nos jours, alors que de sérieux progrès ont été accomplis dans le domaine de l’immunologie et de la virologie, poursuivre dans cette voie constitue à n’en pas douter un crime contre l’humanité. Allons-nous, longtemps encore, subir la loi des fabricants de vaccins, de leurs zélés serviteurs du corps médical et des politiques corrompus qui les soutiennent ? La question est posée.
(...)
Au moment même où je termine cet ouvrage, l’un de mes correspondants américains m’adresse un fax par lequel il me rent compte d’un article paru dans le "New York Times" du 16 mai 1995, sous la plume d’un médecin nommé Lawrence K. Altman. Cet article remet complètement en question la réputation et les travaux de Pasteur, accusé par l’auteur d’avoir volé les idées et les découvertes de ses rivaux. Le docteur Altman démontre, après examen attentif et objectif des documents de laboratoire de Pasteur, que ce dernier a triché lors de ses expérimentations et qu’il a volé les travaux réalisés par d’autres.
........... F I N ......
Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d’auteurs, ©2000.(pages 384 à 386)
LE PROJET SIDA ! [1/4]
Aurelio Peccei a proposé plusieurs projets, tous secrets. Le projet principal consistait à développer un microbe, qui attaquerait le système immunitaire, et pour lequel un vaccin serait presque impossible à développer. L’ordre a donc été donné de développer ce microbe, sans oublier les moyens prophylactiques et une thérapeutique appropriée. Le microbe devait être dispersé dans le population, les moyens prophylactiques seraient réservés à l’élite. Quand la population aurait sffisamment baissé, on pourrait officiellement anoncer la découverte du médicament pour soigner les survivants. Il est clair que le médicament existait depuis le début de l’opération. Ce projet fait partie intégrante du projet Global 2000. Maintenant c’est à vous de deviner comment s’appelle ce microbe ? Évidemment, il s’agit du virus du Sida !!
Le projet a été approuvé par le Congrès en 1969, sous le numéro de code H.B.15090. 10 millions $ ont été versés pour la première tranche. Des témoignages devant la commission de Sénat ont révélé qu’un « agent synthétique et biologique devait être développé, un agent qui n’existe pas dans la nature et contre lequel l’organisme est incapable de produire des anticorps. Il doit être possible de développer ce micro-organisme dans les 5 à 10 ans à venir Il est primordial qu’il soit résistant à tout processus immunologique et thérapeutique connu ». Sir Julian Huxley dit à ce sujet : « La surpopulation est la plus grande menace que notre espèce aura à affronter dans le futur ».
Le projet SIDA, qui porte à ce moment-là le nom de MK-NAOMI, a été élaboré à Fort Dertrick, dans le Maryland. D’après les explications du Dr. Strecker, on a mélangé des rétrovirus mortels, des virus de leucémie, (bovin leikemia) avec des virus « visna » du mouton, et on les a injectés dans du tissu humain.
Comme il fallait agir sur une grande partie de la population, on a commencé par les populations « indésirables » : les Noirs, les hispaniques et les homosexuels ont été encouragés d’un côté à exprimer leur différence, d’un autre côté ils se sot retrouvés sur la liste des personnes à éliminer.
L’OMS (Organisation Mondiale de la santé) a collaboré à ce projet, aux côtés du National Cancer Institute. Des articles ont été publiés, pour inciter les chercheurs à développer un virus mortel pour l’homme. En 1972, l’OMS publiait ce genre de propos : « Nous faisons des recherches pour savoir si certains virus peuvent agir sur les fonctions immunitaires. Il faut inclure la possibilité que la réaction immunitaire face au virus diminue, si le virus endommageait les processus antiviraux de la cellule ».
Pour l’exprimer plus simplement il faudrait dire : « Développons un virus qui peut détruire les cellules-T quand on l’administre de façon volontaire ».
Le continent africain a été infecté en 1977, à travers la campagne de vaccination contre la variole. La vaccination a été réalisée par l’OMS. Le Dr Strecker assurait qu’en l’espace de 15 ans, toute l’Afrique serait dévastée, si on ne trouvait pas le remède ! Certains pays ont dépassé depuis longtemps le stade de l’épidémie !
Le médecin courageux qui a révélé au grand public ce projet s’appelle Théodore A. Strecker. Il aurait dû être récompensé du prix Nobel, mais il peut s’estimer heureux de ne pas avoir été victime d’un suicide (le suicide typique, c’est le célèbre chercheur californien qui s’est ligoté les mains dans le dos, s’est pendu et a sauté ensuite du 20e étage. Aucune trace indiquant une intervention extérieure n’a été retrouvée [...] )
En 1978, une partie de la population américaine a été contaminée, à travers le vaccinn contre l’hépatite B. Le Dr Wolf Schmugner, l’ancien compagnon de chambre de Jean Paul II, a été l’instigateur de cette opération, réalisée par le "Center for Disease Control", de novembre 1978 à octobre 1979, et de mars 1980 à octobre 1981. Schmugner est né en Pologne, il a fait ses études en Russie et a ensuite immigré aux États-Unis, en 1969. Par des chemins détournés, il a été nommé directeur de la banque du sang new-yorkaise. C’est lui qui a dispersé le virus du Sida sur l’Amérique du Nord. Il était responsable de la campagne de vaccination contre l’hépatite B, c’est lui qui a décidé du mode d’application, à commencer par les homosexuels. Par voie de petites annonces, on cherchait des homosexuels mâles de 20 à 40 ans. Ce qui a provoqué le Sida était contenu dans le vaccin, était fabriqué à Phoenix, en Arizona et était conditionné en bouteille. Toutes les données sur cette campagne de vaccination sont entre les mains du ministère de la Justice, où elles sont à l’abri pour longtemps.
Le signal de départ a été donné par le comité des Bilderberger, En Suise, en même temps que d’autres directives importantes. Celle qui est la plus facile à démontrer est la Haig-Kissinger-Depopulation Policy appliquée par le State Department. La directive précisait que les pays du tiers-monde devaient entreprendre des actions efficaces pour réduire leur population et la contrôler, pour pouvoir continuer à bénéficier des aides des États-Unis. Si un pays devait contrevenir à cet ordre, il verrait bientôt éclater une guerre civile, montée de toute pièce par la CIA. C’est une des raisons qui font qu’au Nicaragua, au Slvador et dans d’autres pays, plus de jeunes femmes que de soldats ont été tuées. Dans les pays catholiques, ce sont les Jésuites qui ont fomenté les guerres civiles. Le Haig-Kissinger-Depopulation Policy a été soutenue par les gouvernements successifs, elle est devenue partie intégrante de la politique extérieure américaine. Tous lles moyens sont bons pour réduire la population du globe, la guerre, la famine, les épidémies, les stérilisations de masse, par l’USAID par exemple. L’organisme de planification ne se trouve pas à l’intérieur des murs de la Maison Blanche. Cette commission s’appelle Ad Hoc Group on Population Policy, elle dépend du National Security Council. L’état-majo est au State Departement’s Office of Population Affairs, créé en 1975 par Henry Kissinger, alors ministre des Affaires Étrangères. C’est le même groupe qui a rédigé le rapport Global 2000, remis entre les mains du président d’alors Jimmy Carter.
Thomas Fergusen, chargé de mission au State Departement’s Office of Population Affairs (OPA) pour l’Amérique latine a dit la chose suivante : « Il n’y a qu’une chose qui compte pour nous, nous devons réduire la densité de population. Soit ils le font comme nous voulons, c’est-à-dire avec des méthodes propres (Sida, stérilisation), soit nous assisterons à d’autres boucheries, comme au Salvador ou à Beyrouth. La surpopulation est un problème politique. Si elle échappe au contrôle des autorités, il faut un pouvoir autoritaire, s’il le faut fasciste, pour y remédier. Les professionnels ne veulent pas réduire les populations pour des raisons humanitaires. C’est louable, mais il ne s’agit en fait que de matières premières et de facteurs d’environnement. Nous avons des raisons stratégiques qui nous poussent dans cette direction. Le Salvador n,est qu’un exemple parmi d’autres, qui montre que notre échec dans la réduction des populations a conduit à une grave crise nationale. Le gouvernement salvadorien n’a pas réussi, avec nos méthodes, à réduire la population de façon significative. C’est pourquoi il a eu droit à une guerre civile. La guerre civile est l’ultime tentative pour réduire la population. Le moyen le plus rapide d’y parvenir reste la famine, comme en Afrique, ou une épidémie telle que la peste noire, qui pourrait un jour s’abattre sur le Salvador ».
...)
Fergusen nous donne encore plus d’explications : « Nous ciblons un pays et disons, voici votre plan de développement. Jetez-le à la poubelle et occupez-vous de réduire d’abord votre population. Si cela ne vous plaît pas de procéder par planification, vous aurez un autre Salvador ou un 2e Cambodge ».
(...)
Le projet MK-NAOMI a été développé par des chercheurs de la Special Operations Division (SOD), à Ft. Detrick, Maryland, sous l’égide de la CIA. Mais le Sida est trop lent. À l’automne 1994, nous avons rencontré le Dr John Coleman à Honolulu, l’auteur du livre le comité des 300 et ancien agent du MI 6 britanique. Coleman explique que le « nouveau » virus a été testé pendant un an dans un pays d’Amérique du Sud, et qu’il pourrait être lâché dans la nature au printemps 1995. Quand il deviendra vraiment actif, on pourra dire : « infecté le matin, mort le jour même ». Ce virus là est transmissible par la salive.
******** F I N *********
Voir aussi : NOUS SOMMES TOUS DES COBAYES Thomas Fergusen, chargé de mission au State Departement’s Office of Population Affairs (OPA) pour l’Amérique latine a dit la chose suivante : « Il n’y a qu’une chose qui compte pour nous, nous devons réduire la densité de population. Soit ils le font comme nous voulons, c’est-à-dire avec des méthodes propres (Sida, stérilisation), soit nous assisterons à d’autres boucheries, comme au Salvador ou à Beyrouth. La surpopulation est un problème politique. Si elle échappe au contrôle des autorités, il faut un pouvoir autoritaire, s’il le faut fasciste, pour y remédier. Les professionnels ne veulent pas réduire les populations pour des raisons humanitaires. C’est louable, mais il ne s’agit en fait que de matières premières et de facteurs d’environnement. Nous avons des raisons stratégiques qui nous poussent dans cette direction. Le Salvador n,est qu’un exemple parmi d’autres, qui montre que notre échec dans la réduction des populations a conduit à une grave crise nationale. Le gouvernement salvadorien n’a pas réussi, avec nos méthodes, à réduire la population de façon significative. C’est pourquoi il a eu droit à une guerre civile. La guerre civile est l’ultime tentative pour réduire la population. Le moyen le plus rapide d’y parvenir reste la famine, comme en Afrique, ou une épidémie telle que la peste noire, qui pourrait un jour s’abattre sur le Salvador ».
...)
Fergusen nous donne encore plus d’explications : « Nous ciblons un pays et disons, voici votre plan de développement. Jetez-le à la poubelle et occupez-vous de réduire d’abord votre population. Si cela ne vous plaît pas de procéder par planification, vous aurez un autre Salvador ou un 2e Cambodge ».
(...)
Le projet MK-NAOMI a été développé par des chercheurs de la Special Operations Division (SOD), à Ft. Detrick, Maryland, sous l’égide de la CIA. Mais le Sida est trop lent. À l’automne 1994, nous avons rencontré le Dr John Coleman à Honolulu, l’auteur du livre le comité des 300 et ancien agent du MI 6 britanique. Coleman explique que le « nouveau » virus a été testé pendant un an dans un pays d’Amérique du Sud, et qu’il pourrait être lâché dans la nature au printemps 1995. Quand il deviendra vraiment actif, on pourra dire : « infecté le matin, mort le jour même ». Ce virus là est transmissible par la salive.
******** F I N *********
Voir aussi : NOUS SOMMES TOUS DES COBAYES
samedi 9 janvier 2010
VACCINS=DANGER : A LIRE, UN DOCUMENT EDIFIANT
Publié par
Justine Mérieau
à
1/09/2010 03:04:00 AM
2
commentaires
Libellés : maladies, médicaments, Pasteur, sida, vaccin, vaccination, virus
jeudi 10 décembre 2009
QUID DU VACCIN CONTRE LA GRIPPE AH1N1 ?
Article publié par le docteur Dupagne le 2 décembre 2009
Pour en savoir davantage : http://www.atoute.org/n/article134.html
Que penser du vaccin pandémique et de ses adjuvants ?
En Europe, un élément perturbe le débat sur les questions précédentes : la composition du vaccin pandémique utilisé pour la campagne de vaccination de masse 2009. Comme nous l’avons vu, il a été fabriqué en suivant un protocole industriel et administratif accéléré destiné à la grippe H5N1 dite grippe aviaire. C’est à dire une situation d’urgence majeure face à un virus dont la mortalité aurait été de 30% (et non de 0,01%). Le vaccin a été "dopé" avec un corps gras, le squalène pour accélérer sa fabrication. On sait que ce squalène favorise aussi les réactions locales douloureuses et les réactions générales comme la fièvre ou les courbatures. En revanche, aucun accident grave ne lui a été imputé avec certitude. Un doute persiste sur son effet déclenchant pour des maladies auto-immunes. Malgré un recul assez important sur son emploi, les données sont peu probantes car il a été essentiellement administré à des personnes âgées en institution. On commence à disposer de données canadiennes qui montrent une fréquence d’accidents graves (dont des décès) de 1/250.000 vaccinés par un vaccin au squalène proche du PANDEMRIX. Des données anglaises récentes vont dans ce sens.
Aux USA, le vaccin pandémique ne contient pas de squalène. Il est identique, à la souche virale près, au vaccin saisonnier.
En France, les flacons multidoses utilisés pour la vaccination pandémique de masse contiennent un conservateur dérivé du mercure, le thiomersal. Nous ne savons pas actuellement si ce produit peut poser des problèmes. Si c’est le cas, ils sont suffisamment rares pour ne pas avoir été mis en évidence dans les études réalisées par le passé. L’agence du médicament française avait néanmoins recommandé en 2000 de ne plus l’utiliser http://www.afssaps.fr/Infos-de-secu... mais encore une fois, ce vaccin a été fabriqué dans le cadre d’une procédure d’urgence "Grippe aviaire H5N1" dont la forte mortalité rendait secondaire les considérations sur les conservateurs. Cette procédure paraît a posteriori injustifiée pour le virus H1N1, mais il est toujours plus facile d’avoir raison a posteriori.
Ces adjuvants et conservateurs sont actuellement considérés comme sûrs par les autorités sanitaires, mais pas par les fabricants qui ont demandé contractuellement à être libérés de leur responsabilité en cas de problème. Il serait plus cohérent pour convaincre le public que les fabricants renoncent à cette clause de protection et partagent ainsi leur confiance dans leur produit.
Le squalène, responsable d’un plus grand nombre d’effets indésirables modérés, faciliterait en revanche une immunité plus solide, notamment contre les premiers virus mutants qui commencent à apparaître et qui ne sont que faiblement différents du A/H1N1 2009 initial. Cet "élargissement" de l’immunité avec les vaccins adjuvés au squalène est plausible mais demande à être confirmée.
Ces inconnues ne facilitent pas le choix de ceux qui penchent pour la vaccination. Il pourrait leur paraitre tentant d’attendre vaccin sans adjuvant, mais c’est maintenant que le risque de contamination est le plus élevé.
Un élément ne penche pas en faveur du vaccin pandémique : la pandémie est bien lancée en France et proche de son pic. Il n’est habituellement pas recommandé de se vacciner en plein pic épidémique car l’immunité met au moins 15 jours à s’installer. Il est probablement bien tard pour se vacciner actuellement.
La survenue d’un deuxième pic début 2010, un moment envisagée, devient improbable depuis quelques jours : nous sommes déjà dans le deuxième pic, le premier étant survenu en septembre. Se vacciner actuellement peut être un pari sur un risque de contamination à plus de 15 jours.
Enfin, il faut préciser que la vaccination d’un sujet ayant déjà contracté la nouvelle grippe H1N1 sans s’en rendre compte n’expose à aucun risque connu.
Publié par
Justine Mérieau
à
12/10/2009 01:04:00 AM
1 commentaires
jeudi 29 octobre 2009
PRISE DE POSITION SUR LE VOILE EN FRANCE
AUX FEMMES VOILEES
Femmes, ô vous, femmes voilées,
Ne soyez plus opprimées,
Ne cachez plus vos cheveux,
Ce n’est pas Dieu qui le veut !
Femmes, ô vous, femmes voilées,
Le voile fut imposé
Par les mollahs de l’Iran,
Mais jamais par le coran !
Ne soyez plus asservies,
Jetez le voile aux orties !
Pourquoi donc vouloir cacher
Ce que les hommes ont eux-mêmes ?
Nier votre féminité,
C’est injure et c’est blasphème !
Femmes, ô vous, femmes voilées,
Vous êtes manipulées !
Rassemblez-vous pour lutter,
Poussez bien haut votre cri,
Soyez femmes épanouies !
Publié par
Justine Mérieau
à
10/29/2009 02:17:00 AM
4
commentaires
Libellés : bourka, femmes voilées, voile
mercredi 19 août 2009
vendredi 31 juillet 2009
vendredi 3 juillet 2009
TEXTE INTEGRAL DU DISCOURS D'OBAMA AU CAIRE LE 6 JUIN 2009
DISCOURS D'OBAMA AU CAIRE (texte intégral en traduction française)
samedi 6 juin 2009
Je suis honoré de me trouver dans la ville éternelle du Caire, et d’être accueilli par deux remarquables institutions. Depuis plus de mille ans, al-Azhar joue le rôle de phare de l’érudition musulmane, et depuis plus d’un siècle, l’Université du Caire est l’une des sources du progrès de l’Egypte. Ensemble, vous représentez l’harmonie entre tradition et progrès. Je vous suis reconnaissant pour votre hospitalité, et pour l’hospitalité du peuple égyptien. Je suis également fier d’apporter avec moi la bonne volonté du peuple américain et un salut de paix de la part des communautés musulmanes de mon pays : assalaamou aleikoum.
Nous nous rencontrons en une période de tension entre les Etats-Unis et les musulmans partout dans le monde, une tension inscrite dans des forces historiques qui dépassent tout débat politique en cours. Dans la relation entre l’islam et l’Occident, il y a eu des siècles de coexistence et de coopération, mais aussi un conflit et des guerres religieuses. Plus récemment, cette tension a été nourrie par le colonialisme qui a privé de nombreux musulmans de leurs droits et de leurs chances, et par une guerre froide où des pays à majorité musulmane ont été trop souvent considérés comme des sous-traitants, sans égard pour leurs propres aspirations. De plus, les changements énormes provoqués par la modernisation et la mondialisation ont conduit d nombreux musulmans à considérer l’Occident comme hostile aux traditions de l’islam.
De violents extrémistes ont exploité ces tensions chez une minorité réduite mais puissante de musulmans. Les attentats du 11 septembre 2001 et les violences continuelles de ces extrémistes contre des civils ont conduit certains, dans mon pays, à percevoir l’islam comme irrémédiablement hostile, non seulement à l’Amérique et aux pays de l’Occident, mais aussi aux droits de l’homme. Cela a renforcé encore la peur et la méfiance.
Tant que notre relation sera définie par nos différences, nous renforcerons ceux qui sèment la haine et non la paix, et qui promeuvent le conflit plutôt qu’une coopération qui peut aider nos peuples à parvenir à la justice et à la prospérité. Ce cycle du soupçon et de la discorde doit cesser.
Je suis venu chercher un nouveau oommencement entre les Etats-Unis et les musulmans du monde entier, qui se fonde sur un intérêt et un respect mutuels ; qui se fonde sur le fait que l’Amérique et l’islam ne sont pas exclusifs l’un de l’autre et ne sont pas voués à se faire concurrence. Au lieu de cela, ils se chevauchent et partagent des principes communs : justice et progrès ; tolérance et dignité de tous les êtres humains.
Je fais cela en ayant conscience que le changement ne peut pas s’effectuer en un jour. Un discours seul ne peut éradiquer des années de méfiance. Et je n’ai pas non plus de réponse immédiate à toutes les questions complexes qui nous ont amenés au point où nous sommes. Mais je suis convaincu que pour avancer, nous devons dire ouvertement ce que nous avons sur le cœur et que, trop souvent, nous ne disons que derrière des portes fermées. Il doit y avoir un effort soutenu pour s’écouter, apprendre l’un de l’autre et chercher des terrains d’entente. Comme le dit le sait Coran ; « Sois conscient de Dieu et dis toujours la vérité. » C’est ce que je me propose de faire : dire la vérité du mieux que je peux, humble devant la tâche qui nous attend, et ferme dans ma croyance que les intérêts que nous partageons en tant qu’êtres humains sont beaucoup plus forts que les forces qui nous séparent.
Cette conviction est en partie liée à ma propre expérience. Je suis chrétien, mais mon père venait d’une famille kenyane qui comprend plusieurs générations de musulmans. Enfant, j’ai vécu plusieurs années en Indonésie et j’entendais l’appel du muezzin à l’aube et à la tombée du jour. Jeune homme, j’ai travaillé dans des communautés de Chicago où beaucoup ont trouvé dignité et paix dans leur foi musulmane.
Instruit en histoire, je connais aussi la dette de la civilisation envers l’islam. Ce fut l’islam - dans des endroits comme l’Université al-Azhar - qui a porté la flamme de l’étude pendant plusieurs siècles, montrant la voie en Europe à la Renaissance et aux Lumières. Ce fut l’esprit d’innovation qui soufflait sur les communautés musulmanes qui a produit l’algèbre, nos compas et outils de navigation, notre maîtrise de l’imprimerie, notre compréhension de la transmission des maladies et des moyens de la soigner. La culture musulmane nous a donné des arches majestueuses et des spirales élancées, une poésie éternelle et une musique magnifique ; une calligraphie élégante et des endroits de paisible contemplation. Dans son histoire, l’islam a fait la preuve, par les paroles comme par les actes, que la tolérance religieuse et l’égalité raciale étaient possibles.
Je sais aussi que l’islam a toujours fait partie de l’histoire américaine. Le Maroc a été le premier pays à reconnaître notre nation. En signant le Traité de Tripoli en 1796, notre deuxième président, John Adams, avait écrit : « Les Etats-Unis n’ont aucune trace d’hostilité envers les lois, la religion et la tranquillité des musulmans. » Et depuis notre fondation, les musulmans américains ont enrichi les Etats-Unis. Ils ont combattu dans nos guerres, servi au gouvernement, lutté pour les droits civiques, créé des entreprises, enseigné dans nos universités, excellé dans nos sports, été lauréats de prix Nobel, construit nos immeubles les plus hauts et allumé la torche olympique. Et lorsque le premier musulman américain a été élu au Congrès, il a fait le serment de défendre notre constitution sur le même Coran que l’un de nos pères fondateurs, Thomas Jefferson, avait conservé dans da bibliothèque personnelle.
Ainsi, j’ai connu l’islam sur trois continents avant de venir dans la région où il a été révélé. Cette expérience guide ma conviction qu’un partenariat entre l’Amérique et l’Islam doit être fondé sur ce qu’est l’Islam et non sur ce qu’il n’est pas. En tant que président des Etats-Unis, je considère qu’il est de ma responsabilité de lutter contre les stéréotypes sur l’Islam, où qu’ils apparaissent.
Mais ce même principe doit s’appliquer à la manière dont les musulmans perçoivent l’Amérique. De même que les musulmans ne correspondent pas à un stéréotype grossier, l’Amérique n’est pas le stéréotype grossier de l’empire mû par ses seuls intérêts. Les Etats-Unis ont été l’une des plus grandes sources de progrès que le monde ait jamais connues. Nous sommes nés d’une révolution contre un empire. Nous avons été fondés sur un idéal selon lequel tous sont créés égaux, et nous avons versé du sang et lutté pendant des siècles pour donner un ses à ces mots - à l’intérieur de nos frontières et partout dans le monde. Nous sommes formés de toutes les cultures, attirés vers tous les bouts de la Terre et dévoués à une idée simple : « E pluribus unum. »
On a beaucoup parlé du fait qu’un Afro-américain du nom de Barack Hussein Obama pouvait être élu président. Mais mon histoire personnelle n’est pas si exceptionnelle. Le rêve des occasions pour chacun ne s’est pas réalisé pour tous en Amérique, mais cette promesse existe pour tous ceux qui viennent chez nous - et cela comprend les presque 7 millions d’Américains musulmans de notre pays qui bénéficient d’un revenu et d’une éducation qui sont au-dessus de la moyenne.
En outre, la liberté en Amérique ne peut être séparée de la liberté de pratiquer sa religion. C’est la raison pour laquelle il y a une mosquée dans chaque Etat de l’Union, et plus de 1 200 mosquées à l’intérieur de nos frontières. C’est la raison pour laquelle le gouvernement des Etats-Unis a été au tribunal défendre le droit des femmes et des filles de porter le hijab, et punir ceux qui le leur refusent.
Alors, qu’il n’y ait aucun doute : l’islam est une partie de l’Amérique. Et je crois que l’Amérique recèle la vérité qui dit que, sans égard à la race, la religion où la position sociale, nous tous partageons les mêmes aspirations : vivre en paix et en sécurité, bénéficier d’une éducation et travailler dans la dignité ; aimer notre famille, notre communauté et notre Dieu. Ce sont des choses que nous partageons. C’est l’espoir de toute l’humanité.
Bien sûr, le fait de reconnaître notre humanité commune n’est que le commencement de notre tâche. Les mots seuls ne peuvent répondre aux besoins de nos peuples. Ces besoins ne seront satisfaits que si nous agissons avec audace dans les années à venir, et si nous comprenons que les défis auxquels nous faisons face sont partagés et que nous ne les surmontons pas, nous en serons tous affectés.
Car l’expérience récente nous a appris que lorsqu’un système financier s’affaiblit dans un pays, la prospérité est affectée partout. Quand une nouvelle grippe infecte un seul être humain, tous sont en danger. Quand une nation cherche à obtenir l’arme nucléaire, le risque d’une attaque nucléaire augmente pour toutes les nations. Quand des extrémistes violents opèrent dans une chaîne de montagnes, des gens sont en danger de l’autre côté de l’océan. Et quand des innocents en Bosnie ou au Darfour sont massacrés, c’est une tache sur notre conscience collective. Voilà ce que signifie partager dans ce monde du XXIe siècle. Là est la responsabilité que nous avons l’un envers l’autre en tant qu’êtres humains.
C’est une responsabilité difficile à comprendre. Car l’histoire humaine a souvent été une suite de nations et de tribus s’assujettissant les unes les autres pour servir leurs intérêts propres. Or, dans cette ère nouvelle, pareilles attitudes iraient à l’encontre du but recherché. Compte tenu de notre interdépendance, tout ordre mondial qui élèverait une nation ou un groupe au-dessus des autres échouera inévitablement. Alors, quoi que nous pension du passé, nous ne devons pas en être prisonniers. Nos problèmes doivent être résolus par le partenariat, le progrès doit être partagé.
Cela ne veut pas dire qu’il faille ignorer les sources de tension. En fait, cela signifie le contraire : il faut regarder ces tensions en face. Et c’est dans cet esprit que je vais maintenant parler, aussi clairement et simplement que possible, de certaines questions dont je pense qu’il nous faudra les affronter ensemble. La première question que nous devons affronter est celle de la violence extrémiste sous toutes ses formes. A Ankara, j’ai dit clairement que l’Amérique n’est pas et ne sera jamais en guerre contre l’Islam. Néanmoins, nous affronterons sans relâche la violence extrémiste qui menace gravement notre sécurité. Car nous rejetons ce que les hommes de toutes les fois rejettent : le meurtre d’innocents, hommes, femmes et enfants. Et mon premier devoir de président est de protéger le peuple américain.
La situation en Afghanistan met en lumière les objectifs de l’Amérique et notre besoin de coopérer. Il y a plus de sept ans, les Etats-Unis ont pourchassé al-Qaida et les taliban avec un large soutien international. Nous n’y sommes pas allés par choix mais par nécessité. Je sais que certains mettent en doute ou justifient les événements du 11 septembre. Mais soyons clairs : ce jour-là, al-Qaida a tué près de 3 000 personnes. Les victimes étaient des innocents, hommes, femmes enfants, d’Amérique ou d’autres nations, qui n’avaient fait de mal à personne. Et al-Qaida a choisi de les assassiner sans pitié, a revendiqué ces crimes et déclare même sa détermination à tuer sur une grande échelle. Il a des alliés dans de nombreux pays et tente d’augmenter son influence. Il ne s’agit pas là d’opinions dont on peut débattre, mais d’actes qu’il faut traiter.
Ne vous y trompez pas : nous ne souhaitons pas que nos troupes restent en Afghanistan. Nous ne cherchons pas à y établir des bases militaires. Il est très douloureux pour l’Amérique de perdre nos jeunes femmes et nos jeunes hommes. Il est coûteux et difficile politiquement de poursuivre ce conflit. Nous ramènerions avec plaisir chacun de nos soldats à la maison si nous pouvions avoir la certitude qu’il n’y aura pas d’extrémistes violents en Afghanistan et au Pakistan, déterminés à tuer le plus d’Américains possible. Mais ce n’est pas encore le cas.
C’est la raison pour laquelle nous sommes membres d’une coalition de 46 pays. Et malgré les coûts, l’engagement américain ne faiblira pas. Réellement, aucun d’entre nous ne doit tolérer ces extrémistes. Ils ont tué dans de nombreux pays. Ils ont tué des gens de différentes fois. Ils ont tué des musulmans plus que d’autres. Leurs actes sont inconciliables avec les droits des êtres humains, le progrès des nations, et avec l’islam. Le Coran enseigne que quiconque tue un innocent tue l’humanité tout entière, et que quiconque sauve une vie sauve toute l’humanité. La foi tenace de plus d’un milliard de gens est bien plus forte que la haine étroite de quelques-uns. L’islam ne fait pas partie du problème dans le combat contre la violence extrémiste, il a au contraire un rôle important à jouer dans la promotion de la paix.
Nous savons aussi que la force militaire ne va pas résoudre les problèmes en Afghanistan et au Pakistan. C’est pourquoi nous comptons investir chaque année pendant cinq ans 1,5 milliard de $ pour construire avec les Pakistanais des écoles, des hôpitaux, des routes et des entreprises, et des centaines de millions pour aider les personnes déplacées. Et c’est pourquoi nous dépensons plus de 2,8 milliards de $ pour aider les Afghans à développer leur économie et les services dont les gens dépendent. Parlons de l’Irak. A la différence de l’Afghanistan, l’Irak a été une guerre par choix qui a suscité de fortes oppositions dans mon pays et dans le monde. Bien que je pense que le peuple irakien se trouve en définitive bien mieux sans la tyrannie de Sassam Hussein, je pense aussi que les événements en Irak ont rappelé à l’Amérique la nécessité de la démocratie et du consensus international pour résoudre nos problèmes, chaque fois que cela est possible. Souvenons-nous des paroles de Thomas Jefferson qui a dit : « J’espère que notre sagesse grandira comme notre puissance et nous apprendra que moins nous utilisons notre force, plus grande elle sera. »
Aujourd’hui, l’Amérique a une double responsabilité : aider les Irakiens à bâtir un avenir meilleur - et laisser l’Irak aux Irakiens. J’ai dit clairement au peuple irakien que nous ne voulions aucune base, ne revendiquons aucun territoire ou ressource. La souveraineté de l’Irak lui appartient. C’est pourquoi j’ai ordonné le départ de nos brigades combattantes en août prochain. C’est pourquoi nous respecterons notre engagement auprès du gouvernement irakien démocratiquement élu et retirerons les troupes de combat des villes irakiennes dès juillet, et toutes nos troupes d’Irak en 2012. Nous aiderons l’Irak à entraîner ses forces de sécurité et à développer son économie ; mais nous soutiendrons un Irak sûr et uni en tant que partenaire, et jamais en tant que patron.
Enfin, de même que jamais l’Amérique ne pourra tolérer la violence d’extrémistes, nous ne devons jamais dévier de nos principes. Le 11 septembre a été un immense traumatisme pour notre pays. La peur et la colère qu’il a provoquées sont compréhensibles, mais dans certains cas, il nous a conduits à agir en contradiction avec nos idéaux. Nous sommes en train d’agir pour changer de direction. J’ai interdit sans équivoque l’usage de la torture par les Etats-Unis, et j’ai ordonné la fermeture de la prison de Guantanamo Bay au début de l’année prochaine.
Ainsi, l’Amérique se défendra dans le respect de la souveraineté des nations et de l’Etat de droit. Et nous le ferons en partenariat avec des communautés musulmanes, menacées elles aussi. Plus tôt les extrémistes seront isolés et mal vus dans les communautés musulmanes et plus tôt nous serons en sécurité.
La deuxième source de tension dont il nous faut parler est la situation entre les Israéliens, les Palestiniens et le monde arabe.
Les liens solides entre l’Amérique et Israël sont bien connus. Cette relation est indestructible. Elle est fondée sur des liens culturels et historiques, et sur la conscience que l’aspiration à une patrie juive est enracinée dans une histoire tragique qui ne peut pas être niée.
Partout dans le monde, le peuple juif a été persécuté pendant des siècles, et l’antisémitisme en Europe a culminé avec une catastrophe sans précédent. Demain, je vais visiter Buchenwald, qui faisait partie d’un réseau de camps où les Juifs étaient réduits à l’état d’esclaves, torturés, tués par balles et gazés à mort par le IIIe Reich. Six millions de juifs ont été tués, plus que la totalité de la population juive d’Israël aujourd’hui. Nier ce fait est sans fondement, c’est de l’ignorance et de la haine. Menacer Israël de destruction ou répéter des stéréotypes ignobles sur les juifs est profondément mal et ne sert qu’à rappeler aux Israéliens les plus douloureux des souvenirs tout en empêchant la paix que les gens de cette région méritent.
D’un autre côté, il est aussi indéniable que le peuple palestinien - musulmans et chrétiens - a souffert dans sa quête d’une patrie. Pendant plus de 60 ans, il a enduré les douleurs du déracinement. Beaucoup attendent, dans des camps de réfugiés en Cisjordanie, à Gaza et aux alentours, une vie de paix et de sécurité qu’ils n’ont jamais pu mener. Ils subissent les humiliations quotidiennes - grandes et petites - qui accompagnent l’occupation. Alors, qu’il n’y ait aucun doute : la situation du peuple palestinien est intolérable. L’Amérique ne tournera pas le dos aux aspirations légitimes des Palestiniens à la dignité et à un Etat à eux.
Pendant des dizaines années, il y a eu une impasse : deux peuples aux aspirations légitimes, chacun avec son histoire douloureuse qui fait fuir tout compromis. Il est facile de pointer du doigt les responsabilités - pour les Palestiniens, pointer les migrations provoquées par la fondation d’Israël, pour les Israéliens de pointer la constante hostilité et les attaques qu’ils ont subies dans leur histoire, depuis l’intérieur de leurs frontières aussi bien que du dehors. Mais si nous ne considérons ce conflit que d’un côté, noue ne verrons pas la vérité : la seule solution pour répondre aux aspirations des deux côtés passe par deux Etats, où Israéliens et Palestiniens vivront chacun en paix et en sécurité. Il y va de l’intérêt d’Israël, de la Palestine, de l’Amérique et du monde. C’est pourquoi j’ai l’intention de rechercher personnellement cette solution, avec toute la patience que la tâche requiert. Les obligations que les parties ont contractées dans le cadre de la feuille de route sont claires. Pour que la paix advienne, il est temps pour elles - et pour nous tous - de prendre nos responsabilités.
Les Palestiniens doivent renoncer à la violence. La résistance par la violence et le meurtre est mauvaise et ne marche pas. Pendant des siècles, les Noirs d’Amérique ont subi le fouet pour les esclaves et l’humiliation de la ségrégation. Mais ce n’est pas la violence qui a conquis l’égalité et la plénitude de leurs droits. C’est par une insistance pacifique et déterminée sur les principes au centre de la fondation de l’Amérique. La même histoire peut être dite par des peuples d’Afrique du Sud et d’Asie du Sud-Est, d’Europe de l’Est ou d’Indonésie. Cette histoire a une vérité toute simple : la violence est une impasse. Ce n’est ni un signe de courage ni un signe de force que de tirer des roquettes sur des enfants endormis ou de faire sauter de vieilles femmes dans un autobus. Ce n’est pas ainsi qu’on revendique une autorité morale, c’est ainsi qu’on se dépouille de cette autorité morale.
Il est maintenant temps pour les Palestiniens de se concentrer sur ce qu’ils peuvent construire. L’Autorité palestinienne doit développer sa capacité à gouverner, avec des institutions qui répondent aux besoins de son peuple. Le Hamas a du soutien chez certains Palestiniens, mais il a lui aussi des responsabilités. Pour jouer un rôle et répondre aux aspirations des Palestiniens, et unifier le peuple palestinien, le Hamas doit mettre fin à la violence, reconnaître les accords passés et reconnaître le droit d’Israël à l’existence.
Dans le même temps, les Israéliens doivent reconnaître que, tout comme le droit d’Israël à exister ne peut pas être nié, celui de la Palestine ne peut pas l’être non plus. Les Etats-Unis n’acceptent pas la légitimité de la continuation de la colonisation. Ces constructions violent les accords précédents et sapent les efforts consentis pour parvenir à la paix. Il est temps que ces colonies cessent.
Israël doit aussi respecter ses engagements et assurer aux Palestiniens la possibilité de vivre, travailler et développer leur société. Et, tout comme elle dévaste les familles palestiniennes, la crise humanitaire qui continue à Gaza ne sert pas la sécurité d’Israël, pas plus que l’absence continue de perspectives en Cisjordanie. Le progrès de la vie quotidienne des Palestiniens doit faire partie du chemin vers la paix ; et Israël doit prendre des mesures concrètes pour permettre ce progrès.
Enfin, les pays arabes doivent reconnaître que l’Initiative de paix arabe a constitué un début important, mais non la fin de leurs responsabilités. Le conflit israélo-arabe ne doit plus être utilisé pour détourner les peuples des nations arabes d’autres problèmes. Au lieu de cela, il doit être un moteur pour agir et aider le peuple palestinien à développer les institutions qui feront vivre leur Etat ; reconnaître la légitimité d’Israël ; et choisir le progrès plutôt qu’une obsession mortifère du passé.
L’Amérique accordera sa politique avec ceux qui recherchent la pais, et dira en public ce qu’elle dit en privé, aux Israéliens, aux Palestiniens et aux Arabes. Nous ne pouvons pas imposer la paix. Mais en privé, de nombreux musulmans reconnaissent qu’Israël ne disparaîtra pas. De même, de nombreux Israéliens reconnaissent la nécessité d’un Etat palestinien. Il est temps pour nous d’agir sur ce que tout le monde sait être vrai. Trop de larmes et de sang ont été versés. Nous avons tous une responsabilité : celle d’œuvrer au jour où les mères israéliennes et palestiniens pourront voir leurs enfants grandir sans peur ; où la terre sainte des trois grandes religions sera l’endroit de paix que Dieu avait pensé ; où Jérusalem verra cohabiter dans la sécurité et la durée juifs, musulmans et chrétiens et sera un endroit où tous les enfants d’Abraham se mêleront pacifiquement, comme dans l’histoire d’Isra, quand Moïse, Jésus et Mahomet (la paix soir eux) se sont joints pour prier ensemble.
La troisième source de tension relève de notre intérêt commun dans les droits et les devoirs des nations au sujet des armes nucléaires. Cette question est une source de tension entre les Etats-Unis et la République islamique d’Iran. Pendant des années, l’Iran s’est défini en partie par son opposition à mon pays, et il est vrai qu’il y a entre nous une histoire tumultueuse. Au milieu de la Guerre Froide, les Etats-Unis ont joué un rôle dans le renversement d’un gouvernement iranien démocratiquement élu. Depuis la révolution islamique, l’Iran a joué un rôle dans des actes de prises d’otages et de violences contre des Américains, militaires et civils. L’histoire est connue. Plutôt que de demeurer piégé dans le passé, j’ai dit clairement au peuple et aux dirigeants iraniens que mon pays est prêt à aller de l’avant. La question, aujourd’hui, n’est pas de savoir contre quoi est l’Iran, mais quel avenir il veut bâtir.
Il sera difficile de surmonter des décennies de méfiance, mais nous agirons avec courage, rectitude et résolution. Il y aura de nombreuses questions à discuter entre nos deux pays, et nous sommes prêts à aller de l’avant sans conditions préalables, sur la base d’un respect mutuel. Mais il est clair pour tout le monde que lorsqu’il s’agit d’armes nucléaires, nous atteignons un point décisif. Il ne s’agit plus simplement des intérêts américains, mais d’empêcher une course à l’arme nucléaire au Moyen-Orient qui pourrait mener cette région et le monde sur une voie extraordinairement dangereuse.
Je comprends ceux qui protestent contre le fait que certains pays disposent d’armes que d’autres n’ont pas. Aucune nation ne doit choisir quelles nations possèdent l’arme nucléaire. C’est pourquoi j’ai réaffirmé fortement l’engagement des Etats-Unis dans la recherche d’un monde sans armes nucléaires. Et toute nation - y compris l’Iran - doit avoir le droit d’accéder à la puissance nucléaire pacifique si elle respecte ses obligations dans le cadre du traité de non-prolifération. Cet engagement est au cœur du traité. Seuls ceux qui le respectent doivent y avoir droit. Et j’espère que tous les pays de la région pourront partager cet objectif.
Quatrième question que j’aborderai : la démocratie.
Je sais qu’il y a eu des controverses sur la promotion de la démocratie, pour une grande part en relation avec la guerre en Irak. Mais je serai très clair : aucune nation ne peut imposer à une autre un système de gouvernement. Mais cela ne minore pas mon engagement envers les gouvernements qui reflètent la volonté de leur peuple. Chaque nation fait vivre ce principe à sa manière, enracinée dans ses traditions. L’Amérique ne prétend pas savoir ce qui est bon pour tout le monde. Mais je pense, sans aucune concession possible, que les gens souhaitent certaines choses : la possibilité de donner son avis sur la façon dont on est gouverné ; la confiance en l’Etat de droit et une administration de la justice égale pour tous ; un gouvernement transparent qui ne vole pas son peuple ; la liberté de choisir son style de vie. Ce ne sont pas seulement des idées américaines mais des droits de l’homme, et c’est pourquoi nous les soutiendrons partout.
Il n’existe pas de ligne droite pour réaliser cette promesse. Mais cela au moins est certain : les gouvernements qui protègent ces droits sont finalement plus stables, plus sûrs et réussissent mieux. La répression des idées ne réussit jamais à les faire disparaître. L’Amérique respecte le droit de toutes les voix pacifiques et respectueuses de la loi à se faire entendre partout dans le monde, même si nous sommes en désaccord avec elles. Et nous ferons bon accueil à tout gouvernement élu et pacifique, s’il gouverne en respectant son peuple.
Ce dernier point est important car certains ne défendent la démocratie que lorsqu’ils n’ont pas le pouvoir. Une fois au pouvoir, ils répriment impitoyablement les droits des autres. Quel que soit l’endroit du monde, le gouvernement du peuple et par le peuple implique des règles simples pour ceux qui exercent le pouvoir : il faut l’exercer par le consentement et non par la coercition, respecter les droits des minorités, placer les intérêts du peuple et les processus légitimes du processus politique au-dessus de votre parti. Sans ces ingrédients, les seules élections ne font pas une vraie démocratie.
Cinquième question dont je parlerai : la liberté religieuse.
L’islam a une tradition de tolérance fière d’elle-même. Nous le voyons dans l’histoire de l’Andalousie et de Cordoue. Je l’ai vu moi-même enfant en Indonésie, où des prêtres chrétiens pratiquaient leur religion librement dans un pays dont l’immense majorité est musulmane. C’est l’esprit dont nous avons besoin aujourd’hui. Dans tous les pays, les gens doivent être libres de choisir et de vivre leur foi sur la base de la persuasion de l’esprit, du cœur et de l’âme. Cette tolérance est essentielle pour la religion, mais elle est menacée de différentes manières.
Chez certains musulmans, il existe une tendance inquiétante à mesurer sa foi par le rejet de celle d’autrui. La richesse de la diversité religieuse doit être préservée, que ce soit pour les maronites au Liban ou pour les coptes en Egypte. Les lignes de fracture doivent être fermées aussi chez les musulmans, car les divisions entre sunnites et chiites ont provoqué des violences tragiques, en particulier en Irak.
La liberté religieuse est capitale pour permettre aux peuples de vivre ensemble. Il nous faut toujours examiner les façons de la protéger. Pas exemple, aux Etats-Unis, les règles qui régissent les dons caritatifs ont rendu plus difficile pour les musulmans la pratique de leurs obligations religieuses. C’est pourquoi je me suis engagé à travailler avec les musulmans américains pour garantir qu’ils puissent exercer la zakat.
De même, il est important que les pays occidentaux évitent d’empêcher leurs citoyens musulmans de pratiquer leur religion comme ils l’entendent - par exemple en dictant la manière dont une musulmane doit s’habiller. On ne peut pas déguiser l’hostilité à l’égard d’une religion sous le couvert du libéralisme.
La foi doit nous réunir. C’est pourquoi nous avons mis en route des projets d’offices communs qui réunissent chrétiens, musulmans et juifs. C’est pourquoi nous saluons des efforts comme ceux du roi Abdallah d’Arabie saoudite pour le dialogue interreligieux ou des dirigeants turcs pour l’Alliance des civilisations. Partout dans le monde, nous pouvons transformer le dialogue en offices communs, de façon que les ponts entre les peuples mènent à l’action, que ce soit pour combattre la malaria en Afrique ou pour apporter du secours après une catastrophe naturel.
Sixième question : les droits des femmes.
Je sais qu’il y a un débat sur cette question. Je rejette l’opinion de certains occidentaux pour qui une femme qui choisit de couvrir sa chevelure est d’une certaine façon moins égale, mais je crois aussi qu’une femme à qui l’on refuse l’éducation se voit dénier ses droits. Et ce n’est pas par hasard si les pays où les femmes ont accès à une éducation de haut niveau ont de bien plus grandes chances de prospérer.
Je serai clair sur ce point : la question de l’égalité des femmes n’a pas à être un problème pour l’Islam. En Turquie, au Pakistan, au Bangladesh et en Indonésie, nous avons vu des pays à majorité musulmane élire des femmes à leur tête. Dans le même temps, la lutte pour l’égalité des femmes continue dans de nombreux aspects de la société américaine, et un peu partout dans le monde.
Nos filles peuvent contribuer à la société autant que nos fils, et notre prospérité commune progressera et permettant à toute l’humanité - hommes et femmes - d’atteindre leur potentiel. Je ne pense pas que les femmes doivent nécessairement faire les mêmes choix que les hommes pour être leurs égales, et je respecte ces femmes qui choisissent de mener leur vie dans des rôles traditionnels. Mais cela doit être leur choix. C’est pourquoi les Etats-Unis coopéreront avec tout pays à majorité musulmane pour soutenir l’alphabétisation des filles et aider les jeunes femmes à chercher un emploi par le micro-crédit qui aide les gens à réaliser leurs rêves.
Enfin, je parlerai de développement économique et de perspectives.
Je sais que pour beaucoup, la mondialisation a deux visages. L’Internet et la télévision peuvent convoyer connaissances et information, mais sexualité offensante et violence illimitée. Le commerce peut apporter de nouvelles richesses et de nouvelles perspectives, mais aussi d’énormes bouleversements. Dans toutes les nations, y compris la mienne, ce changement peut s’accompagner de craintes. Crainte qu’à cause de la modernité, nous perdions le contrôle sur nos choix économiques, notre politique et, plus important encore, notre identité - les choses auxquelles nous tenons le plus, nos familles, notre tradition, notre foi.
Mais je sais aussi que le progrès humain ne se refuse pas. Il n’y a pas nécessairement de contradiction entre développement et tradition. Des pays comme le Japon et la Corée du Sud ont développé leur économie tout en maintenant une culture bien distincte. Cela est également vrai pour les progrès étonnants accomplis dans des pays à majorité musulmane, de Dubaï à Kuala Lumpur. Dans les temps anciens comme à notre époque, des communautés musulmanes ont été à l’avant-garde de l’innovation et du développement.
Cela est important parce qu’aucune stratégie de développement ne peut reposer uniquement sur ce qui vient de soi-même, et ne peut pas non plus se poursuivre quand de jeunes gens sont au chômage. De nombreux pays du Golfe ont bénéficié d’importantes richesses grâce au pétrole, et certains se concentrent aujourd’hui sur un développement plus large. Mais nous devons tous reconnaître que l’éducation et l’innovation seront la monnaie du XXIe siècle. Or, dans trop de communautés musulmanes, il y a eu sous-investissement dans ces secteurs. Je donne beaucoup d’importance à ces investissements dans mon pays. Alors que, dans le passé, l’Amérique s’est beaucoup souciée du pétrole et du gaz provenant de cette partie du monde, nous recherchons aujourd’hui un engagement plus large.
Sur l’éducation, nous développerons des programmes d’échanges et augmenterons les bourses, comme celle qui a fait venir mon père en Amérique, tout en encourageant davantage d’Américains à aller étudier dans des pays musulmans. Nous accueillerons les étudiants musulmans prometteurs dans des internats américains, investirons dans l’enseignement en ligne pour les enseignants et les enfants partout dans le monde, et créerons un nouveau réseau en ligne, de sorte qu’un adolescent du Kansas pourra communiquer instantanément avec un adolescent du Caire.
Sur le développement économique, nous créerons un nouveau corps de volontaires entrepreneurs pour monter des partenariats avec leurs homologues de pays à majorité musulmane. Et nous accueillerons cette année un sommet sur l’entreprenariat pour identifier les moyens d’approfondir les liens entre chefs d’entreprise, fondations et entrepreneurs sociaux aux Etats-Unis et dans les pays musulmans.
Sur la science et la technologie, nous lancerons un nouveau fonds de soutien au développement technologique dans les pays à majorité musulmane, et aiderons à diffuser les idées sur les marchés afin qu’elles puissent créer des emplois. Nous ouvrirons des pôles d’excellence en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie du Sud-Est. Nous nommerons de nouveaux émissaires de la science qui collaboreront à des programmes destinés à développer de nouvelles sources d’énergie, créer des emplois écologiques, numériser des enregistrements, purifier l’eau et faire pousser de nouvelles récoltes. Et aujourd’hui, j’annonce un nouvel effort mondial avec l’Organisation de la Conférence islamique pour éradiquer la polio. Nous développerons également des partenariats avec des pays musulmans pour promouvoir la santé des enfants et des mères.
Tout cela doit s’effectuer en partenariat. Les Américains sont prêts à se joindre aux civils et aux gouvernements, aux organisations communautaires et aux leaders religieux dans les pays du monde entier pour aider nos peuples à bâtir une vie meilleure. Les choses que j’ai décrites ne seront pas faciles à, réaliser. Mais il est de notre responsabilité de joindre nos efforts au nom du monde que nous voulons - un monde où les extrémistes ne menacent plus nos peuples, où les soldats américains sont rentrés chez eux ; un monde où Israéliens et Palestiniens sont chacun en sécurité dans leur Etat, où l’énergie nucléaire n’est utilisée qu’à des fins pacifiques ; un monde où les gouvernements sont au service de leurs citoyens et où tous les droits des enfants de Dieu sont respectés. Ce sont des intérêts qui nous sont communs. C’est le monde que nous voulons. Mais nous ne pourrons y arriver qu’ensemble.
Je sais que beaucoup - musulmans ou non - doutent de notre capacité à mettre en œuvre ce niveau commencement. Certains veulent attiser les flammes de la division et se mettre en travers de la voie du progrès. Certains disent que l’effort n’en vaut pas la peine, que nous sommes condamnés au désaccord et que les civilisations sont condamnées à s’entrechoquer. Bien plus encore sont tout simplement sceptiques sur le fait qu’un réel changement puisse avoir lieu. Il y a tant de peur, tant de méfiance. Mais si nous choisissons d’être prisonniers du passé, nous n’avancerons jamais. Je souhaite particulièrement dire ceci aux jeunes gens de toutes les fois, dans tous les pays : vous, plus que quiconque, avez la capacité de refaire ce monde.
Chacun d’entre nous partage ce monde pour une brève période. La question est de savoir si nous passons ce temps à nous concentrer sur ce qui nous divise, ou si nous nous engageons à faire un effort - un effort soutenu - pour trouver des points de convergence, pour se concentrer sur l’avenir que nous souhaitons pour nos enfants et pour respecter la dignité de tous les êtres humains.
Il est plus facile de commencer des guerres que d’y mettre fin. Il est plus facile de blâmer les autres plutôt que de regarder à l’intérieur de soi, de voir ce qu’il y a de différent chez quelqu’un plutôt que de trouver ce que nous avons en commun. Mais nous devons choisir la voie juste et non la voie facile. Il y aussi au cœur de chaque religion une règle : nous agissons envers autrui comme nous souhaitons qu’il agisse envers nous. Cette vérité transcende les nations et les peuple et elle n’est pas nouvelle. Elle n’est ni noire, ni blanche ni brune, elle n’est ni chrétienne, ni musulmane ni juive. C’est une idée qui a battu au berceau de la civilisation, et qui bat toujours dans le cœur de milliards de gens. C’est la foi en l’autre, et c’est ce qui m’amène ici aujourd’hui.
Nous avons le pouvoir de faire le monde que nus voulons, mais seulement si nous avons le courage d’un nouveau commencement, en gardant à l‘esprit ce qui a été écrit.
Le Coran nous dit : « Oh, humanité ! Nous t’avons créée mâle et femelle, et nous t’avons dispersée en nations et tribus afin que vous puissiez vous connaître. »
Le Talmud nous dit : « Toute la Torah n’a pour but que de promouvoir la paix. »
La Bible nous dit : « Bénis soient les bâtisseurs de paix, car ils seront appelés fils de Dieu. »
Les peuples du monde peuvent vivre ensemble en paix. Nous savons que c’est la vision de Dieu. Maintenant, cela doit être notre travail, ici sur terre. Merci. Et que la paix soit sur vous.
Traduction : Gérard Eizenberg pour La Paix Maintenant
Publié par
Justine Mérieau
à
7/03/2009 01:08:00 AM
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Libellés : Caire, discours, Egypte, Etats-Unis, islam, musulmans, Obama, paix
JUSTINE MERIEAU - ECRIVAIN
Bienvenue aux amoureux de la littérature !
Qui êtes-vous ?

- Justine Mérieau
- Saint-Joseph, 97480, Réunion
- Ecrivain nantais, je suis romancière et nouvelliste. Je demeure à La Réunion depuis 1987.