mardi 21 décembre 2010

FRESQUE REALISEE PAR L'ARTISTE ANGLAIS DE RUE NICK WALKER SUR UN MUR DE PARIS ET BAPTISEE "CORANCANCAN"



Réalisé sans autorisation jeudi soir, 16 décembre, dans une rue de Paris et à deux pas de la place de la République.
L'artiste de rue anglais, Nick Walker, spécialiste du graffiti au pochoir, a réalisé une fresque de 4 mètres de long sur un mur de Paris, mettant en scène six femmes portant le voile et représentées en train de danser le french cancan.

Sur cette fresque, les femmes portent un voile noir ne laissant à découvert que leurs yeux, mais soulèvent leur jupe et lèvent la jambe, dévoilant jarretières et froufrous aux couleurs du drapeau français, à la manière des danseuses de french-cancan. Nick Walker a été invité à Paris par le "Studio 55", galerie spécialisée dans l'art urbain.

Dans un communiqué commun de l'artiste et de la galerie, l'oeuvre est présentée ainsi : « Voile islamique + tradition française = le Corancancan ».

Il est à prévoir que cette belle fresque pleine d'un humour tout à fait d'actualité ne restera pas longtemps sur le mur parisien !

Mais au moins, elle restera sur mon blog !!!

lundi 22 novembre 2010

INTERVIEW DE MALIKA SOREL, FRANçAISE D'ORIGINE ALGERIENNE. ELLE LIVRE ICI UNE ANALYSE CLAIRVOYANTE SUR LES PROBLEMES D'INTEGRATION



Ancien ingénieur d’affaires et de recrutement de cadres de PME, aujourd’hui membre du Haut Conseil à l’intégration, Malika Sorel a passé ses dix premières années en France avant de suivre ses parents en Algérie où elle suit sa scolarité.
Après avoir terminé l’école polytechnique d’Alger, elle revient en France où elle suit le troisième cycle de Sciences po.
En 2007 elle publie le Puzzle de l’intégration – les Pièces qui vous manquent (Mille et une nuits). Elle y explique que la question de l’immigration-intégration doit être traitée globalement et non plus de façon sectorielle, qu’il faut cesser d’octroyer la nationalité française à des personnes qui ne sont pas prêtes psychologiquement et moralementà l’assumer et s’appliquer en revanche à faire respecter la loi française par tous sans exception.

Pourquoi avez-vous écrit ce livre ?

Les émeutes de 2005 m’ont poussée à écrire ce livre parce que je me sentais responsable de n’avoir alors rien dit. Moralement mais aussi sur le plan affectif, je ne supportais plus cette injustice vis-à-vis du peuple français : les Français sont bâillonnés et quand ils osent s’exprimer on leur fait un procès en racisme ou en xénophobie alors qu’ils veulent simplement préserver leur identité. Mes origines me permettaient peut-être de dire que la véritable victime de l’immigration est le peuple français.


Vous parlez beaucoup du rôle délétère de la « repentance ». Non seulement pour les Français mais pour les immigrés eux-mêmes…

Le rôle des élites françaises a toujours été déterminant dans l’instrumentalisation de l’histoire. La décolonisation a traumatisé tout le monde, soit ! Mais il devrait tout de même être possible cinquante ans après des drames partagés de traiter sereinement du passé avec ses ombres et ses lumières, au lieu de renier son histoire en se laissant enfermer dans la dialectique culpabilisation-victimisation. Or, c’est malheureusement ce qui se passe. Le discours dominant ne parle que des « horreurs » de la colonisation et plus personne n’écoute le peuple français, qui est pourtant le plus légitime pour parler objectivement des problèmes engendrés par l’immigration…
De surcroît, transformer les Français de souche en bourreaux n’a fait qu’injecter le poison de la haine dans le coeur des enfants issus de l’immigration. La France s’auto-détruit sans rendre service aux immigrés, puisqu’on attribue leurs erreurs ou encore leur manque d’investissement à la société. Une excuse facile qu’ils reprennent pour ne pas assumer leurs responsabilités. A partir du moment où l’on enferme des gens dans le rôle de victimes, on leur envoie le signal que tout leur est dû. Or, cela n’est pas vrai. La France fait beaucoup pour les immigrés et leurs descendants et ceux-ci ont encore énormément à faire pour se rapprocher des Français de souche européenne, en particulier les Maghrébins et les Africains dont la culture reste très éloignée de celle de leur pays d’accueil. Il fallait d’emblée être ferme et affirmer que nos valeurs fondamentales ne changeraient pas. On a fait l’inverse. Dans ces conditions, il est naturel qu’ils développent de moins en moins d’efforts pour respecter les normes collectives françaises. Ils sont convaincus que celles-ci vont changer pour s’adapter à eux.
Il faut aussi dire aux populations d’origine étrangère tout ce que l’Etat fait pour elles, l’argent qui est injecté dans tous les domaines : c’est ainsi qu’on aidera les enfants de l’immigration à se construire le socle de reconnaissance sans lequel rien d’harmonieux ne sera jamais possible. Ce n’est pas en se flagellant qu’on fera aimer la France aux enfants et aux adolescents des banlieues. Bien au contraire. Notre comportement relève parfois de la psychiatrie !

Pourquoi l’idée de « discrimination positive » est-elle dangereuse à vos yeux ?

Parce que c’est une escroquerie. L’intégration n’est pas un ascenseur automatique, mais un parcours semé d’obstacles ! L’idée que l’on puisse progresser dans la société de manière passive est absurde. C’est un engagement sur plusieurs générations, la famille entière doit s’engager autour du projet éducatif. Aujourd’hui, beaucoup d’élèves ne font plus rien. Il faut arrêter de les bercer de mensonges : pour réussir, il faut se prendre en main.
Et puis la « discrimination positive » est injurieuse pour les immigrés eux-mêmes : on part du principe que les gens issus de l’immigration n’y arriveront pas seuls parce que les Français les détesteraient. C’est zéro pointé sur toute la ligne. Quand vous travaillez dans une équipe, il faut acquérir sa légitimité auprès des autres. Si vous n’avez pas respecté le même processus de sélection c’est impossible. Pour devenir légitimes, les personnes issues de l’immigration doivent se plier aux mêmes exigences que les autres.

Vous êtes également très sévère avec la Halde…

Elle joue un rôle d’exaspération et de crispation entre les groupes. Elle passe le plus clair de son temps à exacerber les tensions en disant que les gens issus de l’immigration sont victimes de notre société, alors que c’est l’ignorance des codes sociaux et culturels qui empêche les jeunes d’être recrutés. Cela avait été parfaitement mis en évidence par l’analyse d’entretiens d’embauche auxquels la sociologue Jacqueline Costa-Lascoux avait assisté. Le fait qu’on accepte d’eux ce qu’on n’accepterait jamais des autres ne fait que les enfermer dans leurs propres codes culturels. J’ajoute que je prends comme une bonne nouvelle la mise sous tutelle de la Halde. Mais il faut à terme qu’elle disparaisse. Le système judiciaire français est là pour traiter des vraies affaires de discrimination. On n’a nul besoin d’une institution qui participe vraisemblablement sans le vouloir à dresser les gens les uns contre les autres.

Qu’opposer alors aux doctrines que vous dénoncez ?

Rien d’autre que le modèle d’intégration républicain qui fonctionnait très bien ! On doit accueillir les gens dans la communauté française et non l’inverse. Ils doivent respecter le système français. Si on avait fait ça, on aurait suscité le désir d’intégration. Mais comment y parvenir quand on injecte 200.000 nouveaux entrants par an dans une société déjà en proie à des difficultés majeures ? C’est irresponsable, grave et fondamentalement dangereux. Il est évident que là réside le défi des prochaines années : si l’on continue comme aujourd’hui, nous irons vers des troubles majeurs. Trop de gens arrivés récemment n’éprouvent plus le besoin de respecter la loi de la République et reconstituent leurs sociétés d’origine sur le territoire français…
Si rien n’est fait pour y mettre un terme, la pression va devenir rapidement intenable.

Quelle pression, justement, exercent ces sociétés reconstituées ?

Dans les cultures maghrébines et africaines, le groupe prend possession de l’individu. Or, plus la société est déstructurée et permet des accommodements, plus les membres des groupes mieux structurés sont tentés de bafouer les règles françaises qu’on peut défier à moindre risque. La culture de l’école de la République que les enfants ramènent à la maison est aussitôt rejetée parce qu’elle ne correspond pas aux normes culturelles d’origine. Le racisme anti-blanc est une réalité. L’insulte suprême utilisée, c’est « céfranc ». Les professeurs nous le disent : être sérieux en cours, c’est déjà pour certains vouloir devenir français : une honte, car assimilé à une traîtrise. Les bons élèves sont de ce fait de plus en plus soumis à des pressions par les enfants issus de la même origine culturelle. Le fait que les institutions françaises – la police et l’école – soient attaquées n’est évidemment pas anodin. Or, on continue à excuser les auteurs de ces attaques, à les déresponsabiliser en invoquant leurs conditions sociales. Or, ces mêmes populations avec des conditions sociales nettement inférieures ne se comportent pas ainsi dans leur pays d’origine. C’est bien la preuve que l’attitude de notre société a joué un rôle déterminant dans l’apparition des problèmes que nous connaissons.

Vous accusez le droit du sol. Pourquoi ?

Devenir français est un processus qui doit être personnel, car il faut être prêt à assumer d’inscrire ses propres descendants dans un nouvel arbre généalogique qui n’est pas celui de ses ascendants biologiques et culturels. Il y a là une véritable rupture très difficile à assumer. C’est pourquoi aujourd’hui pour une multitude de raisons, peu de gens ont le désir de devenir français. Ils prennent les papiers parce qu’ils savent que c’est le sésame avec lequel ils n’auront plus jamais faim. Ils sont honnêtes et l’avouent : je ne suis pas français, j’ai juste les papiers. C’est la classe politique dans son ensemble qui ment et occulte ce que signifie l’identité française. La communauté française reste pour l’instant silencieuse car elle est bâillonnée, mais comme dans tous les pays du monde elle n’est pas prête à accepter comme françaises des populations étrangères à son identité. Il y a aujourd’hui en France une négation fondamentale du droit des Français à être français.

Quelle distinction faites-vous entre insertion et intégration ?

L’intégration c’est le fait d’assumer l’héritage du peuple français, de porter soi-même les valeurs et les principes des Français, de les transmettre à ses propres enfants. Il y a une forte dimension affective et morale. On ne peut pas exiger cette étape, elle est trop personnelle, trop intime. En revanche, l’insertion est absolument non négociable, c’est le respect des règles et lois de la société. Nombre de ces règles sont tacites. Elles ne sont pas nécessairement inscrites dans des lois. L’insertion dans la société française constitue une étape indispensable avant l’intégration dans la communauté nationale française. C’est ce que ne respecte pas le droit du sol.

L’une des plus grandes erreurs a été selon vous de dégrader l’apprentissage de la langue et de la culture française. Pourquoi ?

L’école de la République a un savoir à transmettre qui crée un référentiel commun à tous les enfants. La langue est un passeport culturel pour naviguer dans la société française. On les a empêchés de pouvoir le faire en revoyant nos exigences sans cesse à la baisse. Pis, l’école s’est mise à verser dans le relativisme culturel et même à leur transmettre des éléments de leur référentiel culturel alors que c’est bien la seule chose que leurs familles leur transmettent. Aimer une langue est un tremplin pour aimer un peuple. Au travers de la langue des textes de littérature et aussi des contes et des chansons enfantines, c’est bien la culture qui est transmise. Aujourd’hui dans les rues, dans les cours d’école, on ne parle plus français. C’est un signe sans équivoque du réel refus d’intégration. Sans compter qu’un enfant qui ne peut s’exprimer et se faire comprendre du fait de la pauvreté de son langage a une plus grande propension à devenir violent. Commençons donc par accentuer l’effort sur la maternelle et sur les premières classes de l’école primaire en réduisant les effectifs par classe et en mettant l’accent sur la transmission de la langue. Revoyons aussi le circuit des allocations. Il faut impérativement que cet argent aille en priorité au projet éducatif, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. A chaque rentrée scolaire, au lieu de remettre aux parents un chèque qui souvent sera envoyé dans le pays d’origine, donnons un cartable, des cahiers et des livres directement à l’enfant.

Que pensez-vous de la déchéance de nationalité ?

Il faut la mettre en place. Et il faut cesser de donner la nationalité à tout le monde. Les gens qui risquent aujourd’hui la déchéance de nationalité n’auraient jamais dû l’obtenir. Il faut vraiment que les politiques s’occupent de toutes ces questions très rapidement. Beaucoup parmi eux sont habités par la peur, car les populations de l’immigration leur apparaissent comme ayant facilement recours à la violence. Il va pourtant falloir avoir le courage de traiter toutes les dimensions de ce sujet. C’est dans l’intérêt de tous. Notre société est chaque jour plus déstabilisée. C’est la cohésion nationale qui est désormais en jeu ! Tout accepter met la France par terre.

mercredi 22 septembre 2010

ISLAM : UNE RELIGION VOUEE A L'ECHEC - Interview du politologue Abdel-Samad


Islam : « une religion vouée à l’échec »


Photo du politologue allemand
d'origine égyptienne Abdel-Samad

L'ISLAM EST UNE DROGUE
Lien pour voir la vidéo

Spiegel : Vous prédisez « le déclin du monde islamique » selon le titre de votre dernier ouvrage. Mais l’islam est la religion qui augmente le plus en nombre d’adeptes, et l’Europe, en particulier s’inquiète d’être envahie de musulmans.

Abdel-Samad : Le nombre ne veut rien dire. Il y a 1.4 milliard de musulmans, et alors ? Ce qui compte, c’est que dans tous les pays à majorité musulmane, on constate le déclin de la civilisation et la stagnation de toute forme de vie. L’islam n’offre aucune réponse convaincante aux défis du 21e siècle. C’est un déclin intellectuel, moral et culturel – une religion vouée à l’échec, sans conscience de soi et sans aucune option pour agir. (…)

Abdel-Samad : En fait, l’islam agit comme une drogue, comme l’alcool. Une petite quantité a un effet inspirant, mais quand le croyant se précipite sur sa bouteille de dogme à la moindre occasion, cela devient dangereux. Dangereux pour l’individu et pour la société. Cela empêche l’intégration, parce que l’islam divise le monde entre amis et ennemis, entre croyants et infidèles.

Spiegel : Vous recommandez une forme adoucie d’islam, que resterait-il du coeur de la religion ?

Abdel-Samad : Mon rêve, en effet, serait un islam des Lumières, sans la charia, sans le djihad, sans l’apartheid entre hommes et femmes, sans prosélytisme, et sans mentalité dominatrice. Une religion qui serait ouverte à la critique et au questionnement. En ce qui me concerne, je me suis converti de la foi à la connaissance, il y a déjà quelques années. (…)
Croire en Dieu signifie aussi, se confronter avec Lui. Je ne prie pas régulièrement, je ne jeûne pas pendant le ramadan, en ce sens-là je ne suis pas religieux. Cependant, je me ressens comme musulman. C’est ma communauté culturelle. Pour moi, l’islam est mon chez-moi et ma langue, et la langue arabe, je ne peux pas la séparer de tout cela. Je peux me distancer de l’islam mais aussi demeurer dans le cœur de l’islam. Je ne veux pas céder aux fondamentalistes qui prêchent la violence, même s’ils montent en puissance.

Spiegel : Aujourd’hui, le monde musulman est très critique – ce qui est légitime jusqu’à un certain point – du fait que Washington, avec sa stratégie pro Israël – applique un double standard au Moyen-Orient.

Abdel-Samad : Mais cela ne justifie pas la violence.

Spiegel : Bien sûr que non, mais pourquoi insistez-vous sur le fait qu’il y aurait un lien de causalité entre le terrorisme et l’islam ? Pourquoi ne pas attribuer ceci aux conditions de vie misérables et à l’absence d’opportunités, dont les dictateurs arabes, souvent des alliés de l’Occident, sont responsables ?

Abdel-Samad : Parce que les terroristes eux-mêmes invoquent la religion et parce que la pauvreté est cause de terreur… parce que la violence imbibe cette culture.

Spiegel : C’est vous qui le dites. (…)

Abdel-Samad : Il faut questionner le Coran. Bien que des débats existent maintenant, ils n’aboutissent jamais à une conclusion. Réformateurs et conservateurs continuent à être obsédés par le livre sacré. Parfois, je me demande, mais qui a besoin du Coran, de nos jours ? Notre foi aurait-elle un défaut de naissance ? L’islam a-t-il eu un succès trop rapide et ce serait la raison de son imbrication avec la politique et le militarisme ? Pourquoi l’islam a-t-il atteint un haut niveau de civilisation au Moyen-Âge, et pourquoi tout est allé de travers ensuite ? (…)

Spiegel : Vous avez été violé dans votre petite enfance.

Abdel-Samad : Oui, je devais avoir 4 ans. Paralysé par la peur, je récitais alors le Coran pendant des heures la nuit. De nouveau à 11 ans, j’ai été violé par une horde de jeunes hommes. A cause des traditions, il était impensable d’en parler à mon père ou à qui que ce soit.

Spiegel : Vous tenez l’islam partiellement responsable de ces crimes ?

Abdel-Samad : Oui, comme on le sait maintenant, le refoulement de la sexualité, la promiscuité dans une société vivant en vase clos et la soumission totale à l’autorité, sont des facteurs déclencheurs du passage à l’acte. (…)

Spiegel : Vous êtes-vous intégré facilement après votre arrivée en Allemagne ?

Abdel-Samad : Pas du tout. L’Allemagne me semblait totalement étrangère, comme une machine compliquée sans le mode d’emploi. J’ai épousé une amie, une enseignante gauchiste rebelle qui avait 18 ans de plus que moi. Elle le faisait pour payer moins d’impôts, et moi pour avoir un passeport allemand. (…)

Spiegel : Serait-ce que vous attribuez un trop grand rôle à la religion dans votre vie, que vous en attendez trop finalement ?

Abdel-Samad : C’est aux autres de juger cela. J’ai approché l’islam de façon rationnelle, j’ai lu Kant et Spinoza, j’ai étudié les Lumières. J’ai étudié la Réforme, laquelle n’a jamais eu lieu, à ce jour, dans l’islam. (…)

Spiegel : La critique de l’islam est devenue socialement acceptable parmi les intellectuels allemands : vous sentez-vous à l’aise en compagnie des islamophobes ?

Abdel-Samad : Je n’aime pas cette expression. Une personne qui a des phobies a des illusions. Mais les dangers posés par les islamistes sont bien réels et le refus de s’intégrer en Allemagne est un sérieux problème. Ce n’est pas mon problème si certains critiques exagèrent, si leur rhétorique dépasse les bornes, je ne peux que parler en mon propre nom. (…)

Spiegel : Vous accusez aussi vos coreligionnaires de toujours chercher des boucs émissaires.

Abdel-Samad : En effet, au lieu de chercher leurs propres fautes. Peut-être que le processus que j’ai vécu est le processus dont l’islam a besoin, à savoir que chacun fasse sa propre auto critique et arrête de blâmer le monde entier pour ses petites misères, arrête de se sentir toujours victime. Les musulmans devraient aussi se libérer des contraintes. Le ressentiment et l’accusation constante des autres conduit à la violence, et il y en a déjà bien assez dans ce monde.

Spiegel : M. Abdel-Samad je vous remercie.

Source : ‘Islam Is Like a Drug‘, Spiegel, 17 septembre 2010. Traduction partielle par Suzanne pour Poste de veille

samedi 28 août 2010

REFLEXIONS D'ANDRE MALRAUX SUR LA MONTEE DE L'ISLAM DANS LA FRANCE DES ANNEES 50



CINQUANTE ANS APRES C'EST PAREIL, SAUF QUE C'EST PIRE !

MALRAUX ET L'ISLAM

André Malraux, le 3 juin 1956

" La nature d'une civilisation, c'est ce qui s'agrège autour d'une religion. Notre civilisation est incapable de construire un temple ou un tombeau. Elle sera contrainte de trouver sa valeur fondamentale, ou elle se décomposera. C'est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l'islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A l'origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n'ont trouvé la réponse. De même aujourd'hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l'islam. En théorie, la solution paraît d'ailleurs extrêmement difficile.. Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l'aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d'Etat. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s'établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis " musulmane ", je pense moins aux structures religieuses qu'aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet. Dès maintenant, le sultan du Maroc est dépassé et Bourguiba ne conservera le pouvoir qu'en devenant une sorte de dictateur. Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l'islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement, il est trop tard! Les "misérables" ont d'ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l'intérieur d'une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d'eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l'avenir de leur race. L'Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c'est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d'en retarder l'évolution. "

jeudi 22 juillet 2010

DISCOURS DE GEERT WILDERS SUR L'ISLAM QUI S'INFILTRE PARTOUT EN EUROPE





NOUS NE NOUS EXCUSERONS JAMAIS D’ETRE LIBRES

Extrait du discours historique donné par Geert Wilders à la Chambre des Lords le 5 mars 2010.

Mesdames et messieurs, je n’ai rien contre et mon parti n’a rien contre les musulmans en tant que tels. Il y a de nombreux musulmans modérés. La grande majorité des musulmans est composée de citoyens respectueux des lois et veulent avoir la paix comme vous et moi. J’en ai la conviction. C’est pourquoi je distingue toujours les individus de l’idéologie, l’islam des musulmans. Il y a de nombreux musulmans modérés mais il n’existe pas d’islam modéré.

L’islam a vocation à dominer le monde. Le Coran impose aux musulmans d’appliquer le jihad. Le Coran impose aux musulmans d’appliquer la charia. Le Coran impose aux musulmans de propager l’islam au monde entier.

Comme l’a dit l’ancien premier ministre Erbakan : "le monde entier deviendra islamique. Nous allons conquérir Rome". Fin de citation. Kadhafi le dictateur libyen a dit : "Il y a aujourd’hui 10 millions de musulmans sur le continent européen et ce chiffre est en augmentation. Ceci montre que le continent européen est en passe de se convertir à l’islam. L’Europe sera un jour un continent islamique". Fin de citation.

En effet, pour une fois dans sa vie, Kadhafi dit vrai. Parce que ne l’oubliez pas : l’avenir est à l’immigration de masse et la démographie. L’islam n’est tout simplement pas une religion. C’est principalement une idéologie totalitaire. L’islam s’immisce dans le contrôle de tous les aspects de la vie quotidienne, du berceau jusqu’à la tombe. La charia contrôle chaque aspect de la vie dans une société islamique. Du civil et familial jusqu’au pénal. Elle détermine la manière par laquelle on doit manger, s’habiller et même utiliser les toilettes. L’oppression des femmes est bonne, boire de l’alcool est mal.

Je crois que l’islam n’est pas compatible avec notre mode de vie occidental. L’islam est une menace pour les valeurs occidentales. L’égalité entre homme et femme, l’égalité entre homosexuels et hétérosexuels, la séparation des églises et de l’Etat, la liberté d’opinion, tout cela est soumis à la pression de l’islamisation. Mesdames et messieurs, l’islam et la liberté, l’islam et la démocratie sont incompatibles. Ce sont des valeurs opposées.

Voilà pourquoi Winston Churchill qualifiait Mein Kampf de "nouveau Coran de foi et de guerre, ampoulé, verbeux, informe, mais fertile par son message". Comme vous le savez, Churchill fait cette comparaison entre le Coran et Mein Kampf dans son livre "La deuxième guerre mondiale", un chef d’œuvre couronné du prix Nobel de littérature. La comparaison que fait Churchill entre le Coran et Mein Kampf tombe sous le sens. Le cœur du Coran est l’appel au jihad. Jihad signifie de nombreuses choses et signifie combat en arabe. Kampf signifie la même chose en allemand. Jihad et Kampf signifient la même chose.

L’islam signifie soumission, il ne peut y avoir aucune erreur quant à son objectif. C’est un fait. La question est de savoir si nous, en Europe, et vous, en Angleterre, avec votre passé glorieux, allons nous soumettre ou défendre notre héritage.

Nous voyons l’islam décoller en Occident à une vitesse grand V. L’Europe s’islamise vite. Beaucoup de villes européennes ont de fortes concentrations islamiques. Paris, Amsterdam, Bruxelles et Berlin par exemple. Dans certains endroits de ces villes, les normes islamiques sont appliquées. Les droits des femmes sont abolis. Burqas, voiles, polygamie, mutilations génitales des femmes, crimes d’honneur. Les femmes vont dans des piscines séparées et ne serrent pas la main.

Dans de nombreuses villes d’Europe, il y a déjà l’apartheid. Les juifs, en grand nombre fuient l’Europe. Comme vous le savez sans doute mieux que moi, dans votre pays aussi l’immigration de masse et l’islamisation ont grimpé rapidement. Cela a entrainé d’énormes tensions au sein de votre société britannique. Regardez ce qui se déroule à Birmingham, Leeds, Bradford et ici à Londres. Les hommes politiques anglais qui ont oublié Winston Churchill ont maintenant choisi la voie de la moindre résistance. Ils ont abandonné. Ils ont capitulé.

L’an passé, mon parti a demandé au gouvernement hollandais de faire une analyse de rentabilité de l’immigration de masse. Le gouvernement a refusé de nous répondre. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur de la vérité.

Les indices sont mauvais. Un hebdomadaire hollandais, Elsevier, a évalué le coût à 200 milliards d’euros. L’an passé, ils ont avancé 13 milliards d’euros. D’autres calculs ont été faits en Europe : selon la banque nationale danoise, chaque immigrant danois issu d’un pays islamique coûte à l’Etat plus de 300 000 euros. La même chose en Norvège et en France. La conclusion à tirer de tout ceci : l’Europe s’appauvrit de jour en jour. Plus de précarité grâce à l’immigration de masse. Plus de pauvres grâce à la natalité. Et la gauche est tétanisée.

Je ne sais pas si cela est vrai, mais dans bon nombre de quotidiens anglais, les travaillistes ont ouvert la porte de l’immigration de masse dans le but délibéré de modifier les structures sociales anglaises. Andrew Neather, un ancien conseiller gouvernemental et rédacteur des discours de Tony Blair et Jack Straw, a avancé que la stratégie de la politique d’immigration travailliste était, je cite "de mettre le nez de la droite dans le multiculturalisme et de rendre leur propos archaïque". C’est un fait symptomatique de la gauche.

Mesdames et messieurs ne vous trompez pas : la gauche facilite l’islamisation. Les gauchistes et libertaires se félicitent de la création de nouvelles banques islamiques, de nouveaux prêts immobiliers conformes à la charia, de nouvelles écoles islamiques, de nouvelles cours de justice islamiques. La gauche considère l’islam comme l’égal de notre culture. Charia ou démocratie ? Islam ou liberté ? Cela n’a aucune importance à leurs yeux. Pour nous, si. Toute la gauche est coupable de relativisme culturel. Universités, écoles, syndicats, médias, politiques. Ils trahissent tous nos libertés chèrement acquises.

Pourquoi je me demande, pourquoi la gauche et les libertaires ont cessé de se battre pour elles ? Naguère ils trônaient sur les barricades pour les droits des femmes. Mais où sont-ils aujourd’hui ? Où sont-ils en 2010 ? Ils regardent en arrière. Parce qu’ils sont soumis au relativisme culturel et dépendant du vote musulman. Ils dépendent de l’immigration de masse.

Grâce à Dieu, Jackie Smith n’est plus en poste aujourd’hui. C’est une victoire pour la liberté d’expression qu’un juge anglais ait rejeté sa décision de me refuser l’entrée de votre territoire l’an passé. J’espère que les juges de mon pays seront aussi sages cette année et m’acquitteront des charges qui pèsent sur moi.

Malheureusement, jusqu’à présent, ils n’ont pas été aussi inspirés. Car ils ne veulent pas entendre la vérité sur l’islam, pas plus qu’ils ne veulent entendre l’opinion d’experts sur le terrain de la liberté d’expression. Le mois passé, dans une session préliminaire, la cour a rejeté une quinzaine d’experts requis par ma défense. Seulement 3 ont été autorisés à s’exprimer. Heureusement, mon héroïque amie et psychiatre Dr. Wafa Sultan est l’une d’entre eux. Mais leur témoignage sera donné à huis-clos. Apparemment, la vérité sur l’islam doit être tue.

Mesdames et messieurs, je suis persécuté pour mes opinions politiques. Nous connaissions les poursuites politiques du Moyen-Orient, comme en Irak ou en Arabie Saoudite, mais pas en Europe, pas aux Pays-Bas. Je suis poursuivi pour avoir comparé le coran à Mein Kampf. Ridicule. Je me demande bien si les Anglais intenteront un jour un procès à Winston Churchill. Mesdames et messieurs, le procès politique à mon endroit doit cesser.

Mais tout ne tourne pas autour de moi. Autour de Geert Wilders. La liberté d’expression est mise à mal. Laissez-moi vous donner quelques exemples. Comme vous le savez probablement une personne que j’admire, l’italienne Oriana Fallaci vécut dans la peur d’une extradition en Suisse pour son livre "La rage et l’orgueil". Le dessinateur hollandais Nekshot a été interpellé à son domicile d’Amsterdam par 10 policiers pour ses traits de crayon contre l’islam. Ici en Angleterre, l’écrivain Rachel Ehrenfeld a été inculpée par un homme d’affaire saoudien pour diffamation. Aux Pays-Bas, Ayaan Hirsi Ali et en Australie, deux prêtres ont été poursuivis. La liste est longue. Mesdames et messieurs, dans tout l’Occident les défenseurs de la liberté doivent de fait faire face à un jihad légal. C’est une juridiction islamique. Et, mesdames et messieurs, il y a peu le caricaturiste Westergaard a été presque assassiné pour ses dessins.

Mesdames et messieurs, nous devons défendre le droit à la liberté d’opinion. De toute notre force. De toute notre volonté. La liberté d’expression est la plus haute de nos libertés. La liberté d’expression est le pilier de nos sociétés modernes. La liberté d’expression est le souffle de nos démocraties ; sans liberté d’expression, notre mode de vie et notre liberté disparaitront.

Je pense qu’il est de notre devoir de protéger l’héritage des courageux soldats qui ont débarqué en Normandie. Qui ont libéré l’Europe de la tyrannie. Ces héros ne sont pas morts en vain. Il est de notre devoir de défendre la liberté d’expression. Comme le disait George Orwell : « si la liberté a jamais un sens, c’est bien celui de dire aux gens ce qu’ils n’ont pas envie d’entendre ».

Mesdames et messieurs, je crois en une autre politique. Le temps du changement est venu. Nous devons agir dans l’urgence. Nous ne pouvons attendre davantage. Le temps nous manque. Si je devais citer un de mes présidents américains favoris, Ronald Reagan, je dirais "Nous devons agir aujourd’hui pour préserver l’avenir". Voilà pourquoi je propose les mesures suivantes. Je n’en indique qu’une poignée pour préserver notre liberté.

- D’abord, nous devons défendre la liberté d’expression. Il s’agit de la plus importante de nos libertés. En Europe, et certainement aux Pays-Bas, nous avons besoin d’un Premier Amendement à l’américaine.

- Deuxièmement, nous devons mettre fin et nous débarrasser du relativisme culturel. - Aux relativistes culturels et autres socialistes de la charia, je réponds avec fierté : notre culture occidentale est bien supérieure à la culture islamique. N’ayez pas peur de le dire. Vous n’êtes pas raciste en disant que votre culture est meilleure.

- Troisièmement, nous devons arrêter l’immigration de masse en provenance de pays islamiques. Parce que davantage d’islam implique moins de liberté.

- Quatrièmement, nous aurons à expulser les immigrants criminels et, suite aux naturalisations, nous devrons expulser les criminels ayant la double nationalité. Et ils sont nombreux dans mon pays.

- Cinquièmement, nous devrons stopper la construction de mosquées. Il y a assez d’islam en Europe. Précisément depuis que les chrétiens de Turquie, d’Egypte, d’Irak, d’Iran, du Pakistan et d’Indonésie sont persécutés, nous devons mettre un point d’arrêt à la construction de mosquées en Occident.

- Enfin, nous devons nous débarrasser de ces soi-disant dirigeants. Je le répète : moins de Chamberlain, plus de Churchill. Élisons de vrais dirigeants.

Mesdames et messieurs, pour la précédente génération, celle de mes parents, le mot Londres était synonyme de liberté et d’espoir.

Quand mon pays était occupé par les nazis, la BBC constituait un brin d’espoir journalier, dans la noirceur de la tyrannie. Des millions de concitoyens l’écoutaient en cachette. Les mots "Ici Londres" étaient le signe d’un monde meilleur à venir.

Quel programme à la radio dans 40 ans ? Entendra-t-on "Ici Londres" ? Ou bien "Ici Londonistan" ? Transmettra-t-on l’espoir ? Ou les valeurs de la Mecque et Médine ? L’Angleterre apportera-t-elle la soumission ou la persévérance ? Liberté ou esclavage ? Le choix est devant vous. Et aux Pays-Bas aussi.

Mesdames et messieurs, nous ne nous excuserons jamais d’être libres. Nous ne nous coucherons jamais. Et comme un de nos anciens dirigeants disait : nous ne nous rendrons jamais. La liberté doit l’emporter et la liberté l’emportera.

NB : grande-bretagne-gwilders-presente-son-film-fitna-a-la-chambre-des-lords/

Pays-Bas

Geert Wilders, chef du parti anti-islam PVV, 3ème parti au nouveau Parlement, appelle le futur gouvernement de son pays, l'Union européenne et le monde entier à ne plus reconnaître le royaume hachémite. "La patrie des Palestiniens est la Jordanie. Le changement de nom de la Jordanie pour la Palestine règlera la crise au Proche-Orient et fournira une patrie alternative aux Palestiniens", a-t-il affirmé. "Si Jérusalem tombe aux mains des Musulmans, ce sera ensuite au tour d'Athènes et de Rome", a-t-il ajouté. Des propos très mal accueillis par Amman qui a demandé des explications à la Hollande...

samedi 19 juin 2010

LA VERITE SUR CE QUI SE JOUE ACTUELLEMENT AU LARGE DE GAZA - On doit aussi savoir qu'il est faux de penser que Gaza meurt de faim : Israël est le premier à lui fournir des produits humanitaires en quantité...



Par Alain Legaret
jeudi 3 juin 2010
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Pendant huit ans, près de six mille roquettes ont été envoyées sur Israël à partir de Gaza. Fin 2008, Tsahal lançait l'opération "Plomb Durci" pour faire cesser ces tirs. L'attitude de la communauté internationale, silencieuse pendant huit ans, puis soudain vociférante, laisserait croire que bombarder les localités juives est moral, tandis que vouloir faire cesser ces tirs est immoral.

Depuis plus de quatre ans, Guilad Shalit est otage à Gaza.

Depuis trois ans, Israël maintient un blocus sur Gaza, contrôlant les marchandises pour éviter que les convois humanitaires ne transportent des armes. L'attitude de la communauté internationale, scandalisée dans un cas et muette dans l'autre, laisserait croire qu'empêcher le trafic d'armes est immoral, mais que retenir un être humain en isolement total serait donc moral.

Si telles sont les valeurs que défend la communauté internationale, le devoir exige de s'en démarquer. Aujourd'hui, la Syrie est en train de transférer des tonnes de missiles au Hezbollah au nez et à la barbe des forces de l'ONU chargées de prévenir ce réarmement. Dans le même temps, nombreux sont les pays qui ont réclamé d'Israël la levée immédiate du blocus de Gaza. Autant demander directement à l'Etat juif de se suicider.

Il doit être difficile à certains de voir une nation se plier aux règles démocratiques et résister aux assauts des dictatures alentours. Alors qu'Israël a arraisonné cette semaine la flottille pour Gaza, déjà un nouveau bateau irlandais se prépare à vouloir briser le blocus. Il est clair qu'Israël mettra tout en oeuvre pour le stopper aussi. Car si Israël laisse passer un premier bateau sans le contrôler, alors viendront les suivants qui transporteront des armes. Le premier ministre irlandais a toutefois demandé à Israël de laisser passer le navire. Il souhaite l'apaisement. Pourtant. Pendant des années, les dirigeants européens ont mis en garde de ne pas importer le conflit du Moyen-Orient alors qu'aujourd'hui, ils laissent leurs propres ressortissants aller affronter l'armée israélienne.

Et c'est à Israël qu'ils demandent de la retenue. Attitude démissionnaire qui abandonne à l'autre ses propres problèmes. Car ce qui se joue au large de Gaza, ce n'est pas un simple conflit entre deux peuples, mais c'est la défense d'une certaine idée de l'occident, des libertés et de la démocratie. En entendant quelques noms de ressortissants occidentaux embarqués sur la flottille pour Gaza, on peut se demander si c'est bien de l'Europe que l'on parle. En allant se frotter à la marine israélienne, ils obligent le gouvernement de leur pays à choisir entre défendre ses ressortissants ou son identité. Alors que plusieurs pays ont décidé de baisser les bras, le fait qu'Israël continue de vouloir vivre libre compromet leur projet de reddition. Ceux qui agitent aujourd'hui le drapeau blanc, souhaiteraient que fassent de même ceux qui continuent de refuser le joug de l'obscurantisme.

Mais Israël n'a pas le choix: capituler signifierait sa destruction. Car c'est bien en renonçant à leur identité que toutes les civilisations ont entamé leur processus de disparition. Et si le peuple juif est toujours là, c'est parce qu'au fil des millénaires et des pogroms, il n'a jamais abandonné sa culture et ses valeurs. Il est toujours debout parce qu'il n'a jamais fait de compromis avec le mensonge et le fanatisme.

Alors oui, Israël est intraitable. Alors oui, Israël est isolé.

Malheureusement. Pourtant, Israël n'est pas à l'origine des violences sur le Marmara. Si tels avaient été les ordres, il y aurait eu des victimes sur les six bateaux de la flottille et non sur un seul d'entre eux. Pour autant, s'il y a une chose que l'on peut reprocher à Israël dans l'affaire de la flottille pour Gaza, c'est sa naïveté. Son péché a été de ne pas s'attendre à une telle réaction. Car dans son histoire, même aux pires moments des guerres et des tensions, le million d'Arabes israéliens a continué à se retrouver côte-à-côte avec les Juifs, civils et même soldats, dans les administrations, les parcs, ou les restaurants de l'état hébreu, sans pour autant se lyncher l'un l'autre. Ailleurs par contre, il suffit d'avoir assisté une seule fois à un défilé pro-palestinien pour constater la haine hystérique d'Israël qui se dégage des manifestants dans le monde arabe et occidental. Recevoir alors un soldat israélien tombé du ciel est une aubaine pour une foule chauffée à bloc. Et si cette haine d'Israël est si présente à l'étranger, c'est parce qu'elle se nourrit de fantasmes.

Non, Monsieur De Villepin! Gaza ne meurt pas de faim. Elle reçoit plus de produits humanitaires provenant d'Israël que par toutes les flottilles réunies.

Non, Monsieur Cohn-Bendit! La population de Gaza n'est pas hostile au Hamas. C'est même elle qui l'a porté au pouvoir en 2006 parce qu'elle en avait assez de la corruption de l'Autorité Palestinienne.

Non, Monsieur Dumas! Israël ne se comporte pas comme Hitler, et ceci, bien que les alliés n'aient jamais envisagé de rayer l'Allemagne et les Allemands de la surface du globe. Inversion des rôles qui donne la nausée.

Autant de propagande abjecte qui a fini par diaboliser Israël. Autant de mystifications mises bout à bout qui ont réussi à masquer la vérité. C'est pourquoi sans changement radical, le peuple juif risque de se retrouver rapidement au seuil d'une nouvelle période sombre de son histoire où il y va de la survie d'Israël.

Mais c'est surtout la civilisation occidentale telle que nous la connaissions encore hier, qui est en train de complètement s'effondrer, troquant ses valeurs durement acquises pour une jouissance immédiate, en confiant au diable l'avenir de ses enfants.



lundi 3 mai 2010

Wafa Sultan dit la vérité sur l'islam



mardi 30 mars 2010

A ECOUTER : JOURNAL D'UN ANCIEN GLOBE-TROTTER, nouvelle enregistrée sur le site Audiocité





Il y a déjà bien longtemps, j'ai mis en ligne sur mon blog une nouvelle inédite que j'ai intitulée "Journal d'un ancien globe-trotter". Puis, figurant sur Facebook depuis environ deux ans, j'y ai créé dernièrement une page de présentation de mes livres. Et j'ai eu l'idée de proposer ma nouvelle inédite aux lecteurs désireux de connaître ce récit. Beaucoup me l'ont réclamée, je la leur adressais par e-mail et je dois dire que j'ai eu ensuite le plaisir de recevoir des commentaires très enthousiastes qui m'ont fait beaucoup de bien ! L'auteur a toujours besoin d'encouragements, tellement il est solitaire... Et tellement il a besoin d'être rassuré en permanence...
Parmi les lecteurs de cette nouvelle, se trouvait une personne qui enregistrait des textes d'auteurs - en général d'auteurs classiques - et qui m'a proposé d'enregistrer le mien, tellement elle l'avait apprécié. C'est ainsi que ma nouvelle inédite se retrouve parmi les textes des grands auteurs, pour ma plus grande joie. Je me sens très honorée, en tant qu'auteur totalement inconnu, d'être entourée par des écrivains aussi prestigieux... L'histoire que vous pourrez écouter est donc lue par cette personne... Environ quarante pages, durée d'écoute : près d'une heure.

JOURNAL D'UN ANCIEN GLOBE-TROTTER (Résumé)

Une jeune femme qui travaille sur l'île de La Réunion depuis peu, découvre un jour par hasard un mystérieux gros carnet lors d'une balade. Elle s'aperçoit qu'il s'agit d'un journal intime, et, intriguée autant que curieuse, l'emporte chez elle.

Elle va ainsi découvrir quelques moments de la vie d'un certain Alexandre, à qui il vient d'arriver une bien fâcheuse histoire... Suite à quoi elle cherchera à retrouver l'auteur du carnet pour le lui rendre, mais ira de surprises en surprises...

jeudi 11 mars 2010

REPONSE A UNE MUSULMANE (et à certaines autres du même style)




Un jour, j'ai reçu un message fort désobligeant et insultant, de la part d'une musulmane qui n'avait pas apprécié mon article sur le voile en France, laissé sur l'un de mes blogs. Je lui fis cette réponse :

Je fais suite à votre message...
Dites-moi, vous auriez dû écrire encore plus petit ! Cela dénote sûrement quelque chose...
Votre exposé - que dis-je, votre cours sur l'islam - étant vraiment très long et ennuyeux, ce fut plutôt ardu à déchiffrer...
En tout cas, quel didactisme forcené sur le sujet !

Si je prends la peine de vous répondre, ce n'est certes pas pour reprendre les termes de votre ridicule exposé... Celui d'une musulmane enragée, (comme toutes celles qui voient rouge dès qu'on aborde le sujet du voile) et qui ne possède sans doute pour toute culture que celle de l'islam. Et pour toute lecture, sans doute seulement celle du Coran...
Une musulmane qui se mêle de ce qui ne la regarde pas, puisqu'il s'agit du voile en France et qu'elle vit au Maroc...
Madame, grand bien vous fasse d'y vivre ! Restez-y, au moins là-bas vous êtes à votre place pour porter hidjab, burqa ou tout ce que vous voudrez !

Une musulmane dont la pauvreté des arguments est navrante...
Des arguments, comme : "votre torchon", "vos fautes de syntaxe", etc.
C'est bien là qu'on retrouve toutes les caractéristiques d'une bassesse typique, propre aux musulmans piqués au vif et faisant preuve d'un esprit petit et mesquin... Mais laissons cela, je n'en ai que faire, mes lecteurs apprécient mes livres et dans l'ensemble, je suis assez sûre de mon français, qu'il m'est d'ailleurs arrivé d'enseigner. Lorsqu'on a fait des études de Lettres, avec latin en plus, n'est-ce pas... D'autant que même les plus érudits peuvent parfois se tromper : errare humanum est... Alors, laissez-moi rire !
Vous voulez peut-être m'apprendre mon métier ? Je ne sais pas qui vous êtes, mais votre suffisance est énorme ! Vous semblez avoir une très haute opinion de vous-même... Pourtant, il est fort possible que ce soit vous qui ignoriez la syntaxe...

Une musulmane qui, en plus, ignore également que la France est avant tout laïque et chrétienne... Chrétienne de par ses origines, la laïcité étant survenue bien après. Vous me voyez ravie de vous apprendre pourquoi : du temps des rois de France, les monarques devaient en passer plus ou moins par l'autorité du pape, le pape étant chrétien comme vous le savez sans doute... A cette époque, on peut dire qu'Eglise et Etat ne faisaient pratiquement qu'un... Or, dans les années 1900 et même avant, les gouvernements successifs ne voulaient plus mélanger politique et religion. D'où il en ressortit d'abord de nombreuses propositions de loi, dont celles-ci :
- 20 octobre 1902 : proposition de loi d'Ernest Roche tendant à la séparation des Églises et de l'État
- 26 mai 1903 : proposition de loi tendant à organiser le régime de séparation des Églises et de l'État, présentée par Gustave Hubbard
- 30 mai 1904 : vote par la Chambre des députés de la rupture des relations diplomatiques avec le Vatican.
- 4 septembre 1904 : Emile Combes déclare dans un discours prononcé à Auxerre que le vote de la loi de Séparation est désormais inéluctable.
- 31 janvier 1905 : proposition de loi Sénac sur la séparation des Églises et de l'État et la suppression du budget des cultes
-- 6 décembre 1905 : Sous la présidence de Paul Doumer, le texte est voté conforme par les sénateurs par 181 voix contre 101
- 9 décembre 1905 : La loi de Séparation est promulguée par le Président de la République.
- 11 décembre 1905 : Publiée au Journal officiel, la loi entre en vigueur au 1er janvier 1906.
- 1958 : La Constitution de la Ve République dispose en outre que « la France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale".

La France est donc bien chrétienne de par ses origines, même si elle est à présent laïque, justement pour permettre à chacun de choisir sa religion... Notons au passage Saint-Louis, qui fut roi de France...

Concernant "La Hide", oui, madame l'inquisitrice, je savais que c'était plutôt l'Aïd el-Kebir ou l'Aïd el-Fitr... Mais c'est une coutume de Mayotte, île musulmane où j'ai vécu huit ans, que de l'écrire de la sorte. Voilà pourquoi !

Personnellement, je me moque en effet des religions, qui ont apporté de tout temps plus de mal que de bien. Voir, par exemple, autrefois les guerres de religions et plus près de nous la guerre du Liban, où les musulmans tuaient les chrétiens... Ou encore, le conflit irlandais : catholiques contre protestants... Et aujourd'hui, tout récemment, dans je ne sais plus quel pays africain, où musulmans et chrétiens s'entre-tuent... Sans parler des fondamentalistes musulmans, qui font sauteur des bombes un peu partout dans le monde au nom d'Allah et du Coran... Et j'en passe !
D'autant que la Bible, le Coran et la Thora ont été écrits par de simples hommes, qui ont bien écrit ce qu'ils voulaient et sans doute ce qui les arrangeait... Notamment Mahomet, un chamelier qui eut des visions dans le désert (des hallucinations ?)...
Quand on étudie la philosophie, il n'est plus possible de croire à tous ces textes qui n'ont rien de sacrés, à toutes ces utopies... Je suis cependant panthéiste...
Au départ, les religions n'ont été créées que pour que les peuples soient soumis, afin que les dirigeants les aient bien en mains...
Et je rejoins Henri de Montherlant, qui disait à ce propos, je cite : "La religion est la maladie honteuse de l'humanité. La politique en est le cancer".
Point n'est besoin d'une religion pour se comporter dignement et savoir distinguer le bien et le mal...

CE QUE DIT LE CORAN SUR LE VOILE ISLAMIQUE

Aujourd'hui, la position des religieux sur le port du voile pour toutes les femmes musulmanes n'est pas figée. Le débat porte sur deux points. D'une part il s'agit de savoir qui précisément cette phrase désigne, et d'autre part s'il s'agit d'un conseil ou d'une obligation.

Coran, Sourate 33 :

Traduction de Jacques Berque :

59. Prophète, Dis à tes épouses, à tes filles, aux femmes des croyants de revêtir leur mantes : sûr moyen d'être reconnues (pour des dames) et d'échapper à toute offense
- Dieu est Tout indulgence, Miséricordieux.

Coran, Sourate 24

Traduction de Jacques Berque :

31. Dis aux croyantes de baisser les yeux et de contenir leur sexe ; de ne pas faire montre de leurs agréments, sauf ce qui en émerge, de rabattre leur fichu sur les échancrures de leurs vêtements. Elles ne laisseront voir leurs agréments qu'à leur mari, à leurs enfants, à leurs pères, beaux-pères, fils, beaux-fils, neveux de frères et de soeurs, aux femmes (de leur communauté), à leurs captives, à leurs dépendants hommes incapables de l'acte, ou garçons encore ignorant de l'intimité des femmes. Qu'elles ne piaffent pas pour révéler ce qu'elles cachent de leurs agréments.

Jacques Berque ajoute cette note : "Leurs agréments" : le mot est à entendre non seulement des parures mais des appas corporels. On a renoncé à traduire une suite de 25 pronoms au féminin pluriel. A qui note dans le Coran le caractère personnaliste de ce pronom affixe, la répétition s'avère significative. Le législateur parait ici soucieux de ménager à la femme ce qui fait partie de sa personnalité, en évitant seulement l'exhibition provocante. Si cela est vrai, on est loin des interprétations extensives de la coutume juridique.

POSITIONS DES INSTITUTIONS MUSULMANES DE FRANCE

Le Conseil Français du Culte Musulman CFCM ne s'est pas prononcé clairement sur la loi du 15 mars ni sur l'interprétation qu'il faut faire des versets du Coran. Une commission devrait être créée pour répondre à la question de l'interprétation du Coran.

La Grande Mosquée de Paris GMP, ainsi que le Comité de coordination des musulmans turcs de France CCMTF et la Fédération française des Associations islamiques d’Afrique, des Comores et des Antilles FFAIACA ont demandé aux élèves de retirer leur voile ostensible.

QUELQUES POSITIONS

Pour Malek Chebel :

"Celles qui subissent le voile, venu des hommes, du milieu des hommes, de l'univers masculin : le frère, le père, l'imam, tout autour, le quartier... Comment il est contrôlé par les théologiens et par les imams, plus ou moins d'ailleurs honnêtes ces imams... Hé bien je prétends que le voile est un instrument de la soumission de la femme. Et enlever le voile, loin de déplaire à Dieu, je pense qu'on peut plaire encore plus à Dieu, parce qu'on sera un individu. Et la femme pourra dire : je suis un individu, je suis une musulmane, qui s'assume et qui n'a pas besoin d'un fichu pour montrer qu'elle est musulmane."
Malek Chebel, lors d'un entretien dans un reportage de Marianne Klaric pour le magazine télé de la RTBF Question à la Une.

Mon propos : Bravo à Malek Chebel ! C'est tout à fait ce que je pense et que pensent de très nombreuses personnes, heureusement...

Madame, je vous laisse méditer sur ce dernier paragraphe !


dimanche 7 février 2010

SUR LE VOILE EN FRANCE




On trouve l’évocation du voile dans la Bible.
La Bible contient un petit bijou de littérature profane : le Cantique des Cantiques (le superlatif n’existant pas en hébreu, il serait plus logique de dire : le plus beau des cantiques). Il s’agirait en fait d'un chant d’amour entre un berger et une jeune femme (une Sulamithe, convoitée par le roi Salomon). En voici un extrait :

(Bible / Cantique des cantiques / 4.1)

"Que tu es belle, mon amie, que tu es belle !
Tes yeux sont des colombes, derrière ton voile.
Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres,
Suspendues aux flancs de la montagne de Galaad.

Il est à noter que le voile porté par les femmes de cette époque ne cachait donc pas les cheveux et qu’il ne devait représenter qu’une habitude vestimentaire ; soit une mode, soit encore une façon de se protéger du soleil ...

Je me pose alors la question de savoir pourquoi les femmes musulmanes de France qui ne seraient pas obligées par leur mari à porter le voile le porteraient ? Puisque aucun verset du coran ne l’implicite… Cette obligation provient d’Iran, où je ne sais plus quel mollah l’a instaurée voici des lustres. Lorsqu’on voit d’ailleurs ce qui se passe de nos jours en Iran, il n’y a pas à s’en étonner… Pour en revenir aux musulmanes de France qui portent le voile d'elles-mêmes, sont-elles masochistes ? Contre la féminité ? Contre la modernité ? Sont-elles complètement timorées ? Ont-elles peur de quelque chose et cherchent-elles à se protéger ? Ou bien encore, veulent-elles à tout prix qu'on sache qu'elles sont musulmanes ?

Je rajouterai que si le foulard exista chez les chrétiennes de France jusque dans les années 60 environ, notamment chez les catholiques pratiquantes, il ne fut jamais porté que pour se rendre à l'église... En fait, il fallait seulement se couvrir la tête durant les offices religieux et beaucoup de femmes portaient plutôt un bonnet ou un chapeau. Cette coutume n'a plus cours depuis des décennies et chacune fait ce que bon lui semble à l'église.
Durant les années 60, 70 et 80, il y a eu également une mode du foulard, lancée, je pense, par le célèbre couturier Hermès ; certaines le portaient parfois comme un châle, parfois autour du cou, ou encore sur la tête pour maîtriser leurs cheveux lorsqu'elles utilisaient une voiture décapotable et par temps de pluie ou de froid... Ce genre de foulard est d'ailleurs toujours d'actualité encore aujourd'hui pour certaines femmes.
Comme on le voit, tout ceci n'a strictement rien à voir avec voile, hidjab et burqa portés par certaines musulmanes... Puisque n'importe quelle femme française, de quelque confession qu'elle soit ou même athée, continue à porter ou non ce qu'elle a envie sur sa tête, suivant ses humeurs ; tandis que la femme musulmane voilée arbore sa tenue de façon identique et continuelle, un peu comme un uniforme qui désigne d'office sa religion. Car il est évident qu'une femme ne pratiquant pas l'islam ne serait pas voilée et pas en permanence... Si certaines femmes musulmanes se voilent par plaisir où pour toute autre raison qui ne regarde qu’elles, alors qu’elles le fassent seulement chez elles, chez leurs amis, ou lorsqu’elles se rendent à la mosquée (comme les juifs de France, qui ne portent la kippa que pour se rendre à la synagogue). Une loi est d’ailleurs en préparation n’autorisant pas le voile dans les établissements publics.
Personnellement, si je suis heureuse de la pluralité ethnique de la France, il me semble néanmoins logique que tous les Français d'origine étrangère se conforment aux us et coutumes du pays où ils ont choisi de vivre. Lorsqu'on sait que la France est avant tout laïque et chrétienne, j'estime qu'elle se montre suffisamment compréhensive pour avoir accepté que des bâtiments religieux autres que chrétiens soient édifiés sur son sol. Et je doute fort que dans le cas contraire, certains gouvernements musulmans auraient accepté de voir s'ériger des églises sur leur territoire... Un exemple ? Si la guerre du Liban a existé, c’est bien en partie parce que les musulmans s’en prenaient aux chrétiens, donc à leurs églises… Un autre exemple, plus proche : j’ai habité à Mayotte, île musulmane. Huit ans, de 1996 à 2004. La seule église qui s’était installée tant bien que mal à Mamoudzou, la capitale, recevait en permanence des jets incessants de pierres. Le curé en a même reçu une un jour…

Je vais maintenant parler d’un ami personnel. C’est un cinéaste et écrivain algérien. Il a fui l'Algérie dans le courant des années 90. Parce que c'était un sympathisant de la France, et que les intégristes algériens n'hésitaient pas à tuer toute personne algérienne ne parlant pas uniquement arabe et ayant lié amitié avec des Français. Mon ami risquait donc sa vie, d'autant qu'il parlait français, lisait des livres français, écrivait des articles en langue française pour dénoncer ce qui se passait en Algérie et fréquentait des femmes blanches ou des femmes arabes modernes, donc sans hidjab. Autour de lui, il a eu des membres de sa famille et des amis qui ont été retrouvés égorgés dans leur maison. Il a connu des jeunes femmes qui ont également été égorgées pour avoir cessé de porter le hidjab. Il a d'ailleurs consigné tout ceci dans un livre publié en 2001. Du reste, je me souviens très bien que jusqu'en 96 ou 97, aux informations télévisées on nous faisait part de telles atrocités se passant en Algérie. Les règlements de compte allaient bon train là-bas de la part des intégristes. Actuellement ça existe encore parfois, mais il en est beaucoup moins parlé.
A l'indépendance de l'Algérie en 62, la plupart des sympathisants avaient dû quitter leur pays pour se réfugier en France par peur des représailles. Leurs enfants et petits-enfants sont maintenant français à part entière. Les Algériens, peuple musulman, ont donc toujours continué à pratiquer l'islam entre eux en France ; de même qu'ils ont conservé certaines de leurs coutumes liées à leur religion, puisque comme chacun sait l'islam et l'Etat ne font qu'un, à l'encontre du christianisme qui est séparé de l'Etat. Je pense même que l'islam est la seule religion qui ne se soit pas dissociée de l'Etat. A mon avis, c'est d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles les musulmans ont des difficultés à s'intégrer dans un pays non musulman ; c'est sans doute trop différent pour eux. D'autant que si bon nombre de religions, dont le christianisme, ont évolué au fil du temps parce que cela devenait nécessaire, l'islam, quant à lui, en est resté pratiquement à ses origines. Par exemple, il y a belle lurette que le christianisme a supprimé le jeûn intensif au moment des Pâques, car ce n'était plus adapté avec le monde du travail ; de même qu'il y a belle lurette qu'aucun agneau pascal n'est immolé, cette coutume ne cadrant plus avec les mentalités, qui la jugeaient barbare et correspondant à une époque révolue. Alors que le Ramadan se poursuit de la même manière, sans doute depuis les origines, et que des centaines de moutons sont sacrifiés tous les ans lors de la Hide... Même s'il y a maintenant une législation en vigueur sur la façon de tuer les moutons, il semblerait davantage logique que cette pratique soit interdite en France, étant donné que les chrétiens de France ont cessé la leur... Et soit dit en passant, il est étonnant que de toutes les religions pratiquées en France, ce soit l'islam qui fasse le plus de vagues, le plus de remous... Toutes les autres religions sont beaucoup plus discrètes. Déjà, même si l'on trouve parfois des intégristes juifs et chrétiens, ils ne seront jamais en aussi grand nombre que les intégristes musulmans, qui, eux, en plus, font sauter des bombes un peu partout dans le monde... C'est très dommageable pour l'islam, pour son image de marque. D'autant que beaucoup d'Européens s'étonnent que les musulmans, dans leur ensemble, ne fassent pas plus que ça la chasse aux intégristes se réclamant du coran...
Mais revenons aux femmes musulmanes... Les jeunes filles musulmanes françaises ont souvent eu maille à partir avec un père ou un frère aîné voulant les soumettre à des coutumes n'ayant pas lieu en France, comme les mariages arrangés, par exemple ; en principe, on emmenait de force la jeune fille dans un pays du Maghreb pour la marier, souvent avec un homme beaucoup plus âgé. Pourquoi ? Parce que les parents ou certains frères aînés avaient peur de voir leurs filles ou leurs soeurs trop s'émanciper, devenir trop modernes en France, peur qu'elles tombent enceintes... (Qui n'a pas vu, encore dernièrement aux informations télévisées, des jeunes filles maghrebines s'être fait agresser ou tuer par des membres de leur famille ou des amis proches, parce qu'elles voulaient vivre en femmes libres et modernes ?) Parfois, les jeunes filles mariées ailleurs contre leur volonté parvenaient à s'enfuir et revenaient en France se réfugier dans des associations les protégeant de ce genre de pratique. J'ai eu plusieurs fois l'occasion d'écouter certains témoignages dans des émissions télévisées...
Même si voile et mariage forcé ne vont pas forcément de paire, il s'est tout de même souvent trouvé que la jeune fille ait été obligée de se marier avec quelqu’un choisi par le père et que le mari l’oblige ensuite à se voiler ; dans ce cas, a-t-on forcément affaire à un islamiste ? Il paraîtrait que ce ne soit pas obligatoire, mais que l'homme étant âgé a peur qu'on puisse convoiter sa jeune épouse ; alors il la cache, en quelque sorte...
La meilleure preuve étayant mes dires, c'est ce livre paru en 2006 aux éditions JC Lattes, intitulé, LE VOILE DE LA PEUR. Il a été écrit par Samia Shariff, une Algérienne qui a vécu autrefois en France avec ses parents. Ceux-ci s'y étaient installés fin des années 50 et étaient retournés ensuite en Algérie lors de son indépendance. C'est à ce moment-là que le calvaire a commencé pour cette jeune femme, et qu'il a continué lorsqu’elle est revenue vivre en France avec le mari qu’on lui avait imposé... La seule façon pour elle d’échapper à ce calvaire, aura été de parvenir à s’enfuir. Actuellement, elle vit au Canada. Dans son livre, elle apporte un témoignage bouleversant sur la vie des femmes algériennes des années 60-70. Mais en 80, ça ne devait pas avoir beaucoup changé, je suppose. A présent, je ne sais pas... Je l'espère pour elles !
Voici quelques passages du livre :

"Nos traditions et nos moeurs - je m'en rends compte aujourd'hui - sont très particulières. La femme musulmane dépend d'un homme toute sa vie durant ; elle dépend d'abord de son père puis de son mari. En l'absence de l'un ou de l'autre, elle sera sous l'autorité de son frère et à défaut de celui-ci, de son oncle. Elle ne peut décider par elle-même ni pour elle-même. Selon la croyance musulmane, une femme est incapable de réfléchir aussi bien qu'un homme et elle pourrait prendre une décision qui lui serait préjudiciable. Encore de nos jours, les petites filles musulmanes baignent dans ce sentiment d'infériorité et grandissent en le tenant pour acquis. Si, exceptionnellement, une femme musulmane décide de se prendre en mains, elle représentera un danger, non seulement pour sa famille, mais aussi pour elle-même.
Ainsi mon mari me dit-il un jour : « Ton devoir de bonne musulmane est de me satisfaire en tout points et si tu refuses tu perdras ta place au Paradis. Je suis ton mari et tu me dois respect et obéissance. Ce sont les lois islamiques. D'ailleurs, dans le coran il y a ce verset, où Dieu dit en parlant des hommes "Vous êtes les bergers et vos femmes sont votre bétail".
Un autre passage du livre, où le mari a frappé l'héroïne, qui se retrouve à l'hôpital.
Il lui dit : " J'espère que tu n'as rien dit à personne. Je regrette que cet incident se soit passé en France. Chez nous, au pays, nous n'aurions eu de comptes à rendre à personne. En France ils nous contrôlent, car nous vivons chez eux et ils veulent nous empêcher de vivre normalement avec nos femmes ; ici c'est la prison qui attend un homme qui bat sa femme. Les Français veulent changer les lois de Dieu ! Les misérables, qu'ils soient damnés à jamais !".

samedi 9 janvier 2010

VACCINS=DANGER : A LIRE, UN DOCUMENT EDIFIANT




VACCINATION : ERREUR MEDICALE DU SIECLE
******************
Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 141 à 144Extrait 1

Les fabricants de vaccins sont touchés de plein fouet. Se référant au livre d’Allen [David J.] et à sa mort plutôt suspecte, de moins en moins de gens se font vacciner. Le doute s’est installé dans les esprits. Qu’à cela ne tienne, les industriels incriminés ne perdent pas pied. Ils continuent à prôner le vaccin et fabriquent en même temps toutes sortes de médicaments destinés à soigner les affections occurrentes spécifiques de la maladie du sida. Un véritable pactole ! La suite, nous la connaissons... Les experts désignés par l’instance judiciaire internationale avaient déclaré dans leur rapport :

« Les fabricants de vaccins jouent sur du velours. En effet, il est impossible de démontrer d’une manière scientifique l’efficacité des vaccins. La seule chose qu’on puisse comptabiliser est le nombre de sujets vaccinés, sans savoir s’ils ont été réellement immunisés puisqu’ils ne sont pas suivis par le corps médical. D’autre part, étant donné le nombre considérable de sujets vaccinés, de 90% à 99%, si les vaccins étaient efficaces, il ne devrait plus y avoir depuis longtemps aucune maladie infectieuse sur la planète. Or, depuis quelques années, des épidémies et pandémies qu’on croyait éradiquées sont réapparues en force. Le principe vaccinal, dès sa découverte par Jenner, fut sujet à caution. Nous avons inventorié des documents qui démontrent que les recherches réalisées par lui ont été faites selon des critères scientifiques inacceptables, c’est-à-dire sans un contrôle suffisant des expériences. Ceux qui ont accepté et suivi ce principe, par manque d’information ou esprit de lucre [profit], ont commis une très lourde erreur dont nous payons actuellement les conséquences.

« En particulier, le Français Pasteur, par la généralisation des vaccinations pour lutter contre d’autres affections que la variole, peut être considéré comme le père fondateur de la plus grande entreprise criminelle de tous les temps. Son expérience de vaccination contre la rage peut être considérée comme une supercherie ayant fait long feu. Les successeurs de Pasteur et l’Institut Pasteur doivent être considérés comme les responsables de la situation sanitaire mondiale actuelle. Toutes les statistiques internationales consultées font montre de diverses falsifications. Parce qu’ils ont prôné les vaccinations par intérêt ou par ignorance des phénomènes biologiques spécifiques du principe vaccinal, les gouvernements et le corps médical dans son ensemble sont aussi condamnables. Également, il s’avère que le corps médical et l’Organisation mondiale de la santé n’ont jamais eu la possibilité de suivre les personnes vaccinées, sauf dans les cas d’accidents. C’est pourquoi, on peut les accuser d’avoir propagé les vaccins sans posséder la certitude d’une réelle efficacité. Enfin, le principe des vaccinations obligatoires n’aurait jamais du être accepté par les gouvernements et l’ensemble des populations, du fait qu’il est contraire aux principes élémentaires des droits de l’homme. Il s’agit là d’une atteinte à la liberté individuelle. »

Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 141 à 144Extrait 2

Un groupe de scientifiques de haut niveau prend le relais du docteur Allen et démontre que la mise sur le marché du vaccin X constitue une supercherie et qu’en réalité, ce sont bien les vaccinations qui sont à l’origine du sida. Ils exposent que par recombinaison génétique, l’introduction de virus vivants dans un organisme peut réveiller un virus endormi, et que c’est ce qui s’est passé. Le sida est donc une maladie provoquée par les vaccinations. Telle est la conclusion des experts, conclusion qui rejoint la déclaration de Robert Gallo au London Times, du 11 mai 1987« La relation entre le programme de vaccination de l’OMS dans son effort pour éradiquer la variole des pays du Tiers Monde et l’épidémie de sida est une intéressante hypothèse. Je ne dis pas que cela s’est réellement passé, mais durant des années, j’ai toujours dit que l’usage de vaccins de virus vivants (comme l’on pratique en Afrique) peut activer un virus endormi comme celui du sida ».

Évidemment, ce groupe d’experts omet de dire qu’en 1993, le docteur De Brouwer avait écrit un ouvrage, Sida, le vertige, dans lequel il tentait de démontrer de manière scientifique que le virus du sida était le résultat d’une recombinaison génétique entre le HTLV 2 et le virus de la vaccine. Pourquoi le professeur Robert Gallo, qui trouvait cette hypothèse intéressante, n’a-t-il pas orienté ses recherches dans ce sens ? On peut se poser de nombreuses questions à ce propos.

Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 141 à 144Extrait 3

LA NON-INNOCUITÉ DES VACCINS : UN MYTHE

Différents essais réalisés aux usa et contrôlés par ordinateur ont fait apparaître que des virus et rétrovirus présents dans un organisme humain peuvent y demeurer à l’état latent ou défectif, c’est-à-dire en ne s’exprimant pas. Tout virus inoculé fait de même. Mais si certains événements biologiques se produisent entraînant un changement de terrain, ou si le terrain du vacciné se trouve déprimé au plan immunitaire, ce virus peut retrouver sa virulence initiale. En fait, toute modification biochimique d’un organisme peut entraîner un retour à la virulence du virus inoculé ou permettre une recombinaison génétique avec un autre virus présent dans l’organisme mais qui ne se manifestait pas dans la mesure où s’était établi un état d’équilibre, de symbiose biologique. Me référant à des expériences qui se sont déroulées au département de microbiologie de l’Université de Californie à Los Angeles en 1986, je puis affirmer que deux virus non virulent peuvent devenir virulents, c’est-à-dire léthaux [meurtriers ; qui tuent], par recombinaison spontanées, in vivo dans un organisme vivant. Toutefois, point n’est besoin de procéder à une recombinaison entre deux virus ou rétrovirus affectant des espèces différents pour obtenir un super-virus ou rétrovirus.

L’expérience que je relate ci-après donne à réfléchir. Deux virus pathogènes, mais non léthaux pris séparément, sont susceptibles de provoquer une affection mortelle (pour les animaux) en se recombinant par eux-mêmes, sans manipulation génétique exécutée par l’homme. On savait que l’infection d’un animal par un virus virulent est capable de provoquer une maladie caractérisée. Mais on n’avait jamais démontré in vivo que l’inoculation de virus non virulents pouvait provoquer une maladie par le biais du phénomène de complémentation ou de recombinaison. En 1986, une équipe de recherche américaine [étasunienne] a utilisé deux souches de virus herpès simplex type 1 et les a inoculées à des souris American science, 7 novembre 1986). 62% des animaux qui reçurent un mélange à concentration égale des deux espèces virales décédèrent. Par contre, les souris qui reçurent une injection similaire ou 100 fois plus concentrée de chacun des agents viraux pris séparément survécurent toutes. En considérant un lot de 20 souris mortes après l’injection du mélange viral des deux souches non virulentes, 14 virus furent isolés. Onze d’entre eux se révélèrent être des recombinaisons. Trois de ces recombinaisons réinjectés à des souris se montrèrent mortels. De semblables résultats prouvent que deux variants non virulents d’herpès simplex peuvent interagir in vivo et engendrer des recombinaisons virulents et léthaux [mortels].

[Imaginez donc ce que peuvent faire tout une série de vaccins différents qu’on inocule aux enfants et aux adultes ???]

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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 144 à 145Extrait 4

La conclusion semble évidente. Il apparaît en premier lieu que le transfert d’un virus d’une espèce à une autre représente un danger pour le receveur et en second, que deux virus possèdent la capacité de se recombiner in vivo, c’est-à-dire de créer une souche nouvelle non seulement pathogène mais létale. Dans le cadre de cette conclusion objective, on peut alors se poser la question de savoir si la vaccination tant prônée ne représente pas un sérieux danger pour la santé publique. En effet, il semble évident à tout biologiste que l’organisme humain, animal ou végétal constitue une entité, un monde clos qui doit demeurer vierge de toute pollution tout au long de son existence si l’on veut qu’il survive dans des conditions idéales de fonctionnement et d’homéostasie. Le système immunitaire des êtres vivants est là pour le prouver : il intervient vigoureusement pour le défendre contre toute agression étrangère. En cas de déficience de ce système, c’est la maladie et la mort. Or, on peut se demander si, de nos jours, l’organisme humain est vierge de toute pollution, de pollution virale en particulier... La réponse est évidente : depuis la pratique générale des vaccinations, il ne l’est certainement pas.

Même atténué, un virus peut reprendre sa virulence in vivo. C’est le cas du virus polio vaccinal qui redevient pathogène après passage dans l’intestin et qui contribue ainsi à contaminer l’entourage. Une étude menée par l’OMS dans huit pays, de 1970 à 1974, montre que sur 360 cas de polio paralytique, 144 se sont produit chez des contacts de vaccinés et qu’aux États-Unis, en 1982 et 1983, tous les cas de poliomyélite rapportés ont été associés aux vaccins. En outre, les vaccins antipolio ont été produits sur reins de singes contaminés par le virus cancérogène SV 40, inoffensif pour le singe mais tumoral pour l’homme. Ce qui expliquerait l’explosion de cancers dans le monde depuis 30 ans. Ainsi, sans le savoir, l’homme avait déjà créé une arme redoutable mettant en péril la planète, ceci au nom de principes prophylactiques absurdes.

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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 5

LES VACCINATIONS, FACTEURS DE DÉGÉNÉRESCENCE DE L’ESPÈCE HUMAINE

( ... )

Par contre, une chose est certaine, admise par l’ensemble des biologistes, c’est qu’un organisme qui, au cours de l’évolution, est parvenu à s’adapter à l’environnement dans lequel il s’est trouvé placé, donne naissance à d’autres organismes parfaitement sains si les géniteurs étaient eux-mêmes sains du fait que leur système immunitaire était performant. Au contraire, si les géniteurs ne possédaient pas un système immunitaire ad hoc et que quelques virus, rétrovirus ou autres bactéries aient déjoué les défenses de leur organisme pour y pénétrer et s’y installer tout en demeurant muets, défectifs, il apparaît évident que les intrus seront transmis aux descendants. Cest ainsi que, pratiquement, tous les Occidentaux possèdent dans leur organisme 5 ou 6 variétés de virus Herpès, et que nombre d’habitants d’Afrique centrale abritent dans leurs cellules le HTLV 2, découvert par Robert Gallo et son équipe. On ne parle que rarement de cette découverte capitale, éclipsée par celle du rétrovirus du sida.

Il faut qu’interviennent certaines circonstances particulières pour que ces virus herpétiques se manifestent, sortent de leur sommeil. De même pour le HTLV 2. Ces virus et rétrovirus ont été mis en évidence, mais il est certain que l’organisme humain abrite d’autres formes de virus et rétrovirus qui, pour le moment, n’ont pas été découverts. Il en est de même pour différentes espèces animales devenues de véritables réservoirs à virus, notamment les singes verts d’Afrique. Mais ces virus et rétrovirus demeurent muets, la plupart du temps. Le système immunitaire a fonctionné et, s’il n’a pas réussi à les éliminer, il leur a fait perdre leur virulence par restriction de leur propre capital génétique. Cela ne s’est certainement pas passé sans problème majeurs pour les organismes atteints, mais quoi qu’il en soit, on peut affirmer que les intrus en question ne se manifestent qu’en de rares occasions.

Par conséquent, on peut affirmer que des géniteurs sains, même s’ils sont porteurs de virus et rétrovirus défectifs, donnent naissance à des descendants sains, qui seront également porteurs de ces mêmes intrus, lesquels demeureront, en principe, muets, comme chez les ascendants. Les decendants de ces géniteurs sains, au contact d’un environnement qui s’est peu modifié depuis des millénaires, se trouveront aux prises avec divers virus et bactéries pathogènes qui risqueront de provoquer les maladies bien connues de l’enfance, la rougeole, la rubérole, les oreillons, etc. et avec d’autres beaucoup plus dangereux susceptibles de provoquer des affections gravissimes telles que la variole, la peste, le choléra, etc., si certaines conditions élémentaires d’hygiène et de nutrition ne se trouvent pas réalisées. De la sorte apparaît l’importance de l’environnement dans la genèse de nombre de maladies infectieuses. Si l’humanité toute entière vivait dans des conditions exceptionnelles d’hygiène et de nutrition, il n’y aurait jamais d’épidémies et de pandémies provoquées par l’intrusion de facteurs infectieux.

Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 6

C’est l’affaiblissement du système immunitaire des organismes qui provoque l’intrusion de ces agens infectieux ou, dans certains cas, qui génère ou régénère ses propres agents infectieux demeurés jusque-là muets parce que vivant en symbiose avec la machinerie cellulaire résultant de l’évolution. En conséquence, il semble évident que dans les pays développés où les conditions de nutrition et d’hygiène sont normales, point n’est besoin de prévenir par la vaccination des maladies qui n’apparaîtront jamais, puisque les facteurs générateurs de ces maladies ont pratiquement disparu. C’est ainsi que le principe des vaccinations apparaît comme une véritable supercherie et escroquerie à la santé. Les enfants en bas âge possèdent déjà à la naissance les anticorps transmis par leur mère. Plus tard, si leur organisme est confronté à des maladies comme la rougeole, les oreillons, la rubéole, etc., il provoquera lui-même par cette confrontation sa propre immunité future. Ce ne sont pas des maladies graves. Il est facile de les soigner par des méthodes naturelles.

Si des affections gravissimes voient le jour, il y a lieu alors d’incriminer des facteurs d’environnement particulièrement néfastes, auxquels peut s’ajouter une modification du terrain chez l’individu atteint, elle-même due à une transmission héréditaire ou au non-respect de véritables conditions de vie d’hygiène et de nutrition. Suivant le cas, nous serons en présence de maladies telles que la tuberculose, la poliomyélite, le choléra, la peste, la sclérose en plaques, etc. et, pourquoi pas, le sida. Or, que voyons-nous ? Plus les pays sont hautement industrialisés, plus le principe des vaccinations (pourtant inutiles) est appliqué, prôné par les gouvernements. Et plus les pays du Tiers Monde sont fragilisés parce que les populations y souffrent de malnutrition et que leur système immunitaire y est mis à rude épreuve par nombre de vecteurs pathogènes, plus l’Organisation mondiale de la santé réalise des campagnes de vaccination sans faire aucune distinction quant à l’état immunitaire des individus. C’est de l’aberration mentale.

Il est reconnu aujourd’hui par la plupart des scientifiques compétents et honnêtes qu’il s’avère extrêmement dangereux de vacciner (introduire des virus vivants ou atténués) dans l’organisme d’individus fragilisés immunitairement. Cette fragilité immunitaire est due au fait que les organismes des populations considérées se trouvent fréquemment confrontés à de nombreux facteurs pathogènes spécifiques du lieu où elles vivent et que leur système immunitaire trop sollicité n’a plus la capacité de réagir vigoureusement à des facteurs pathogènes étrangers introduits, par exemple, par la vaccination. La vaccine, en particulier, il ne faut pas l’oublier, sert de vecteur dans certains vaccins et son introduction dans un organisme débilité peut évidemment conduire à des complications désastreuses du fait que le virus peut se propager de manière pratiquement illimitée.

Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 7

Dans les pays développés, la vaccination est inutile et dangereuse, alors que dans les pays en voie de développement, elle devient criminelle. Je citerai un simple exemple. Depuis toujours, les pays africains et asiatiques ont été touchés par la peste et la variole. On sait que des épidémies extraordinaires de peste se produisirent en Chine, en Afrique et aussi en Europe aux 6e et7e siècle, puis au 14e et 17e , tuant alors le ¼ des habitants. Une 3e pandémie prit naissance en Chine en 1894. Le principal foyer endémique de la peste fut et demeure la Chine. On sait que cette maladie est provoquée par les puces et les rats qui, évidemment, prolifèrent dans ce pays où les conditions de vie et d’hygiène étaient et sont demeurées longtemps extrêmement précaires. L’épidémie s’est toujours développée dans des pays présentant les mêmes conditions précaires d’hygiène, comme ce fut le cas à une certaine époque en Afrique, en Amérique du Sud et en Europe, lorsque celles-ci s’étaient considérablement dégradées lors de périodes de misère et de guerre. Il en a été de même pour la variole et le choléra.

On a la preuve manifeste que ces épidémies et pandémies atteignent essentiellement les populations souffrant de misère physiologique et de dénutrition, ou vivant dans un environnement où les règles les plus élémentaires d’hygiène ne sont pas respectées. Autrement dit, nourrissez convenablement ces populations, faites-leur observer des règles strictes d’hygiène et vous éradiquerez ces maladies. Point n’est besoin de vacciner. Ainsi, au lieu de participer financièrement à des campagne de vaccinations, les pays développés feraient mieux de consacrer l’argent à promouvoir une agriculture et un élevage permettant aux populations de vivre décemment et à assurer une prophylaxie ad hoc par des campagnes de dératisation et d’assainissement des lieux qui constituent des foyers permanents de peste. Dans un premier temps, cela coûterait certainement plus cher que les vaccinations, mais quelles économies quelques dizaines d’années plus tard. De plus, cette action représenterait une véritable oeuvre humanitaire.

Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 8

Les foyers permanents sont connus par l’Organisation mondiale de la santé. Les campagnes de vaccination qu’elle a réalisées en Afrique contre la variole dépassent l’entendement. Depuis,1958, année où l’on avait enregistré 278 000 cas dans le monde, et non pas seulement en Afrique, jusqu’au 26 octobre 1979, date à laquelle l’Organisation mondiale de la santé annonçait officiellement l’éradication complète de la variole, plus de 120 millions d’Africains avaient été vaccinés. En 1963, on ne dénombrait plus que 80 000 cas dans le monde, avec seulement de 30% à 40% de mortalité chez les enfants non vaccinés. Pour l’OMS, la vaccination n’est efficace que si plus de 80% de tous les groupes de population sont vaccinés, y compris les nomades. C’est ainsi qu’en 1973, on pouvait estimer que plus de 100 millions de vaccinations avaient été effectuées en Afrique centrale et occidentale ! En 1980, l’évaluation peut être portée à 180 millions de vaccinés. Or, c’est alors qu’il n’y avait que 80 000 cas signalés dans le monde en 1963, que les campagnes antivariolique furent les plus intensives. En outre, ce ne fut pas la seule vaccination pratiquée dans ces pays africains ; on y ajouta celles contre la tuberculose, la poliomyélite, le tétanos, la rougeole, etc., avec des pourcentages de vaccinés de l’ordre de 70% à 100%.

Pour ses partisans et ses profiteurs, la vaccination est devenue un acte de dictature médicale et économique posé à l’encontre des plus faibles et des plus fragilisés par des conditions de vie misérables, et des moins évolués dans la compréhension des actes thérapeutique. On porrait qualifier l’acte vaccinal accompli sur ces populations peu évoluées d’acte terroriste et criminel relevant à la limite d’une volonté de génocide. Si cette intention de génocide n’est pas réelle, il s’agit là en tout cas pour les vaccinalistes d’un cas de conscience posé par les conséquences catastrophiques de semblables vaccinations à moyen et long terme. Ceux qui n’ignorent pas ces conséquences pratiquent un acte criminel, [et] ceci [pour] des raisons de profits. L’autre face de la dictature exercée par les fabricants de vaccins et les vaccinalistes confirme ce qui apparaît sur la première lorsqu"ils infligent la vaccination à des populations appartenant à des pays en voie de développement ou non. En effet, sur la seconde face, on retrouvent les mêmes procédés dictatoriaux mais modifiés parce que confortés par des lois qu’ils ont fait voter par les gouvernements, rendant certaines vaccinations obligatoires. Le régime dictatorial n’est que plus hypocrite, se retranchant derrière ces lois au sein de régimes dits démocratiques.

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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. page 139Extrait 9

Force est donc de constater que nous nous trouvons face à la situation paradoxale et aberrante suivante : tout le monde, gouvernements, organisations sociales et humanitaires, Organisation mondiale de la santé, compagnies d’assurances, corps médicale et citoyens (par manque d’information en ce qui concerne la manipulation dont ils sont les victimes) participent activement à une dégénérescence de l’espèce qui a commencé à se produire et qui se poursuivra à un rythme accéléré dans les prochaines décennies ! Le système des vaccinations n’est, ni plus ni moins, qu’une « bombe à retardement » amorcée et réglée par l’humanité elle-même sur les indications des principaux responsables de la santé et des fabricants de vaccins, disciples de Pasteur. Ceux qui prétendent être les bienfaiteurs de l’humanité, accomplissent en réalité, par ignorance ou par intérêt, un génocide programmé dans précédent dans l’histoire de l’humanité. En ce sens, Pasteur et tous ceux qui se sont inspirés de sa méthode afin de faire du profit peuvent être considérés comme des criminels.

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.

page 146Extrait 10 : En 1903, la vaccination antivariolique est rendue obligatoire en France, au moment même où la maladie est en pleine phase de décroissance.

... Malgré de multiples accidents qui démontrent que la vaccination contre la variole est non seulement inutile mais dangereuse, provoquant plus de cas de variole chez les vaccinés que chez les non-vaccinés (voir dans la première partie de cet ouvrage, les paragraphes consacrés à Jenner), on continue à vacciner jusqu’en 1977, soit durant 74 ans !

Sir Russel Wallace, le naturaliste qui, parallèlement à Darwin, fonda la théorie de l’évolution par la sélection naturelle, s’opposa toujours à la pratique des vaccinations.

page 147Extrait 11 : Le 26 octobre 1979, l’Organisation mondiale de la santé, après d’intensives campagnes de vaccination, en particulier en Afrique centrale et au Brésil, déclare que la variole est éradiquée. Pourtant, de 1963 à 1973, dans 12 pays européens, on avait enregistré seulement 391 cas de variole, résultant de 28 importations différentes de cette maladie. ... 20 fois la maladie venait d’Asie et 5 fois, d’Afrique, régions où existent des foyers épidémiques permanents dus aux conditions d’hygiène et de malnutrition. Comment est-il concevable que devant un chiffre si bas de varioleux en Europe, on ait continué à vacciner contre la variole durant toute cette période, alors même que ces cas de variole avaient une origine extérieure à l’Europe ? Cette maladie n’a pas été éradiquée grâce à la vaccination ainsi que le prétendent l’Organisation mondiale de la santé et les vaccinalistes, mais à cause de modifications des conditions de vie et d’hygiène dans les pays industrialisés...

page 148, 149Extrait 12 : ... C’est dans les 11 pays d’Afrique où les campagnes de vaccination furent les plus intenses qu’on compte présentement le plus de sidéens. [! !!]

Dans un ouvrage intitulé « Sida, le vertige », paru en novembre 1993, après avoir passé en revue toutes les hypothèses émises sur l’origine du sida, j’expose ma propre opinion, à savoir que le rétrovirus du sida est le résultat de la recombinaison du virus de la vaccine avec le HIV 2 spécifique des populations d’Afrique centrale. Ma conclusion à propos de la vaccination antivariolique est donc formelle : non seulement a-t-elle provoqué de nombreux accidents et entretenu la variole alors même que les épidémies étaient en phase décroissante, mais elle est à l’origine du sida.

... Le professeur J. Tissot écrivait à ce sujet :

« Le virus de la vaccine jennérienne, très voisin mais différent du virus de la variole, ne vaccine pas contre celle-ci. Le fait est nettement établi par les épidémies de variole qui atteignent aussi les vaccinés. Malgré une vaccination à peu près totale des habitants de la ville de Leicester (Angleterre), l’épidémie de 1872 a causé tellement de varioles chez les vaccinés qu’on a abandonné la vaccination pour la remplacer avec succès par des mesures prophylactiques. L’épidémie de variole de 1918-1919 aux Philippines, dont la nation est depuis 1905 une des plus complètement vaccinée du monde, a frappé indistinctement vaccinés et non-vaccinés, causant 145 317 cas et 63 434 morts. La mortalité par variole a atteint 65, 3% à Manille, ville la plus fortement vaccinée du pays, alors qu’elle n’était que de 10% avant 1905. Les mêmes faits ont été constatés en Allemagne et au Japon. Ce sont là des preuves formelles qui établissent que la vaccination jennérienne ne protège pas contre la variole et qu’elle accroît même fortement la mortalité. »

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.

page 150, 151Extrait 13 : ... quelques opinions scientifiques à ce sujet :

Les professeurs J. Aleksandrowicz et B. Halileokowski, de l’Académie des Sceiences de Cracovie (Pologne), in « The Lancet » du 6 mai 1967 :

« Des rapports déjà publiés, ainsi que nos propres observations, indiquent que la vaccination antivariolique provoque parfois l’apparition d’un cadre leucémique. Chez 5 enfants et 2 adultes observés dans les cliniques de Cracovie, la vaccination antivariolique a été suivie par de violentes réactions locales et générales et par la leucémie. »

Le docteur B Duperrat, de l’Hôpital Saint-Louis, dans " La Presse Médicale " du 12 mars 1955 :

« La vaccination provoque, en outre, une explosion de leucémie. »

Le professeur René Dubos, dans "Man, Medecine and Environment", Praeger, New York, 1968 :

« Le vaccin antivariolique provoque de graves encéphalites chez certains individus même s’il a été administré avec un soin extrême. La possibilité de contracter la variole est maintenant tellement réduite que les risques d’accident provenant du vaccin sont plus élevés que la possibilité de contracter la maladie elle-même. »

Dans la revue "Vie et Action" de mars-avril 1966 :

« En Grande-Bretagne, la vaccination antivariolique n’est plus obligatoire depuis 1898 et pourtant 5 fois moins de gens sont morts de variole en Grande-Bretagne qu’en France où cette vaccination est obligatoire. Il en est de même en Hollande. »

Le Directeur scientifique de Pasteur Vaccins, dans "Le Monde" du 23 mai 1987 :

« Les problèmes soulevés pourraient effectivement conduire à une remise en question de certains vaccins comme le BCG, le vaccin antipolio oral ou le vaccin contre la rougeole. »

Robert R. Redfield et Al Walter Reed, de l’"Army Institute of Research du Department of Virus Diseases" dans la revue "The New England Journal of Medecine", vol. 316, n° 11, 12 mars 1987 :

« Ce cas montre que la primo-vaccination antivariolique des personnes porteuses du virus du sida pose le risque que le vaccin déclenche la maladie et que les vaccinations multiples puissent accélérer le développement du sida. De plus, ce cas soulève des questions préoccupantes quant à la sécurité ultime des vaccins clonés sur virus vaccinia dans les pays en voie de développement dans lesquels le sida se propage de plus en plus. »

La même revue relate le cas d’un militaire américain vacciné au moment de son incorporation contre différentes maladies, dont la variole, lequel a développé une vaccine généralisée, puis le sida, dont il est décédé très rapidement. Avant d’être incorporé, ce militaire avait subi un examen de santé complet comprenant une formulation sanguine qui faisait apparaître 6 200 globules blancs avec 24% de lymphocytes ; tous les autres résultats étaient également normaux.

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.page 157 Extrait 14 :

Une preuve évidente de l’inutilité et de la dangerosité du BCG est que l’Organisation mondiale de la santé, sans doute préoccupée par cette question d’efficacité, organisa une expérience à grande échelle aux Indes entre 1968 et 1971. Un district fut choisi comprenant 209 villages et une ville, soit 360 000 personnes. Toutes les personnes furent testées à la tuberculine, et négatives, furent divisées en 2 groupes : l’un fut vacciné ; l’autre non. Ellles furent suivies dans des conditions rigoureuses durant 7 ans et ½. Le résultat a été le suivant : il y a eu autant de cas de tuberculose chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. Autrement dit et suivant le rapport même de l’OMS (Groupe scientifique ICMR/OMS, n° 651, Genève, 1980) :

« Le BCG ne conférait aucune protection au cours de 7 ans et ½ de surveillance ultérieure et la maladie bacillaire frappait beaucoup plus souvent les sujets qui avaient initialement réagi à la tuberculine, après vaccination, que ceux qui n’avaient présenté aucune réaction. »

SANS COMMENTAIRE !

La République fédérale d’Allemagne n’avait pas attendu ce rapport et, dès 1973, avait suspendu la pratique de la vaccination par le BCG. En France, depuis de nombreuses années, certains professeurs de médecine réclament l’abandon de la vaccination, ainsi le professeur J. Chrétien, pneumo-phtisiologue à l’hôpital Laennec, à Paris et le professeur J. P. Derenne, service de pneumologie de l’hôpital Saint-Antoine, aussi à Paris, qui se sont exprimés en maintes occasions dans des revues médicales comme "Le Concours Médical". Après la guerre de 40-45, ravagés et ayant souffert de conditions de vie précaires, les Pays-Bas présentaient de nombreux cas de tuberculose. Jamais, la vaccination par le BCG n’y fut pratiquée et, cependant, la tuberculose fut éradiquée. Depuis de nombreuses années, ce pays présente le taux le plus bas des pays d’Europe pour la mortalité par tuberculose. Par contre, les cas de tuberculose sont élevés dans tous les pays où la vaccination est obligatoire. Dans son bulletin statistique (n° 1, 1974), le ministère de la Santé publique et la Sécurité sociale constate que là où la vaccination est obligatoire, dans les pays comme la Bulgarie, la Tchécoslovaquie, la Pologne, le Portugal, les cas de tuberculose sont en nette progression. Depuis 5 ans, nous assistons au même phénomène en France.

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.

page 159 Extrait 15 : En mai 1930, un événement particulièrement tragique venait confirmer les dires du professeur Lignières. À l’hôpital de Lübeck (Allemagne), 72 nouveau-nés meurent à la suite de la vaccination par le BCG. L’enquête révèle que ce vaccin avait été préparé à partir d’une souche fournie par l’Institut Pasteur français. Un procès a lieu et les résultats de l’enquête font apparaître que le personnel de l’hôpital avait reçu l’ordre de détruire tous les flacons de BCG qui n’avaient pas été utilisés. Dans ces conditions, toutes preuves n’existant plus, le tribunal attribua le décès des 72 enfants à une erreur commise par des inconnus.

page 170 Extrait 16 : LE VACCIN CONTRE LE CHOLÉRA

Quoi qu’il en soit, il apparaît aux dires de certains experts ("Science et vie", avril 1973) que le vaccin protège seulement une personne sur 2 pendant une brève période de 4 à 6 mois et qu’on ne peut compter sur ce vaccin pour enrayer une épidémie. En 1988, une grave épidémie de choléra affecta l’Inde. Des milliers d’individus furent atteints. Or, l’Organisation mondiale de la santé avait réalisé quelques vaccinations expérimentales de masse en Inde en 1987, utilisant un vaccin mis au point par des chercheurs australiens. Ce vaccins avait été expérimenté sur des animaux et était administré par voie orale. Une immunité à vie était garantie avec une seule dose dont le prix était à la portée de toutes les bourses (Communiqué ATS-ANSA-REUTER et "Corrierre del Ticino", 25 juillet 1988). Cet essai de vaccination a-t-il provoqué l’épidémie ? Cent mille personnes avaient été vaccinées dans la région de New Delhi.

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.page 176 Extrait 17 :

À propos de la vaccination contre la coqueluche, le docteur G.T. Stewart, professeur de médecine à l’Université de Glasgow (Écosse), constate que 30% des cas de coqueluche se déclarent chez les vaccinés. Il y a lieu de faire remarquer que cette vaccination fut introduite en 1936 au moment où la mortalité due à cette infection avait considérablement diminué. Il en fut d’ailleurs ainsi chaque fois pour toutes les vaccinations. quant au professeur George Dick de l’hôpital du Middlesex, autorité mondiale en matière d’immunologie, il déclare que "chaque année, le vaccin contre la coqueluche peut causer l’infirmité de nombreux enfants, provoquant des lésions cérébrales, ajoutant que les médecins sont toujours réticents lorsqu’il s’agit d’attribuer des méfaits à des thérapies qu’ils ont eux-mêmes recommandées " ("Daily Telegraph", 7 avril 1973). Et dans son ouvrage intitulé "La poliomyélite", cité dans « Survie » (1975) le docteur J. Pilette écrit que "le vaccin contre la coqueluche et le vaccin multiple Coqueluche-Diphtérie peuvent provoquer l’apparition de la poliomyélite, apparaissant de préférence dans les membres qui ont été inoculés.

Deux événements événements semblent donner raison au docteur Pilette. En Australie, dans l’État de Victoria, on a enregistré entre janvier et août 1949, 375 cas de polio dont 31 étaient liés au vaccin multiple auquel avaient été soumis le même nombre d’enfants en l’espace de 3 mois [donc 100% des enfants vaccinés !!!], alors qu’à Londres, sur 182 cas de polio chez des enfants de moins de 5 ans, 35 avaient reçu 4 semaines auparavant une inoculation de vaccin contre la coqueluche ou le vaccin mixte coqueluche-diphtérie.

Le journal "JAMA ( Journal of the American Medical Association)", en 1982, reconnaissait que "depuis le début des vaccinations avec le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche, on a pu observer des réactions aiguës d’encéphalopathies liées au vaccin.

Cela, on le savait depuis bien longtemps !

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. page 177 et 178 Extrait 18 :

LE VACCIN POR (Rougeole, Oreillon, Rubéole)

Un groupe médical de réflexion suisse composé des docteurs H. Albonico, P. Klein, C. Grob et D. Pewner et travaillant en collaboration avec 180 médecins suisses et différents spécialistes suisses, allemands et américains ainsi qu’avec le Center of Diseases Control (CDC) aux USA et le professeur D. Jachertz à Berne, épidémiologiste réputé, a publié un rapport à propos de la vaccination ROR (2 novembre 1990). De ce document ressort une vive critique du principe de cette vaccination, cette critique étant fondée sur divers accidents produits, en particulier aux USA. On y lit que de sévères épidémies de rougeole récemment déclarées aux USA et en Hongrie, 2 pays affichant une haute couverture vaccinale depuis plusieurs années, permettent de mettre en doute l’efficacité du vaccin. Selon le professeur Diether Jachertz, cité par ce rapport, les risques encourus étant imprévisibles, il faut se garder, en l’absence d’urgence sanitaire, "de transformer une maladie à caractère endémique en épidémie par une vaccination systématique."

Ce rapport rend aussi compte de la situation aux USA en 1990, à savoir que malgré une haute couverture vaccinale, les cas de rougeole sont depuis deux ans en constante augmentation. Les nourrissons et les adolescents sont les nouvelles vistimes de ces épidémies. De source officielle, la mortalité est alors 10 fois supérieure à celle enregistrée avant l’introduction du vaccin. La plupart des décès sont attribués à la pneumologie rougeoleuse. Un quart d’entre eux concerne les enfants de moins de 1 an et on observe la même proportion pour les jeunes adultes (19-33 ans).

Lors du lancement de la campagne suisse de vaccination ROR en 1987, l’exemple des États-Unis fut présenté comme un modèle de référence. Après 20 ans de vaccination systématique obligatoire, les USA avançaient un taux de vaccinés de plus de 95% et une réduction massive des cas de rougeole. Cependant, la situation récemment rencontrée en 1989-1990 donne matière à réflexion. Depuis 1982, des épidémies de rougeole toujours plus importantes ont fait leur apparition. L’augmentation des déclarations de cas de rougeole en 1989 par rapport à l’année précédente fut de 380% !

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. page 181 et 182 Extrait 19 :

LE VACCIN CONTRE L’HÉPATITE B

(...)

Il y a une dizaine d’années, l’hépatite B était censée atteindre seulement les médecins et les infirmières, ceci au contact du sang d’un malade ou par suite de piqûres. On sait aujourd’hui que la maladie se transmet par voie sexuelle. Le virus de cette maladie a été découvert aux États-Unis en 1963. Les premiers vaccins furent réalisés et utilisés en 1976 par l’équipe du professeur Maupas, à Tours, en France. En 1991, dans ce pays, la loi rendit obligatoire la vaccination contre l’hépatite B pour le personnel de santé. Peu nombreuses, ces premières vaccinations n’ont pas été suivies et, par conséquent, on ne peut savoir quels effets secondaires se sont produits chez les vaccinés. Par contre, on sait que cette vaccination obligatoire pour le personnel de santé fut un échec avoué. De toutes façons, depuis 1976, il s’est écoulé trop peu de temps (20 ans) pour vérifier l’innocuité et l’efficacité du vaccin puisque les cirrhoses et cancers du foie mettent de 15 à 20 ans pour se manifester. Le recul n’est donc pas suffisant. Les enfants vaccinés à l’automne 1994 (plus de 500 000) avec l’Engerix B, et non suivis à cause de leur nombre, présenteront probablement des cancers et autre affections graves dans 15 ou 20 ans. Malgré cette évidence, les fabricants de vaccins qui considèrent que le temps est de l’argent et souhaitent réaliser un chiffre d’affaires et des bénéfices records, voudraient que la vaccination contre l’hépatite B devienne obligatoire. À cet effet, ils font pression de tout leur poids sur les instances politiques qui leur sont inféodées.

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. page 199 Extrait 20 :

LE VACCIN CONTRE LA POLIOMYÉLITE

Le vaccin contre la poliomyélite a été l’un des premiers vaccins antiviraux. Mis au point par le biologiste Salk, il fut fabriqué à partir de cultures du virus sur reins de singes. Des dizaines de millions d’enfants furent vaccinés jusqu’en 1960, date à laquelle on découvrit qu’il était contaminé par le virus SV 40 du singe, virus qui avait échappé à l’attention des fabricants de vaccins et qui, on le saura trop tard, provoquait des tumeurs chez les hamsters et une cancérisation chez l’homme, ainsi que le révélèrent certains expérimentations sur tissus humains.

*********** Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997.

page 209 Extrait 21 :

CONCLUSION

Dans les pays européens, mais particulièrement en France, l’affaire du sang contaminé par le virus du sida a défrayé la chronique, apparaissant au grand public comme un révélateur des pratiques scandaleuses du monde médical. C’est avec stupeur que les gens qui avaient une absolue et imbécile confiance à l’égard de la médecine allopathique institutionnelle ont appris que des produits contaminés avaient été sciemment vendus à des hémophiles, les vouant à une mort certaine à moyen terme. Pour des raisons de profit, au lieu d’être retirés du marché, les stocks de sang contaminé ont continué à être vendus. Dans le même temps, toujours pour des rasons d’ordre économique, les tests de dépistage proposés par deux laboratoires américains étaient refusés afin de permettre à l’Institut Pasteur, pris au dépourvu, de développer un test "français", source de profit pour cette institution et pour l’État.

Dans cette sombre histoire, placé sous le signe du cynisme le plus criminel qu’il soit, ont trempé des hommes politiques, leurs conseillers sortis tout droit de l’Institut Pasteur et, surtout, des médecins en charge de la santé publique, oubliant leur devoir le plus élémentaire, celui de la préserver.

Note

page 214 Extrait 22 :

En l’absence d’une connaissance immunologique exacte, le principe absurde et antiscientifique des vaccinations pouvait à la rigeur, il y a 100 ans, être compris : il relevait de l’empirisme. De nos jours, alors que de sérieux progrès ont été accomplis dans le domaine de l’immunologie et de la virologie, poursuivre dans cette voie constitue à n’en pas douter un crime contre l’humanité. Allons-nous, longtemps encore, subir la loi des fabricants de vaccins, de leurs zélés serviteurs du corps médical et des politiques corrompus qui les soutiennent ? La question est posée.

(...)

Au moment même où je termine cet ouvrage, l’un de mes correspondants américains m’adresse un fax par lequel il me rent compte d’un article paru dans le "New York Times" du 16 mai 1995, sous la plume d’un médecin nommé Lawrence K. Altman. Cet article remet complètement en question la réputation et les travaux de Pasteur, accusé par l’auteur d’avoir volé les idées et les découvertes de ses rivaux. Le docteur Altman démontre, après examen attentif et objectif des documents de laboratoire de Pasteur, que ce dernier a triché lors de ses expérimentations et qu’il a volé les travaux réalisés par d’autres.

........... F I N ......

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d’auteurs, ©2000.(pages 384 à 386)

LE PROJET SIDA ! [1/4]

Aurelio Peccei a proposé plusieurs projets, tous secrets. Le projet principal consistait à développer un microbe, qui attaquerait le système immunitaire, et pour lequel un vaccin serait presque impossible à développer. L’ordre a donc été donné de développer ce microbe, sans oublier les moyens prophylactiques et une thérapeutique appropriée. Le microbe devait être dispersé dans le population, les moyens prophylactiques seraient réservés à l’élite. Quand la population aurait sffisamment baissé, on pourrait officiellement anoncer la découverte du médicament pour soigner les survivants. Il est clair que le médicament existait depuis le début de l’opération. Ce projet fait partie intégrante du projet Global 2000. Maintenant c’est à vous de deviner comment s’appelle ce microbe ? Évidemment, il s’agit du virus du Sida !!

Le projet a été approuvé par le Congrès en 1969, sous le numéro de code H.B.15090. 10 millions $ ont été versés pour la première tranche. Des témoignages devant la commission de Sénat ont révélé qu’un « agent synthétique et biologique devait être développé, un agent qui n’existe pas dans la nature et contre lequel l’organisme est incapable de produire des anticorps. Il doit être possible de développer ce micro-organisme dans les 5 à 10 ans à venir Il est primordial qu’il soit résistant à tout processus immunologique et thérapeutique connu ». Sir Julian Huxley dit à ce sujet : « La surpopulation est la plus grande menace que notre espèce aura à affronter dans le futur ».

Le projet SIDA, qui porte à ce moment-là le nom de MK-NAOMI, a été élaboré à Fort Dertrick, dans le Maryland. D’après les explications du Dr. Strecker, on a mélangé des rétrovirus mortels, des virus de leucémie, (bovin leikemia) avec des virus « visna » du mouton, et on les a injectés dans du tissu humain.

Comme il fallait agir sur une grande partie de la population, on a commencé par les populations « indésirables » : les Noirs, les hispaniques et les homosexuels ont été encouragés d’un côté à exprimer leur différence, d’un autre côté ils se sot retrouvés sur la liste des personnes à éliminer.

L’OMS (Organisation Mondiale de la santé) a collaboré à ce projet, aux côtés du National Cancer Institute. Des articles ont été publiés, pour inciter les chercheurs à développer un virus mortel pour l’homme. En 1972, l’OMS publiait ce genre de propos : « Nous faisons des recherches pour savoir si certains virus peuvent agir sur les fonctions immunitaires. Il faut inclure la possibilité que la réaction immunitaire face au virus diminue, si le virus endommageait les processus antiviraux de la cellule ».

Pour l’exprimer plus simplement il faudrait dire : « Développons un virus qui peut détruire les cellules-T quand on l’administre de façon volontaire ».

Le continent africain a été infecté en 1977, à travers la campagne de vaccination contre la variole. La vaccination a été réalisée par l’OMS. Le Dr Strecker assurait qu’en l’espace de 15 ans, toute l’Afrique serait dévastée, si on ne trouvait pas le remède ! Certains pays ont dépassé depuis longtemps le stade de l’épidémie !

Le médecin courageux qui a révélé au grand public ce projet s’appelle Théodore A. Strecker. Il aurait dû être récompensé du prix Nobel, mais il peut s’estimer heureux de ne pas avoir été victime d’un suicide (le suicide typique, c’est le célèbre chercheur californien qui s’est ligoté les mains dans le dos, s’est pendu et a sauté ensuite du 20e étage. Aucune trace indiquant une intervention extérieure n’a été retrouvée [...] )

En 1978, une partie de la population américaine a été contaminée, à travers le vaccinn contre l’hépatite B. Le Dr Wolf Schmugner, l’ancien compagnon de chambre de Jean Paul II, a été l’instigateur de cette opération, réalisée par le "Center for Disease Control", de novembre 1978 à octobre 1979, et de mars 1980 à octobre 1981. Schmugner est né en Pologne, il a fait ses études en Russie et a ensuite immigré aux États-Unis, en 1969. Par des chemins détournés, il a été nommé directeur de la banque du sang new-yorkaise. C’est lui qui a dispersé le virus du Sida sur l’Amérique du Nord. Il était responsable de la campagne de vaccination contre l’hépatite B, c’est lui qui a décidé du mode d’application, à commencer par les homosexuels. Par voie de petites annonces, on cherchait des homosexuels mâles de 20 à 40 ans. Ce qui a provoqué le Sida était contenu dans le vaccin, était fabriqué à Phoenix, en Arizona et était conditionné en bouteille. Toutes les données sur cette campagne de vaccination sont entre les mains du ministère de la Justice, où elles sont à l’abri pour longtemps.

Le signal de départ a été donné par le comité des Bilderberger, En Suise, en même temps que d’autres directives importantes. Celle qui est la plus facile à démontrer est la Haig-Kissinger-Depopulation Policy appliquée par le State Department. La directive précisait que les pays du tiers-monde devaient entreprendre des actions efficaces pour réduire leur population et la contrôler, pour pouvoir continuer à bénéficier des aides des États-Unis. Si un pays devait contrevenir à cet ordre, il verrait bientôt éclater une guerre civile, montée de toute pièce par la CIA. C’est une des raisons qui font qu’au Nicaragua, au Slvador et dans d’autres pays, plus de jeunes femmes que de soldats ont été tuées. Dans les pays catholiques, ce sont les Jésuites qui ont fomenté les guerres civiles. Le Haig-Kissinger-Depopulation Policy a été soutenue par les gouvernements successifs, elle est devenue partie intégrante de la politique extérieure américaine. Tous lles moyens sont bons pour réduire la population du globe, la guerre, la famine, les épidémies, les stérilisations de masse, par l’USAID par exemple. L’organisme de planification ne se trouve pas à l’intérieur des murs de la Maison Blanche. Cette commission s’appelle Ad Hoc Group on Population Policy, elle dépend du National Security Council. L’état-majo est au State Departement’s Office of Population Affairs, créé en 1975 par Henry Kissinger, alors ministre des Affaires Étrangères. C’est le même groupe qui a rédigé le rapport Global 2000, remis entre les mains du président d’alors Jimmy Carter.

Thomas Fergusen, chargé de mission au State Departement’s Office of Population Affairs (OPA) pour l’Amérique latine a dit la chose suivante : « Il n’y a qu’une chose qui compte pour nous, nous devons réduire la densité de population. Soit ils le font comme nous voulons, c’est-à-dire avec des méthodes propres (Sida, stérilisation), soit nous assisterons à d’autres boucheries, comme au Salvador ou à Beyrouth. La surpopulation est un problème politique. Si elle échappe au contrôle des autorités, il faut un pouvoir autoritaire, s’il le faut fasciste, pour y remédier. Les professionnels ne veulent pas réduire les populations pour des raisons humanitaires. C’est louable, mais il ne s’agit en fait que de matières premières et de facteurs d’environnement. Nous avons des raisons stratégiques qui nous poussent dans cette direction. Le Salvador n,est qu’un exemple parmi d’autres, qui montre que notre échec dans la réduction des populations a conduit à une grave crise nationale. Le gouvernement salvadorien n’a pas réussi, avec nos méthodes, à réduire la population de façon significative. C’est pourquoi il a eu droit à une guerre civile. La guerre civile est l’ultime tentative pour réduire la population. Le moyen le plus rapide d’y parvenir reste la famine, comme en Afrique, ou une épidémie telle que la peste noire, qui pourrait un jour s’abattre sur le Salvador ».

...)

Fergusen nous donne encore plus d’explications : « Nous ciblons un pays et disons, voici votre plan de développement. Jetez-le à la poubelle et occupez-vous de réduire d’abord votre population. Si cela ne vous plaît pas de procéder par planification, vous aurez un autre Salvador ou un 2e Cambodge ».

(...)

Le projet MK-NAOMI a été développé par des chercheurs de la Special Operations Division (SOD), à Ft. Detrick, Maryland, sous l’égide de la CIA. Mais le Sida est trop lent. À l’automne 1994, nous avons rencontré le Dr John Coleman à Honolulu, l’auteur du livre le comité des 300 et ancien agent du MI 6 britanique. Coleman explique que le « nouveau » virus a été testé pendant un an dans un pays d’Amérique du Sud, et qu’il pourrait être lâché dans la nature au printemps 1995. Quand il deviendra vraiment actif, on pourra dire : « infecté le matin, mort le jour même ». Ce virus là est transmissible par la salive.

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Voir aussi : NOUS SOMMES TOUS DES COBAYES Thomas Fergusen, chargé de mission au State Departement’s Office of Population Affairs (OPA) pour l’Amérique latine a dit la chose suivante : « Il n’y a qu’une chose qui compte pour nous, nous devons réduire la densité de population. Soit ils le font comme nous voulons, c’est-à-dire avec des méthodes propres (Sida, stérilisation), soit nous assisterons à d’autres boucheries, comme au Salvador ou à Beyrouth. La surpopulation est un problème politique. Si elle échappe au contrôle des autorités, il faut un pouvoir autoritaire, s’il le faut fasciste, pour y remédier. Les professionnels ne veulent pas réduire les populations pour des raisons humanitaires. C’est louable, mais il ne s’agit en fait que de matières premières et de facteurs d’environnement. Nous avons des raisons stratégiques qui nous poussent dans cette direction. Le Salvador n,est qu’un exemple parmi d’autres, qui montre que notre échec dans la réduction des populations a conduit à une grave crise nationale. Le gouvernement salvadorien n’a pas réussi, avec nos méthodes, à réduire la population de façon significative. C’est pourquoi il a eu droit à une guerre civile. La guerre civile est l’ultime tentative pour réduire la population. Le moyen le plus rapide d’y parvenir reste la famine, comme en Afrique, ou une épidémie telle que la peste noire, qui pourrait un jour s’abattre sur le Salvador ».

...)

Fergusen nous donne encore plus d’explications : « Nous ciblons un pays et disons, voici votre plan de développement. Jetez-le à la poubelle et occupez-vous de réduire d’abord votre population. Si cela ne vous plaît pas de procéder par planification, vous aurez un autre Salvador ou un 2e Cambodge ».

(...)

Le projet MK-NAOMI a été développé par des chercheurs de la Special Operations Division (SOD), à Ft. Detrick, Maryland, sous l’égide de la CIA. Mais le Sida est trop lent. À l’automne 1994, nous avons rencontré le Dr John Coleman à Honolulu, l’auteur du livre le comité des 300 et ancien agent du MI 6 britanique. Coleman explique que le « nouveau » virus a été testé pendant un an dans un pays d’Amérique du Sud, et qu’il pourrait être lâché dans la nature au printemps 1995. Quand il deviendra vraiment actif, on pourra dire : « infecté le matin, mort le jour même ». Ce virus là est transmissible par la salive.

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Voir aussi : NOUS SOMMES TOUS DES COBAYES

JUSTINE MERIEAU - ECRIVAIN

Blog destiné à faire connaître mes livres, romans et nouvelles. J'y présente des extraits de ceux-ci, avec également quelques inédits. Mais on y trouvera aussi mes humeurs littéraires du moment...
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Ecrivain nantais, je suis romancière et nouvelliste. Je demeure à La Réunion depuis 1987.